• Un lien qui vous permettra de balayer certaines idées reçues . Personnellement aprés divers importants symptômes sur plusieurs de mes chats j'ai refusé de continuer de les vacciner . Ce doit être une décision mûrement réfléchie avec votre vétérinaire . 

    Dossier Vaccination

     

    Vaccination : est-ce vraiment nécessaire ?  

     


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        Chaque année, c’est le même rituel : votre animal de compagnie doit subir de nombreux vaccins. Un moment douloureux dont chiens et chats, de même que leurs maîtres, se passeraient volontiers .
    Protéger son compagnon à quatre pattes contre les maladies est bien sûr primordial pour sa santé. Mais sachez que tous les vaccins ne sont pas nécessaires. Et ceux qui le sont ne doivent pas impérativement être réalisés chaque année.
    Les experts de deux associations américaines de vétérinaires, l’American Animal Hospital Association et l’American Academy of Feline Practitioners, ont publié en 2004 des directives indiquant les vaccins les plus importants pour les chiens et les chats, et la fréquence à laquelle ils doivent être faits.


     Des rappels moins fréquents :

       Tous les vaccins ne doivent pas être réalisés chaque année. D’abord parce que la plupart des animaux n’en ont pas besoin, mais aussi parce que, chez les chats, des injections répétées peuvent comporter un risque. Des rappels trop réguliers peuvent en effet engendrer de graves réactions, et dans certains cas, provoquer l’apparition de cancers.
    Suite aux premières vaccinations d’un chiot ou d’un chaton, les experts préconisent alors de réaliser un rappel tous les trois ans seulement, et ce pour les maladies infectieuses les plus graves, comme la rage.
     " Les vaccins restent la médecine préventive la plus importante dont nous disposons pour protéger les animaux de compagnie", souligne Ronald Schultz, immunologiste vétérinaire à l'Université du Wisconsin. "C'est la fréquence à laquelle nous livrons cette protection qui devraient être prise en compte. Ce que nous préconisons, c'est de vacciner plus de chats et de chiens, surtout quand ils sont jeunes, puis de vacciner chaque animal moins souvent contre les maladies graves quand ils deviennent des adultes ."

     

     Vacciner les chiots et les chatons au bon moment :

       Pour garantir la plus grande efficacité des vaccins, et éviter aux chiens et aux chats de devoir en subir trop souvent, il est recommandé de réaliser les premières injections assez tôt.
    L’âge idéal est 6 à 8 semaines pour les chiots, et 6 à 9 semaines pour les chatons.
     " Le système immunitaire des jeunes animaux manque de maturité. Ils ont besoin d'une protection maximale ", explique John Ellis, professeur de microbiologie vétérinaire. " La plupart des vaccins nécessitent des injections répétées sur une courte période, puis des rappels lorsque votre animal est âgé de plus d'un an ."


     Une protection individualisée :

       Plutôt que de livrer à tous les animaux les mêmes vaccins, et selon la même fréquence, les deux associations prônent une protection individualisée, un calendrier réalisé par le vétérinaire au cas par cas, selon les besoins réels de votre compagnon.
    Les besoins des animaux diffèrent en effet en fonction de plusieurs critères, comme leur lieu de résidence, leur âge, et les autres animaux qu’ils sont amenés à côtoyer.
    Ainsi, si vous vivez dans une région boisée où les tiques sont nombreuses, il vous faudra envisager de livrer à votre compagnon le vaccin contre la maladie de Lyme. Si votre chien est en contact avec d’autres animaux, dans une garderie, ou un salon de toilettage par exemple, pensez à lui faire injecter le vaccin contre les bactéries Bordetell. Les chats, eux, devront être vaccinés contre le virus de la leucose féline (FeLV).
    Pour savoir si votre animal a vraiment besoin d'un rappel, votre vétérinaire peut réaliser un test sanguin qui permettra de déterminer le degré de protection assuré par sa dernière vaccination.
    Mais attention, " le fait que nous préconisions moins de vaccins ne signifie pas que les gens doivent arrêter d’emmener leurs animaux de compagnie chez leur vétérinaire au moins une fois par an " souligne Ronald Schultz. " Les examens annuels sont importants parce que les problèmes de santé comme le cancer, les maladies de peau, ou les maladies cardiaques peuvent être pris en charge de façon précoce et donc être traités avant qu'ils ne s'aggravent ."

     

     Les signes d’une mauvaise réaction aux vaccins :

       Certains animaux peuvent mal réagir aux injections. Fièvre, agressivité inhabituelle, léthargie, perte d’appétit : si votre chat ou votre chien révèle ces symptômes dans les deux jours suivant la vaccination, rendez-vous chez votre vétérinaire.
    Si la bosse engendrée par le vaccin contre la leucémie féline ou celui contre la rage persiste après plus de trois mois, consultez rapidement un médecin. Car il pourrait s’agir d’un cancer lié à ce vaccin.

     

    Quelques indications :
    Chez le chat :
    Panleucopénie, Herpesvirus et Calicivirus : à réaliser dès l’âge de 6 semaines. Des rappels toutes les 3 à 4 semaines pendant les 3 premiers mois, puis tous les 3 ans.
    Vaccin antirabique : première injection entre 3 mois et 1 an, puis des rappels tous les 1 à 3 ans.

    Chez le chien :
    Distemper (maladie de Carré), Parvovirus et Adenovirus : première injection dès 6 semaines, rappel 1 an après, puis tous les 1 à 3 ans.
    Vaccin antirabique : première vaccination à 3 mois, un rappel un an après, puis tous les 3 ans.

