•   Pourquoi ? Comment ? Avec quelles conséquences pour le chat ?

       La cohabitation avec un chat est pleine de surprises, et peut parfois se révéler plus difficile qu’il n’y paraissait au départ. On adopte un chaton, une petite boule de poil mignonne à croquer, et l’on se retrouve quelques mois plus tard avec un chat mal dans sa peau, qui urine partout, est agressif, incontrôlable, casse les objets, déchire les rideaux…

    Il peut aussi arriver que l’on n'ait pas prévu du tout avant de « craquer » sur un petit minet les départs en vacances ou un déménagement, et que cela soit si compliqué qu’on décide alors de le donner ou de l’abandonner.

    Bien d’autres situations peuvent nous pousser à abandonner un animal, certaines pouvant se comprendre, d’autres pas. Il n’est pas question de diaboliser toute personne qui dépose un chat dans un refuge, car nous ne sommes pas tous égaux devant les difficultés et les responsabilités que représente une vie animale. D’ailleurs, il est parfois bien plus raisonnable d’abandonner un chat dans un refuge que de le laisser à la merci d’enfants ou d’individus maltraitant incapables de s’en occuper correctement.


    Mais comment le chat vit-il cela ?



    En fait, il n’existe pas de réponse type, car toute situation est unique, de même que chaque chat réagit à sa manière. Il n’est donc pas possible de dire « un chat abandonné vit cela comme ceci, comme cela.. ». Cela dépend  du contexte, de l’âge du chat, de son caractère, de son histoire personnelle, des circonstances de l’abandon.

    Tentons donc d’éclairer point par point.

    Qu’entend-on par abandon ? Donner son chat à la voisine ou à des amis parce qu’il y sera mieux, ce n’est pas vraiment un abandon. Laisser son chat dans un refuge, cela s’y rapproche plus, car on ne sait pas quel sera son avenir, et qu’il est livré aux aléas des adoptions.

    Le véritable abandon, c’est laisser un chat sur le bord d’une route, dans un champ, ou dans tout autre endroit qui lui est inconnu. C’est aussi l’oublier sur place sans s’en soucier quand on vend une maison par exemple. Abandonner un chat, c’est décider de ne plus s’en occuper (ni nourriture, ni abri, ni eau) et de le livrer à lui-même.


    Saura-t-il survivre ?



    Un chat qui n’a jamais appris à chasser, qui a toujours été entretenu par une personne, en d’autres termes qui ne sait pas assurer seul sa survie voire qui n’a même jamais mis une patte en extérieur sera évidemment traumatisé par une telle expérience. S’il ne meurt pas de faim (ou écrasé par une voiture dont il n’a pas l’habitude), il aura cependant de graves carences alimentaires, deviendra pouilleux et très mal en point. Mais il souffrira surtout d’une

    peur constante, d’insécurité, de déprime aussi souvent. Tout cela le marquera à vie, et s’il a la chance d’être retrouvé et adopté par une bonne âme, elle devra user de patience…

    En revanche, un chat qui vivait déjà à moitié en liberté et ne revenait à la maison que pour dormir par exemple, ne vivra pas l’abandon de la même manière. Il sait se nourrir de lui-même, et sera sans doute assez malin pour aller trouver refuge dans une autre demeure assez rapidement. Pas trop d’inquiétude pour lui donc.


    Donner son chat à un refuge :


    Abandonner un chat dans un refuge est une autre affaire. Il y sera nourri, soigné, dorloté parfois. Mais la vie en refuge n’est pas rose pour les chats, quels qu’ils soient. L’espace alloué à chaque chat est souvent exigu, car soit ils s’entassent à cinq ou dix dans une même pièce, soit ils sont isolés dans des cages, ce qui n’est pas mieux. Il ne faut pourtant pas jeter la pierre aux refuges, ils font bien souvent ce qu’ils peuvent avec les moyens qu’ils ont. Quoi qu’il en soit, un chat qui a toujours vécu seul trouvera très difficile de devoir se battre pour partager un bout d’espace pour dormir ou pour manger.

    Aucun chat ne sort vraiment indemne d’une vie en refuge, mais évidemment, plus le séjour est court, mieux c’est.

    Le problème vient surtout du manque de repères, du manque d’affection aussi notamment pour des chats qui étaient habitués à être très dorlotés. Mais plus le chat abandonné est vieux, moins il a de chance de retrouver un adoptant, et on le condamne alors à une longue vie en refuge, ce qui n’est vraiment pas souhaitable pour son équilibre mental et affectif.

    Quand ils sont jeunes, c’est encore pire, car les traumatismes seront d’autant plus fort, et ils en garderont trace toute leur vie. Un chat équilibré âgé de quelques années en souffrira moins, si tant est qu’il ne reste pas trop longtemps au refuge.

    ALORS, DE GRACE, REFLECHISSEZ AVANT DE PRENDRE UN CHAT !!!!!!!!!!!


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  •  La stérilisation des  chats est un acte de protection animale  :

       Faire stériliser les chat(te)s  permet de lutter contre la surpopulation animale et d’éviter de trop nombreux abandons et euthanasies. Les avantages pour les animaux sont sanitaires et comportementaux. Les propriétaires doivent vaincre leur résistance morale face à une intervention parfaitement maîtrisée par les vétérinaires.

    La stérilisation consiste en l’ablation des ovaires chez   la chatte, et en l’ablation des testicules chez le  chat. C’est une intervention chirurgicale classique pour les vétérinaires, qui présente peu de risques pour les animaux et comporte plusieurs avantages. Elle permet avant tout de supprimer définitivement la reproduction, donc d’éviter la naissance  de chatons, évitant ainsi d’accroître la surpopulation animale en France, cause de très nombreux abandons, euthanasies et mauvais traitements. On estime que chaque année, 25 000 chats sont euthanasiés faute de trouver des maîtres.

    S’il est charmant de voir naître et d’élever une portée de petits chats , il faudra ensuite les placer dans des foyers prêts à les éduquer et à leur assurer de bonnes conditions de vie pendant une quinzaine d’années, voire plus . Ceci est malheureusement impossible pour beaucoup de familles, par exemple lorsque les personnes travaillent à l’extérieur huit heures par jour (un animal seul toute la journée s’ennuie, de façon répétée, cela affecte fortement son bien-être). L’aspect financier est aussi à prendre en compte. Avoir un chat entraîne des frais : vaccinations et vermifugations régulières, alimentation, soins vétérinaires, toilettage pour certaines races…


    Bénéfice pour la santé et le comportement  :


    La stérilisation présente des avantages pour la santé des animaux. Chez les femelles, lorsqu’elle est pratiquée avant la puberté (apparition des premières chaleurs, en moyenne vers 6 à 7 mois chez les chattes), elle supprime le risque d’apparition de tumeurs mammaires, fréquentes chez les carnivores domestiques. Ce bénéfice disparaît lorsque la stérilisation est effectuée après l’âge de deux ans. La stérilisation supprime aussi tout risque de pseudo-gestation (« grossesse nerveuse ») . Chez la chatte, la stérilisation supprime les manifestations des chaleurs (vocalises notamment), parfois pénibles à supporter dans les races à chaleurs rapprochées.

    La castration du mâle – qui nécessite une intervention plus légère que l’ablation des ovaires – a aussi des avantages. Bien sûr, elle annule le risque de développement de cancer des testicules. La castration augmente la longévité du chat qui sort à l’extérieur en modifiant son comportement territorial.


    Moins d’accidents chez les chats castrés  :


    Il limite ses déplacements et risque donc moins d’accidents sur la voie publique, se bagarre moins avec ses congénères. Par conséquent, il est beaucoup moins victime de morsures et de griffures entraînant plaies et abcès.