     

     (Source Wamiz)

     

     

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           Article écrit par Jean-Noël Le Kervadec . Né en 1969. Naturopathe à spécialité vétérinaire selon un parcours de professionalisation un peu spécifique effectué à l’étranger (2 ans d’éthopathologies canines, et équines, + exercice régulier du métier d’assistant spécialisé dans la clinique vétérinaire de mon père + 4 ans de formation professionnelle pour être certifié en naturopathie + 1 an 1/2 de spécialisation pour obtenir le Master permettant l’accès à l’activité de Recherche). Réside hors de France. Membre actif (comme praticien "brain-shaking") d’une association de santé naturelle animale.

    Publié le 5 décembre 2007 :

       Chaque année, l’injection de rappel vaccinal est communément admise comme un acte médical devenu incontournable. A tel point automatisé qu’on en oublie qu’il s’agit bien avant tout d’un acte médical. A ce titre, en médecine vétérinaire aussi, il est indispensable de se poser certaines questions. L’objectif est de poser des réponses accessibles à chaque propriétaire de chien ou de chat, afin qu’une vraie réflexion en liberté de santé animale puisse être délimitée.

    Depuis quelques années, les maîtres s’interrogent de plus en plus face à la forte recommandation des vétérinaires en matière de vaccination de leurs amis à 4 pattes. Ces personnes, pour lesquelles le bien-être de leur compagnon est primordial, se demandent en effet tout naturellement pourquoi leur chien ou leur chat doit subir un rappel chaque année alors que nous autres, humains, y compris nos enfants, ne sont pas assujettis à une "recommandation" si fréquente ?

    La dernière campagne publicitaire des laboratoires Virbac, mettant en scène des panneaux d’affichage avec le slogan "je l’aime, je le vaccine", récompensant les acteurs du secteur public (mairies en l’occurence) qui annonceraient le plus, a choqué plus d’un praticien en santé naturelle. A titre d’information, il est indispensable de savoir que le secteur de la vaccination représente, pour l’année 2006, 22% du chiffre d’affaires de Virbac, les produits antiparasitaires arrivant en premier avec 50%. Si on fait un rapide cumul, entre antiparasitaires et vaccins, 72% du CA est réalisé. Cela laisse place à un questionnement logique.

    Y-a-t-il réellement nécessité d’une vaccination annuelle chez le chien et le chat ?

    Virbac : Dernière campagne publicitaire nationale avec affichages "abri-bus" :
    De récentes recherches scientifiques ont démontré que cette répétition vaccinale posait plus de risques qu’elle n’apportait de bénéfices. C’est pour cette raison d’ailleurs que, depuis plusieurs années déjà, certains états des USA et certains pays comme le Canada (mais pas sur tout le territoire encore), ont proposé un protocole vaccinal réduit à trois voire quatre ans, avec une cessation définitive de la vaccination dès que le chat ou le chien entrait dans un âge avancé, où il devenait considéré "senior" (chez le chien, cet âge est variable selon la race). Quelques vétérinaires, dont Dr Charles Danten, mais aussi le Dr Loops, vétérinaire homéopathe, ont expliqué les dégâts et méfaits des vaccinations annuelles répétées tout au long de la vie de nos compagnons.

    En naturopathie de santé animale, rejoignant leurs confrères naturopathes en médecine humaine d’ailleurs à ce titre, depuis longtemps les praticiens ont établi le lien direct entre la survaccination et l’émergence de nouvelles maladies graves de plus en plus fréquentes : maladies auto-immunes, fibrosarcomes (souvent localisés d’ailleurs au point d’injection...), cancers débutant chez les adultes encore jeunes, anémie hémolytique à médiation cellulaire etc.

    Car, malgré que cet acte médical soit devenu routinier, il n’en reste pas moins qu’un vaccin n’est pas, et ne doit pas être considéré comme, un acte anodin dépourvu de risques. Sa pratique trop fréquente ne peut qu’engendrer un affaiblissement immunitaire, voire génétique, de nos animaux.

    Que démontrent les recherches en ce domaine ?

    Les principaux fabricants de vaccins canins/félins ont publié, il y a trois ans, leurs recherches, lesquelles indiquent clairement et explicitement que leurs propres produits confèrent une immunité minimale d’une durée de trois à quatre ans, parfois cinq même ! Ceci donne une accréditation toute légitime au choix des protocoles vaccinaux tous les 3-4 ans retenus par certains états comme on l’a abordé précédemment.

    D’autre part, des spécialistes en immunologie vétérinaire indépendants ont parallèlement publié des recherches dont les résultats sont en tous points similaires = la durée d’immunisation induite par un vaccin dépasse les trois ans pour la plupart. Eux estiment même que cette protection vaccinale, chez le chien et le chat, comme chez l’homme, avoisine les 10 ans.

    C’est que le Dr Schultz (professeur et titulaire de la Chaire des Sciences Pathobiologiques de l’EMV de l’Université de Wisconsin-Madison, état du Massachussets, USA) avait démontré depuis déjà pas mal de temps = en termes simples, ses travaux ont prouvé que la protection vaccinale de la plupart des vaccins administrés aux chats et aux chiens est développée et efficace pendant une petite dizaine d’années.

    Quel intérêt, donc, de leur injecter un rappel tous les ans ? Car c’est bien du maintien de leur bonne santé qu’il est question dans mon propos.

    Quelle est la position de la naturopathie en santé animale sur ce point ?

    Elle rejoint la conception des principales médecines holistiques, dont l’homéopathie en premier = nous estimons en effet, et ceci a été prouvé là encore par des recherches, que dès que la réponse immunitaire a été créée et intégrée dans l’organisme, il devient tout à fait inutile, voire dommageable, d’appliquer un rappel. A fortiori d’en appliquer plusieurs et tout au long de la vie.

    Si la réponse immunitaire n’a pas pu être créée et intégrée, re-vacciner n’a pas de sens. Cela n’augmentera en rien l’immunité à la maladie concernée, mais au contraire démultipliera les risques de vaccinoses (= maladies vaccinales)

    Un vaccin, qu’il soit à destination des humains comme à destination des animaux, n’est pas un acte routinier sans conséquences. Il est nécessaire que le maître s’interroge sur le bien-fondé de cette démarche. Il est utile à cet effet qu’il puisse disposer de supports où chercher l’information, car elle existe. C’est aussi l’objectif prioritaire des naturopathes que de communiquer autour des actes qu’ils estiment parfois conduits de façon déraisonnée.

    Y-at-il une loi qui nous oblige à vacciner tous les ans nos animaux ?

    Non aucune. Les vaccins sur nos chats et nos chiens ne sont nullement obligatoires pour les particuliers. Ce sont juste des recommandations, la plupart du temps émises par les laboratoires (pour des raisons financières évidentes ?), lesquels ne sont d’ailleurs pas soumis à indiquer sur les étiquettes de leurs injections ou produits vaccinaux les résultats de leurs recherches qui indiquent que la couverture de protection est assurée nettement au-delà d’une année.(cherchez l’erreur !..)

    Les éleveurs félins et canins trouveront grand intérêt à appliquer des protocoles à trois ans minimum, en se référant aux recherches d’immunologie en la matière. C’est à eux d’expliquer leur choix, responsable et préventif, aux futurs acheteurs, et de les sensibiliser de fait à cet acte médical parfois lourd de conséquences. En effet les chats de race, principalement, sont connus comme étant des sujets plus sensibles face à la maladie. Certains chiens de race le sont également. Ces animaux ont donc, plus que les "bâtards ou gouttières" besoin d’une sécurité renforcée en matière de vaccination.

    Alors les naturopathes ne vaccinent pas leurs animaux ?

    Il n’est pas possible de répondre à la place de nos confrères ; cependant, pour ma part, mes trois chiens ont été vaccinés une seule fois, pas avant l’âge de 12 mois, et sous couverture de protection homéopathique individualisée. Lorsqu’ils atteindront l’âge de 10 ans, et pour ceux dont la race n’établit pas que cet âge est déjà avancé, ils seront peut-être à nouveau vaccinés. Pas avant. Alors, inconscience ou ... grande prudence ?

    Et la rage alors ?

    Dans certaines régions, ou pour traverser certaines frontières, le vaccin contre la rage est obligatoire pour des raisons sanitaires compréhensibles. S’il n’est pas possible de se soustraire à la loi, afin de pouvoir emmener avec soi son animal en toute liberté, il reste cependant tout à fait possible (et recommandé) de pratiquer le vaccin sous couverture de protection avec des remèdes homéopathiques individualisés, qui s’administrent la veille au soir, une heure avant l’injection, une heure après et le soir même, voire le lendemain. Le coût total de cette couverture homéopathique n’atteint même pas 10 € - somme dérisoire lorsqu’on sait tous les risques qu’on fait éviter à son animal ... Pourquoi s’en priver ?

    Pour terminer :

    Il n’existe aucune loi, aucune obligation, aucun texte, indiquant que le protocole vaccinatoire tous les ans est indispensable et doit être respecté pour le chien et le chat familiers.

    Il existe par contre l’article 16-3 du Code Civil, qui établit clairement pour chacun la liberté de choix thérapeutique, concernant notamment l’acte vaccinal. L’animal étant considéré sous l’entière responsabilité des adultes qui en ont la charge, c’est à eux que revient le libre choix de le faire vacciner ou non, et à quelle fréquence.

    Quant à la primo-vaccination, comme son nom l’indique, elle ne doit être réalisé qu’une seule et unique fois = la première. Si le propriétaire décide, comme il en a le droit, de re-vacciner son chien ou son chat 3 ans, 5 ans ou 7 ans plus tard, c’est bien un rappel, et non une nouvelle primo-vaccination, que le vétérinaire devra injecter.

    En anturopathie, médecine reconnue pour ses grandes qualités en matière de prophylaxie, prévenir vaut toujours mieux que guérir.

    Je voudrais terminer sur une des règles, fondamentales, établie en son temps par Hippocrate (et qui fait partie de son fameux "serment") en matière d’acte médical = Primum, non nocere (en premier lieu, ne pas nuire)

    (Ma prochaine proposition portera sur le vaccin en lui-même = innocuité ? recommandations légales ? contre-indication vaccinale ? maladie vaccinale ?)

    Jean Noel Le Kervadec .

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    Risque vaccinal, vaccinose et réflexions à propos de l'innocuité des vaccins en santé animale :

    La législation de pratique vaccinale telle qu’elle est admise en médecine vétérinaire .

    (Article publié le 7 décembre 2007)

    Une vaccine est d’abord un accident vaccinal : trouble sévère qui peut survenir à l’occasion d’un vaccin ou d’un rappel. Si cet accident n’est pas immédiatement traité, il devient une vaccinose, maladie vaccinale, et sa chronicité s’installe sous forme pathologique. On se trouve alors face à une maladie, fibrosarcome, maladie auto-immune, cancer, qui va être traitée en-dehors de son contexte, sans être corrélée la plupart du temps à son origine vaccinatoire. Ainsi considérée, isolée de son étiologie élective, les chances de guérison sont très faibles.

    En médecine vétérinaire, l’ensemble vaccine+vaccinose est regroupé sous le terme de "risque vaccinal", lequel s’étend depuis l’apparition de la réaction, à la maladie ou jusqu’au choc anaphylcatique. L’immunologie vétérinaire estime que les deux principales causes du risque vaccinal sont une vaccination réalisée à tort, comme chez un animal pourtant considéré non vaccinable, ou une mauvaise application du vaccin (ce qui pourrait être en toute logique apparenté aux informations proposées précédemment sur ce site à propos de la durée de protection vaccinale réelle d’une seule injection )

    Il est noté également en immunologie vétérinaire, et ceci dans les cours traditionnels qui sont donnés aux futurs DMV, que "les effets indésirables de la vaccination sont des risques vaccinaux pouvant survenir chez l’animal pourtant vacciné selon les recommandations habituelles".