    Pour de nombreux propriétaires d’animaux, le frein à la stérilisation est d’ordre moral. Il faut pourtant comprendre qu’un animal castré reste un formidable compagnon, qu’il n’est pas frustré, et que la vie de son maître est grandement facilitée en vacances, pendant les promenades ou lors de la cohabitation de plusieurs animaux de sexe différent.

    Le coût de la stérilisation peut paraître élevé, mais il doit être comparé aux dépenses liées à la naissance d’une portée de  chatons : outre le temps important qui doit leur être consacré, il faudra les faire vacciner et vermifuger et faire identifier  chat par tatouage ou puce électronique (obligation légale pour toute cession de chat), sans compter les frais des soins éventuels et de nourriture spécifique de la mère et des petits.

    Dr Valérie Duphot, vétérinaire

    Combattre les idées reçues  :


    • Une  chatte doit avoir au moins une portée dans leur vie pour leur santé et leur comportement.

    Faux. Cette idée reçue n’a aucun fondement scientifique. La reproduction ne présente pas de bénéfice pour la santé, ni pour le comportement. Au contraire, la gestation et la mise bas peuvent présenter des risques : césarienne lors de difficulté à la mise bas, infections mammaires,  ...

    • Un animal castré devient obèse.

    Pas forcément. Si l’ablation des glandes sexuelles peut en effet prédisposer certains animaux à l’embonpoint, une alimentation maîtrisée et un exercice physique régulier permettent de les maintenir à leur poids de forme.


    • Les traitements contraceptifs médicaux présentent un risque et ne peuvent pas être administrés au long cours.

    Vrai. Il n’existe pas de contraceptif efficace et sûr chez  la chatte. Un traitement hormonal ponctuel peut être administré pour une occasion précise (vacances) mais pour un effet permanent, seule la stérilisation chirurgicale est conseillée.

     


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  • La nouvelle façon de dormir de Callis !!!!!????? 

     

      

     

      

     

     


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  • Et pendant que l'orage gronde au dehors .......   

     

    Et pendant que l'orage gronde au dehors .......   

     


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  • On distingue deux sortes d’alopécies : l’anxieuse et la psychosociale.

    L’une est due à un problème du chat dans sa petite enfance, l’autre trouve sa source dans le quotidien du chat. Toutefois, le résultat est hélas le même.

    Le chat se mutile en s’arrachant des touffes de poils, allant parfois jusqu’à une plaie ouverte que le chat ne laisse pas se guérir. Il empêche toute repousse du poil, l’arrachant systématiquement. Certains chats, à un stade plus avancé peuvent aller jusqu’à s’arracher les griffes, ce qui est assez spectaculaire et angoissant pour le maître.

    Qu’elle résulte de l’une ou l’autre forme, elle est toujours due à une période de stress intense, que le chat aura dissimulée, puis n’y tenant plus, il se mutile, comme pour appeler au secours. L’alopécie caractérise une entrée en dépression, très grave chez le chat qui peut se laisser mourir. Le stade du stress est dépassé, et est remplacé par l’angoisse, dernière étape avant la dépression. Aussi il est primordial d’intervenir immédiatement.

    La mise sous antidépresseurs par un vétérinaire peut calmer le temps du traitement les crises, le risque est qu’à l’arrêt, les crises reviennent plus intensément. En effet chez le chat, la dépression, l’angoisse ou le stress restent latent tant que la cause n’a pas été identifiée et résolue.

    Dans l’urgence, et dans l’attente de trouver un thérapeute comportementale, cette solution peut être envisagée, mais non sans en connaître les effets secondaires :

    -dépendance,

    -sevrage difficile,

    -amplification des troubles…

    Mettre un chat sous antidépresseurs est généralement une solution temporaire de facilité, qui ne peut à la finale qu’aggraver les choses. En attendant il faut rassurer le chat, lui parler calmement quand il commence sa crise, sans tenter d’intervenir : le chat partirait se mutiler hors de votre vue avec tous les risques que cela implique.

    Lors de la prise de contact avec le thérapeute, celui-ci vous donnera la marche à suivre en attendant la consultation. Et dans ce cas plus que tout autre, il ne doit pas y avoir de contacts directs entre le thérapeute et le chat, au risque d’affoler et de perturber davantage le chat. Vous pouvez joindre les photos du chat lors de votre mise en contact.

    Aussi, si votre chat commence à se lécher plus que de raison, et qu’il lui arrive de s’arracher quelques poils lors de situations stressantes pour lui, ayez le bon reflexe de suite : comportementaliste. Il vous guidera dans le processus, après avoir éliminé toutes causes dermatologiques en vous conseillant d’effectuer des examens vétérinaires s’ils n’ont pas déjà été faits. La thérapie est assez simple une fois la cause trouvée. Si l’alopécie est psychosociale, c’est encore plus simple. En revanche, il faudra appliquer à le lettre les recommandations, et surveiller le chat à vie, une autre source de stress peut des années plus tard faire réapparaitre le phénomène d’alopécie.


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  • Le marquage urinaire est un élément de la "communication sexuelle". Elle est notamment le fait des mâles, qui affichent ainsi leur "enthousiasme" (ou leur frustration) et signalent leur présence aux femelles - de façon fort délicate s'il en est. Certaines femelles "marquent" également cependant.

    Ce type de marquage sexuel disparaît dans la plus grande majorité des cas avec la stérilisation. Néanmoins, certains chats qui ont "pris cette habitude" ne la perdent plus après la castration, de sorte qu'il est préférable, pour un chat de compagnie, de faire réaliser la stérilisation avant que ce schéma comportemental ne soit mis en place.

    Plus généralement, l'animal peut marquer quand il est perturbé (par exemple : anxiété, "conflit" avec les autres chats de la maison...). Il est alors important de cerner la cause du problème.
    Le marquage urinaire "émotionnel" n'est pas tout à fait la même chose qu'un problème d'élimination hors de la litière. Pour distinguer "à quoi on a affaire", il faut réussir à observer le chat "en flagrant délit" : quand il élimine, le chat est accroupi. Quand il marque, il reste "debout" sur ses quatre pattes et lève la queue.

     

    Certains chats neutrés conservent la posture du marquage urinaire (dos un peu rond & queue en l'air, qui "frétille") quand ils sont très excités (distribution de la super-friandise adorée par exemple), mais sans projection d'urine.


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  • Ce n'est pas encore l'été .... vive la chaleur de la couverture !!!!

     

    Aprés-midi cocooning :   

     

    Aprés-midi cocooning :   

     

    Aprés-midi cocooning :   

     

    Aprés-midi cocooning :   

     

    Aprés-midi cocooning :   

     

    Aprés-midi cocooning :   

     

     


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  • Le PICA, trouble du comportement alimentaire du chat qui mange des produits non comestibles, se manifeste principalement sur les races originaires d'Orient (Siamois, Orientaux, Korat, Thaïs, etc.) et chats « dérivés » de ces races (Birmans, par exemple).

    En fait, il s'agit plus d'un syndrome que d'une maladie. Et comme tout syndrome, ce dernier reste latent à vie dans le comportement du chat, avec des phases de pics et des phases de repos.

    L'origine de l'apparition de ce syndrome est liée à une angoisse ou un stress du (ou des) chat(s). Il n'est pas rare dans une communauté de voir  plusieurs chats très proches présenter le même PICA, quelquefois par  vicariance (forme de mimétisme).

    Bien souvent, le chat a été séparé de sa mère avant 3 mois, et son apprentissage comportemental n'étant pas terminé, quand il se trouve face à une angoisse qu¹il ne sait gérer, faute de repères, il se jette sur n'importe quoi et le mange.

    Le plus difficile est de trouver la source de l'angoisse. En effet, il peut s'agir d'un meuble déplacé, d'un nouveau canapé, d'un changement dans la composition du foyer (humain ou animal, un chat peut aussi ressentir une grossesse), même un changement de couleur de la gamelle, ou de la marque de litière, etc. Tout cela peut déclencher un PICA.