    L’innocuité du vaccin :

    Elle se mesure à la rareté de ses effets indésirables, à la composition la plus saine possible de sa fabrication, et à son application respectueuse des lois immunologiques. On peut estimer qu’aucune de ces trois conditions n’est respectée : les vaccinoses sont de plus en plus fréquentes, surtout chez le chat - dans la composition des vaccins la quantité d’hydroxyde d’aluminium est fort élevée - les lois immunologiques ne sont pas respectées au vu des recherches scientifiques sérieuses qui démontrent l’action durable d’un rappel sur plusieurs années.

    Le risque vaccinal devrait être considéré comme inacceptable en santé animale, étant donné que cet acte médical est avant un acte dit préventif !

    Il y a toutefois pour les vétérinaires des règles à respecter avant d’injecter un vaccin = ils doivent absolument procéder à la vérification que l’animal est bien en état d’être vacciné. On appelle ceci la "vaccinabilité " de chaque sujet. Le vétérinaire, comme tout médecin, doit aussi être en mesure de délivrer au maître l’étendue des informations fiables et sérieuses concernant ce vaccin, sa traçabilité, ses effets indésirables, son innocuité si elle existe vraiment, son pourcentage d’efficacité (en santé animale, on peut considérer que les vaccins sont en moyenne efficaces à 70%, parfois 80%, rarement 100% )

    Les contre-indications vaccinales en médecine vétérinaire :

    Elles sont destinées à empêcher les vaccines et vaccinoses lorsqu’un individu est susceptible de les déclarer à un taux plus élevé ou plus grave que d’autres sujets. Voici la liste des principales contre-indications à la vaccination en médecine vétérinaire = contre-indications générales, concernant surtout les vaccins vivants (ou à virulence résiduelle élevée), contre-indications qui ne sont pas forcément mentionnées, ou non explicitement, dans les fiches signalétiques. L’immunodépression, les maladies inter-récurrentes, le traitement par glucocorticoïdes, notamment, font partie de ces contre-indications générales.
    contre-indications particulières, fonction de l’état de santé de l’animal, de ses fragilités, de son dossier complet à la clinique etc. Un examen clinique attentif de l’animal doit être réalisé avant tout acte vaccinatoire, ainsi que l’indiquent les textes officiels de médecine vétérinaire, afin d’évaluer chez cet animal les risques d’hypersensibilité à un composant, l’état potentiel de gestation ou d’allaitement chez la femelle, la contre-indication de ce vaccin pour cette espèce etc. D’où l’intérêt que le dossier de suivi de chaque animal soit correctement enrichi par le vétérinaire ou son ASV à chacun des visites ...
    contre-indications au rappel vaccinal chez un animal qui a déjà présenté une réaction d’hypersensibilité, une vaccine identifiée, ou qui souffre déjà d’une maladie vaccinale. Dans ce cas, il faut soit modifier la stratégie vaccinatoire, soit cesser de procéder au rappel jusqu’à nouvel ordre.

    L’immaturité immunitaire des nouveaux-nés de moins d’un mois :
    le processus de mise en place immunitaire durant la première année de vie chez tout mammifère, renforcé par l’allaitement naturel mais qui a besoin de se consolider sous l’activité normale du thymus (activité qui décroît ensuite dès la fin de la première année de vie)
    L’affaiblissement naturel de la femelle qui vient de mettre bas, l’accouchement entraînant une modification normale ponctuelle de l’activité hormonale .
    les individus vivant au contact de nouveaux-nés peuvent infecter ceux-ci ; ces compagnons, même adultes, en contact direct avec les bébés ne doivent donc pas être vaccinés tant que la portée n’est pas suffisamment âgée.
    Enfin, les textes indiquent clairement que le vétérinaire est tenu de = 1)prévenir le propriétaire de la survenue possible d’une réaction vaccinale, laquelle doit disparaître en 48 heures, 2) de lui en expliquer les symptômes en fonction du vaccin reçu, et 3) d’informer des précautions à observer à la maison concernant l’animal venant de recevoir un vaccin = repos, alimentation fraîche et équilibrée, contrôle de l’état général, de la température, pendant quelques jours.

    Vaccinabilité des chiens et des chats :

    Un animal est considéré non vaccinable quand il répond à l’une ou à plusieurs des catégories suivantes :

    Il est déjà porteur de la maladie ciblée par le vaccin (incubation, portage sain, sont compris)
    Il a un risque élevé d’exposition à cette maladie dans les jours qui suivent le vaccin
    Il est porteur d’une maladie infectieuse et non encore guéri
    Il est parasité (helminthes, ectoparasites, etc.) : à ce titre soit la maladie parasitaire doit être guérie avant d’envisager le vaccin, soit un traitement anthelminthique doit être réalisé (vermifuge), au moins une semaine avant de procéder au vaccin ou à son rappel.
    Il a déjà manifesté une réaction vaccinale, une hypersensibilité, lors d’une vaccination précédente
    Il souffre d’une maladie vaccinale ou d’une maladie grave (fibrosarcome, maladie auto-immune, cancer etc.)
    Virulence résiduelle des vaccins et risque vaccinal

    Un ensemble d’éléments microbiens, ou non microbiens mais potentiellement dangereux, présents dans le vaccin peuvent occasionner un risque non négligeable pour l’animal, même adulte et en bonne santé :
    La persistance de la capacité d’infection et de multiplication des vaccins vivants, qu’ils soient ou non atténués
    La persistance d’une partie (loin d’être infime) des toxines, endotoxines et enzymes dans le vaccin. Les endotoxines sont, à ce titre, des éléments bactériens dont il est particulièrement difficile de se débarrasser.
    La présence de certains composants ou substances reconnues toxiques, tels que les dérivés aluminiques (conservateurs), ou des mycotoxines (on se demande bien ce qu’elles font dans un vaccin, soit dit en passant...)
    Ainsi, les vaccins vivants sont considérés comme étant les plus agressifs en santé animale. Ce sont généralement les plus pratiqués, même sous leur forme dite atténuée.

    Manifestations les plus fréquentes d’une réaction vaccinale :

    Réaction locale, située le plus souvent autour du point d’injection ou à son endroit = douleur, inflammation, gonflement, prurit, chute de poils ...
    Réaction générale, qui doit disparaître sous 48 heures pour pouvoir être considérée comme normale = légère hyperthermie, manque d’entrain, manque d’appétit, besoin d’être "scotché" au maître .
    Si une réaction vaccinale persiste au delà de cette durée de 48 heures, il est indispensable que l’animal soit mis sous protocole homéopathique sans attendre, l’homéopathie demeurant bien la seule médecine réellement en mesure de traiter en profondeur la relation "le sujet/sa vaccine", ainsi que de prévenir la déclaration de vaccinoses, et reconnue à cet effet. (les travaux sur le sujet sont répandus et nombreux)

    Il faut savoir que la réaction vaccinale apparaît souvent rapidement après (quelques heures, une journée) l’injection mais pas systématiquement. Un délai d’une petite semaine n’est pas si rare avant l’expression de la réaction.

    La réaction vaccinale diffère de la vaccinose, qui, elle, est une maladie vaccinale (qui deviendra chronique, le plus souvent grave et difficilement guérissable si elle n’est pas considérée rapidement comme telle), suite à une réaction durable, aux manifestations non considérées normales, et non prise en charge.

    Pour conclure ;

    Il est impératif que chaque propriétaire d’animal connaisse l’ensemble du critère de vaccinabilité de son chien ou de son chat, mais aussi les contre-indications générales ou individuelles à la vaccination. Un animal malade, ou allergique reconnu, même en voie de guérison, mais pas encore guéri, ne doit en aucun cas être vacciné, ceci est clair dans les textes, comme nous venons de le voir. Un animal immunodéprimé (quelle que soit la maladie concernée dans son espèce) constitue une contre-indication au rappel des vaccins. Une femelle gestante ou allaitante, un sujet trop jeune (bébé) ou vivant auprès de très jeune, un animal parasité par des vers, un animal sous glucocorticoïdes, sont autant de cas où la vaccination devient une contre-indication momentanée.

    Il est faux de croire qu’un rappel "ne peut pas attendre". Au contraire, c’est un gage de professionalisation, de sérieux, que de patienter le temps que l’animal remplisse toutes les conditions nécessaires pour recevoir son rappel.

    Le cas des maladies dépistables :

    Comme nous l’avons vu précédemment, le vaccin ne doit pas être injecté dans le cas où l’animal peut être porteur sain ou en incubation de la maladie pour lequel ce vaccin vise la prévention. Le vétérinaire doit donc expliquer au propriétaire la nécessité de procéder au dépistage de la maladie en question avant de vacciner l’animal. Vous comprenez bien les dégâts (ravages serait un terme plus juste) que peuvent engendrer un vaccin contre la leucose sur un chat porteur de la leucose ... par exemple. Cette règle est valable tout autant pour les maladies non dépistables : un chat porteur du coryza ne doit pas être vacciné contre le coryza, un chien souffrant de la toux du chenil ne doit pas être vacciné contre la toux du chenil, et ainsi de suite.

    En règle générale, s’il ne fallait se souvenir que d’une seule loi = un animal malade, quelle que soit sa maladie, ne doit pas être vacciné tant qu’il n’est pas considéré comme guéri.

    Nous pouvons tous agir en prévention : soit en appliquant systématiquement une couverture de protection homéopathique individualisée (et non passe-partout... car le remède valable pour l’un n’est pas forcément celui de l’autre) sur un animal effectivement vaccinable (tous les critères de la vaccinabilité sont alors remplis), soit en déclarant aux autorités concernées, de manière sobre bien entendu, les constatations des réactions vaccinales engendrées sur notre animal à propos de tel vaccin (mentionner son nom, son numéro de lot, sa marque, tout ce que vous possédez comme informations à son sujet sur le carnet de santé de l’animal)

    Les réactions vaccinales, vaccines et vaccinoses, sont en effet loin d’être des cas isolés. La santé animale n’est pas un jeu, elle obéit à des textes stricts. Il est essentiel que les maîtres deviennent pleinement acteurs, et non plus spectateurs, en matière de sécurité pour le maintien en santé de leur compagnon.

    Jean Noel Le Kervadec . 


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       ........ Mais comme je dis à chaque fois, à chacun de se faire sa propre opinion .  Je diffuse pour l'info .......

     

    Vaccination humaine VS animale : une comparaison surprenante :  
      Comme nous, nos animaux de compagnie subissent une inflation vaccinale, moins par la variété des nouveaux vaccins qui arrivent progressivement sur le marché que par la fréquence des rappels qu’ils subissent. Il est intéressant, en ces temps de frénésie vaccinatoire, d’analyser les différences qui existent dans les types de recommandations et les mesures de « prudence » respectives. Les effets secondaires sont-ils aussi tabous qu’en médecine humaine ?