    Une fois la source identifiée, il est possible de supprimer le PICA, le chat arrête alors de dévorer n'importe quel pull, tissu, plastique ou autre matière susceptible de provoquer une occlusion intestinale, pouvant aller jusqu¹au décès du chat si un vétérinaire n'intervient pas au plus vite.


    Toutefois, à la prochaine angoisse, le chat peut recommencer.

    Quoi qu'il en soit, une thérapie comportementale est fortement recommandée dès l'apparition des premiers symptômes.

    Cette thérapie peut s'appuyer sur une combinaison de fleurs de Bach pour  accélérer le processus de récession, mais non de « guérison », qui ne sera jamais totale.

    N'oublions jamais qu'un chat souffrant de PICA en souffrira toute sa vie, le tout est de faire en sorte de ne pas provoquer d'angoisses chez lui, afin d'éviter les phases de pics du syndrome, sachant que ces phases peuvent aussi ne jamais réapparaître si la thérapie comportementale est respectée à la lettre, et à vie, chez le chat concerné.


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  •    A partir du mois de juin, avec le réchauffement actuel de la planète, l'été devient de plus en plus caniculaire et il est difficile de supporter des températures aussi extrêmes pour nos petits compagnons.


    1. Quelques renseignements sur le chat et la chaleur :

    Il faut savoir avant tout que les chats ne transpirent pas comme nous. Leur manière à eux de réguler leur température est l'halètement. Quand un chat a vraiment chaud, il halète afin de maintenir sa température corporelle à un niveau raisonnable.
    Mais cela arrive relativement rarement car les chats sont des animaux qui supportent assez bien les fortes chaleurs. Lors de fortes chaleurs, les chats sont assez inactifs, ils dorment beaucoup mais ils ne semblent pas trop souffrir contrairement à leurs compagnons canins.

    2. Que faire pour les aider néanmoins ?



    Pour aider votre chat à mieux supporter la chaleur, il existe quelques petites astuces mais malheureusement pas de solutions-miracle.

    • Il faut essayer de le mettre dans la pièce la plus fraîche de la maison (salle de bain par exemple ou bien dans le garage ou encore dans la cave),
    • Vous pouvez aussi lui mettre un ventilateur : cela le rafraîchira un peu plus. Mais il se peut qu'il en ait peur au début.
    • Si votre chat a les poils mi-longs ou longs et s'il vous semble qu'il a très chaud, vous pouvez éventuellement lui couper les poils assez courts. Il ne faut cependant pas les couper trop courts car les poils sont aussi des isolants thermiques contre la chaleur et ils protègent également contre les coups de soleil.
    • Enfin, il faut savoir que si votre animal est un peu enrobé, la surcharge pondérale rend les chats encore plus sensibles à la chaleur, la couche de graisse sous-cutanée leur permet moins facilement de se refroidir. Dans ce cas, nous conseillons donc d'envisager de faire maigrir le chat pour l'aider à mieux supporter la chaleur.

    Pour savoir si votre chat a besoin d'un régime, allez le peser (c'est gratuit) chez votre vétérinaire et demandez-lui, ou à son assistante, s'il semble que votre chat ait besoin d'un régime.

    3. Quand s'inquiéter ?

    Il ne faut pas non plus tout mettre sur le compte de la canicule.

    Si votre chat :

    • halète vraiment sans arrêts,
    • semble avoir des difficultés pour respirer,
    • perd beaucoup d'appétit,
    • est complètement léthargique.

    Dans de tels cas, nous vous conseillons de consulter rapidement votre vétérinaire car votre animal pourrait souffrir d'un autre problème que de la chaleur uniquement.

    Par ailleurs, si l'été dernier, votre chat supportait mieux le climat, il faut potentiellement envisager un problème et il vaut mieux prendre ses précautions et consulter votre vétérinaire traitant.


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  • Spidercat !!!!   

     

    Spidercat !!!!   

     

    Une petite sieste bien méritée !!!!! 

     

    Spidercat !!!!   

     

     


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