     

       Tant en matière animale qu'humaine toutefois, on se rend compte que ce sont le même genre de maladies qu’on retrouve en post-vaccination, c'est-à-dire des maladies touchant le système nerveux, le système cutané, le comportement, la sphère des allergies, des maladies auto-immunes et des cancers, comme le confirme le vétérinaire expérimenté Dr Charles Loops. Celui-ci explique notamment :



    " Les vaccinations représentent un assaut majeur du système immunitaire de l’organisme. Les microbes atténués ou les virus et bactéries chimiquement tués sont injectés directement dans la circulation sanguine via une injection sous-cutanée ou intramusculaire ce qui constitue une voie tout à fait artificielle d’infection. Cette façon de faire, particulièrement nocive, court-circuite les premières lignes de défenses de l’organisme, dévoyant le système avec des millions d’organismes ou de particules virales générant des irrégularités et des anormalités du système immunitaire qui se manifestent alors par des maladies chroniques chez les animaux.
    En réalité, cet effet général prétendument censé protéger l’individu d’une maladie aigue spécifique, affaiblit et crée un déséquilibre du système immunitaire de sorte que des prédispositions non apparentes finissent par émerger. En d’autres mots, les vaccinations représentent un stress majeur. Après les vaccinations, nous voyons souvent des problèmes chroniques commencer comme de l’épilepsie, des allergies cutanées, des infections respiratoires supérieures persistantes, des syndromes de l’intestin irritable, des maladies auto-immunes et le cancer pour ne citer que quelques maladies.
    Ce à quoi nous sommes maintenant confrontés, ce sont des générations d’animaux survaccinés et ces générations actuelles subissent les conséquences fâcheuses de cet abus médical. Là où les vaccinations ont aidé à éradiquer ou réduire l’incidence de processus pathologiques graves et aigus, le résultat a été de nous accabler avec plus de maladies chroniques, insidieuses qui sont difficiles à soigner, souvent incurables et qui diminuent la qualité de vie de beaucoup d’individus et d’animaux.
    Après plus de trente années de pratique de médecine vétérinaire, j’observe des maladies chroniques qui débutent à des âges plus précoces qu’avant. Le cancer avant cinq ans d’âge chez les chiens et les chats était une exception mais à présent, ce n’est pas inhabituel de voir des cancers mortels chez des animaux de deux ou trois ans. Et l’incidence de nombreux cas est en hausse croissante. Tandis que des mauvaises pratiques alimentaires, des aliments industriels appauvris et d’autres facteurs environnementaux jouent leur rôle, je crois que c’est la pratique répétée de la vaccination d’un animal, avec de multiples vaccinations reçues tout au cours de sa vie, qui constitue le facteur le plus péjoratif. Nous avons affaibli génétiquement nos compagnons avec cette pratique.
    Un chien ou un chat normal vivant jusqu’à 12 ans recevra au moins une vingtaine et parfois une trentaine de vaccinations durant sa vie. Une quinzaine de ces injections comporteront quatre à sept fractions microbiennes (antigènes), présentes à chaque vaccination.
    Dans tout ceci, l’équilibre naturel a été perdu au profit de la philosophie du complexe médico-industriel, imposée en grande partie par des facteurs économiques et qui consiste à nous faire croire que les vaccinations sont bénéfiques ."

       Tant en médecine humaine qu’animale, les médecins et les vétérinaires choisissent cependant en général de vacciner un maximum (c’est lucratif pour eux). Et, dans les deux cas aussi, ils tablent sur une concordance suffisante entre universités, praticiens ET INDUSTRIES, dans l’espoir d’éviter une méfiance du public . Hélas toutefois pour eux, le nombre de citoyens vigilants s’accroît et la probabilité que des contradictions à faire dresser les cheveux sur la tête soient décelées s’accroît aussi, en proportion.

     

     (Source Artémisia)

     

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       Nos petits animaux reçoivent trop de vaccins et trop souvent. Nombreuses sont les personnes qui ne sont pas au courant des risques inhérents aux vaccins. De nombreuses études ont montré les risques de sur-vaccination, comme les risques encourus chaque fois qu’un animal reçoit un vaccin. 
    Mais la plupart des gens ne réalisent pas cet état de chose. Les chiens et les chats continuent d’être sur-vaccinés avec comme résultats des systèmes immunitaires affaiblis, des maladies graves (beaucoup plus nombreuses que l’on puisse imaginer) et des décès. 
    John Clifton défenseur des animaux a effectué une recherche approfondie pendant un an sur ce thème. Il a été surpris de constater que toutes les principales associations s’occupant de la santé animale – comme l’Association Vétérinaire Américaine, l’Association Américaine hospitalière pour animaux, l’Association Américaine pour félins ont récemment publié des directives soulignant la nécessité de réduire plutôt que d’augmenter les vaccinations. Les risques vont de simples allergies jusqu’à des cancer et des décès. 
    Mais les vétérinaires ne suivent pas les directives de leur propre littérature professionnelle !!!!!!! 
    La mission que Monsieur Clifton s’est fixée est de répandre l’information pour toutes les personnes qui ont des animaux de compagnie dans l’espoir de préserver leur santé, de sauver la vie de leurs chères petites bêtes de compagnie. Ce n’est pas une mince affaire. Une recherche sur Google pour « pet vaccination dangers » fournira des dizaines de milliers de liens sur ce sujet. 
    Il y a tant d’amoureux des animaux qui, croyant faire tout ce qu’il faut, découvrent malheureusement la vérité trop tard. Ils sont alors dévastés d’apprendre que le fait d’administrer tous ces vaccins inutiles et les rappels annuels ont en fait conduit à la tragédie.


    La plupart des amoureux des animaux ne savent pas que : 
    * Les vaccinations peuvent PROVOQUER des maladies, 
    * Les vaccins N’AMELIORENT PAS le système immunitaire, 
    * Les rappels annuels ne sont pas une bonne idée, 
    * Beaucoup de gens choisissent de NE PAS VACCINER ! 
    * De nombreuses personnes attribuent les ALLERGIES de leur animal  aux vaccins, 
    * Les vaccins peuvent déclencher le cancer . 

    Le résultat des travaux de M. Clifton, comme d’autres chercheurs est résumé dans un petit livre très facile à lire et à comprendre. Ce n’est pas un livre anti-vaccins, mais un ouvrage équilibré qui parle de faits. Grâce à l’information de ce livre vous pourrez prendre les meilleures décisions possibles pour vous-même et pour vos animaux de compagnie. Nous voudrions vous conseiller de lire ce livre le plus vite possible, en tout cas avant le prochain rendez-vous avec votre vétérinaire pour une vaccination.

     

                                                            STOP-SHOTS-ANIMAUX.jpg  

     

     

        Pour commander le livre link  (le format kindle n'est pas aisément imprimable, mieux vaut donc opter pour le format pdf) . 

     

       Et n'oubliez pas la décision de vacciner ou pas ne se prend pas à la légère mais aprés mûre réflexion, maints renseignements et discussion avec votre vétérinaire .  

     

     


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    Un article très intéressant sur la vaccination :

    La vaccination des animaux :
    Par Charles Danten  (Un vétérinaire en colère) 

    La vaccination, "cet acte médical privilégié, raisonné et toujours délicat (1), inventée par Jenner en 1796 et mise au point par Pasteur (1885), Salke (1954) et de nombreux autres, sert à induire la protection d'un individu ou d'une population contre une ou plusieurs maladies.
    Son principe est bien connu; il consiste à administrer à un être vivant la forme atténuée d'un microbe ou d'une toxine dans le but de provoquer la formation d'anticorps et d'une mémoire immunologique qui lui permettra de réagir et de résister à une maladie.L'utilisation, même judicieuse, des vaccins comporte toujours certains risques, mais en général on pense qu'ils sont largement compensés par les avantages. Il semblerait toutefois qu'en médecine vétérinaire la vaccination soit devenue depuis quelques décennies un acte risqué, dans certains cas dangereux et souvent sans aucune justification médicale. Ainsi, plusieurs sont d'avis que certains vaccins sur le marché sont inefficaces et que les animaux sont souvent vaccinés inutilement .

    La vaccination annuelle  :
    Depuis environ vingt-cinq ans, les fabricants pharmaceutiques recommandent, sans justification scientifique, la vaccination annuelle des carnivores domestiques (chat, chien, furet). Or les principes de l'immunologie garantissent qu'une proportion statistiquement significative d'individus seront protégés pour une longue période, voire à vie, par une vaccination bien menée. C'est particulièrement vrai pour les vaccins contre les maladies virales aiguës comme la maladie de Caré (distemper) du chien et du furet, l'hépatite et la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat. Déjà en 1978, une étude chez le chat avait démontré qu'il était suffisant de vacciner tous les trois ans et récemment les Dr Fred W. Scott et le Dr Cordell M. Geissinger, deux vétérinaires, chercheurs Américains de l'Université de Cornell, ont démontré de façon convaincante que des chats correctement vaccinés étaient encore protégés… plusieurs années plus tard .
    Les Drs Schultz et Phillips, deux spécialistes américains, écrivaient en 1996 ce qui suit dans ce qui est considéré comme la bible en médecine thérapeutique vétérinaire (Kirk's Current Veterinary Therapy):
    "Une pratique commencée il y a de nombreuses années et qui manque de validité et de vérification scientifique est la vaccination annuelle. Presque sans exception, il n'est nullement besoin, du point de vue immunologique, de vacciner annuellement. L'immunité par rapport aux virus persiste pendant des années, voire durant toute la vie de l'animal. Une vaccination réussie produit une mémoire immunologique qui dure des années et qui permet à un animal de réagir adéquatement lorsqu'il est exposé à un organisme virulent. La pratique de la vaccination annuelle, à moins d'être utilisée comme un moyen pour faire faire un examen annuel ou d'être requise par la loi, comme c'est le cas dans certaines régions pour la vaccination contre la rage, devrait être considérée, à notre avis, comme peu efficace.
    Le Dr Niels C. Pedersen, du département de médecine et d'épidémiologie de l'École de médecine vétérinaire de l'Université de Californie, a corroboré cette opinion au cours d'une conférence organisée en mars 1997 par l'une des associations vétérinaires les plus importantes au monde, l'American Animal Hospital Association (AAHA):
    "De nombreux vétérinaires et un nombre encore plus grand de clients en sont venus à remettre en question le fondement médical de la vaccination annuelle, de routine, de leurs animaux, et avec raison ! Cette pratique n'est pas défendable, alors pourquoi continuer à débattre et à ignorer la question? Nous ne nous faisons pas inoculer cinq ou six vaccins différents chaque année de notre vie, alors pourquoi en serait-il autrement pour nos animaux? On inocule plusieurs vaccins aux humains pendant l'enfance et ils assurent une protection à vie pour une proportion significative des sujets vaccinés. Il y a vingt ans, les vaccins étaient injectés seulement aux chiots et aux chatons. La seule exception était la rage, contre laquelle on préconisait un rappel à deux ou à trois ans, plus pour des raisons d'hygiène publique que pour protéger la santé de l'animal. Pourquoi, alors, persistons-nous à donner des injections de rappel annuellement, alors que cette pratique n'est pas justifiée d'un point de vue médical ? Les justifications originales de cette pratique s'appuyaient sans doute sur des rapports anecdotiques de la déclaration d'une maladie chez des animaux âgés et vaccinés et sur la nécessité de faire revenir un animal chaque année pour un examen physique complet. Malheureusement, la première de ces justifications n'est pas fondée et la deuxième était probablement donnée pour mieux faire avaler la nécessité d'une inoculation annuelle. Les vaccins de rappel sont perçus par beaucoup de gens comme un moyen pour le vétérinaire de faire de l'argent."

    Les vaccins à la recherche d'une maladie  :
    Alors que le nombre de vaccins pour les humains est relativement restreint, les vaccins pour les animaux sont nombreux et leur nombre augmente presque chaque année. Depuis 1975, le nombre de vaccins sur le marché a plus que doublé et cette prolifération répond plus aux impératifs du commerce qu'à la nécessité d'enrayer une épidémie ou certaines maladies infectieuses endémiques (maladie permanente dans une région) graves8. Selon le Dr Pedersen, les normes de licence nécessaires pour mettre un produit sur le marché sont beaucoup moins rigoureuses que pour les humains et le laxisme encourage cette prolifération.
    Présentement, 28 nouveaux vaccins cherchent à se tailler une place sur le marché. Ces vaccins sont tellement inutiles qu'on les appellent "les vaccins à la recherche d'une maladie ».
    Les fabricants s'adressent directement aux sentiments du public et même du vétérinaire pour promouvoir leurs produits. Les campagnes de promotion de certains fabricants mettent en avant de fausses allégations pour créer une demande et stimuler la vente. Par exemple, la gravité de la maladie de Lyme chez les humains a été faussement étendue aux chiens qui n'en présentent pourtant qu'une forme bénigne. La publicité a même laissé entendre qu'en vaccinant son chien, on protège ses enfants contre cette maladie ??? Cette campagne de peur a fait vendre des millions de doses de ce vaccin, même dans des régions où cette maladie n'a jamais été rapportée. Des millions de chiens se voient aussi inoculer un vaccin inefficace contre la maladie due au virus corona, une maladie gastro-intestinale relativement rare et limitée aux élevages surpeuplés et malpropres. Il en va de même pour d'autres maladies, [notamment la péritonite infectieuse, la chlamydiose et la leucémie du chat..

    L'efficacité et la sécurité des vaccins  :
    Le Dr Schultz, un chercheur indépendant américain, spécialisé dans les maladies infectieuses des animaux, a trouvé que sur six vaccins contre la parvovirose du chien, une maladie gastro-intestinale des chiots très grave et souvent fatale, seulement deux étaient efficaces. Une autre étude, hollandaise celle-là, a démontré que sur six vaccins contre la rage, deux étaient totalement inefficaces et deux autres n'étaient que marginalement efficaces. Selon d'autres études indépendantes, certains vaccins contre la leucémie du chat seraient comparables à de l'eau distillée et les meilleurs auraient au plus une efficacité de 25 % à 50 % et non de 90 % à 100 % comme l'affirment les fabricants19. Plusieurs autres vaccins sur le marché ne sont pas efficaces pour des raisons qui ont été bien démontrées (péritonite infectieuse du chat, coronavirus du chien, leptospirose du chien, chlamydia du chat20). La grande majorité des études sur l'efficacité sont réalisées par les fabricants et elles sont souvent difficiles à interpréter et à comparer, car il n'y a aucune standardisation des protocoles expérimentaux.
    Sur le plan de la sécurité, certains produits sont peu sécuritaires et le nombre de vaccins à usage vétérinaire qui restent sur le marché malgré le fait qu'ils entraînent des conséquences graves est assez élevé. Par exemple, un vaccin contre la maladie du virus corona, une maladie gastro-intestinale du chien, a tué des centaines de chiens, avant d'être retiré du marché et, depuis six ans, des vaccins responsables du cancer de la peau chez le chat tuent des centaines de milliers de ces animaux. Bien que seulement 10 % des chats de plus de quatre mois soient susceptibles de souffrir de la leucémie du chat, une maladie qui apparaît dans des conditions bien précises, on continue de leur inoculer un vaccin contre cette affection, dont l'utilité et l'efficacité restent douteuses. En fait, le taux de réactions adverses serait aussi élevé que l'incidence de cette maladie. Seulement sept des 22 écoles vétérinaires aux États-Unis utilisent ce vaccin, et seulement sur demande dans des situations bien précises.

    Les protocoles de vaccination  :
    Contrairement à la médecine des humains, la médecine des animaux n'a pas de protocoles d'immunisation standardisés.
    L'emploi des vaccins, leur type, le nombre de vaccins à inoculer et la dose sont établis par les fabricants . Les stratégies de mise en marché employées par le vétérinaire, la compétition, et pas nécessairement les principes d'immunologie, déterminent la fréquence de vaccination, les intervalles entre les vaccins et parfois même les doses à injecter.
    Les animaux peuvent être vaccinés inutilement, sans qu'on tienne compte des risques possibles d'exposition. Même ceux qui ne vont jamais dehors et qui n'ont aucun contact avec d'autres animaux sont vaccinés tous les ans systématiquement. Un chat qui vit seul dans un appartement au 12e étage d'un immeuble au centre-ville peut recevoir en même temps, à chaque année de sa vie, un vaccin contre la rage, la péritonite infectieuse, la leucémie, la panleucopénie, les virus respiratoires herpès et calicivirus, la chlamydiose. Les chiens qui ne vont que d'un coin de rue à l'autre ou des bras de leur maîtresse au divan peuvent recevoir chaque année pour le reste de leur vie un vaccin contre la maladie de Lyme, la rage, la maladie de Caré, l'hépatite virale, le parvovirus, le parinfluenza, le corona virus, la leptospirose et un vaccin intranasal contre la grippe du chien. Il sera bientôt possible de vacciner également contre le rotavirus qui cause une maladie rare et peu étudiée.
    Il arrive souvent qu'on vaccine un animal la veille ou le jour d'une chirurgie de routine, alors que son système immunitaire, qui sera déjà affaibli par le stress de l'opération, n'est pas en mesure, au moins pour les deux semaines suivantes, de réagir avec efficacité.
    Aux États-Unis 20 % du marché de la vaccination repose sur la vente au public. Les éleveurs et les propriétaires achètent par catalogue les vaccins qu'ils veulent donner à leurs animaux. Il est même possible de commander des seringues et des aiguilles pour les injecter, ainsi que des médicaments comme l'épinéphrine pour traiter une éventuelle réaction allergique au vaccin. Les protocoles de vaccination recommandés par les fabricants préconisent, à l'encontre de tous les principes de l'immunologie, de vacciner les jeunes animaux dans certains cas toutes les semaines pendant six ou sept semaines, alors qu'une ou deux fois à deux semaines d'intervalle, selon l'âge et le type de vaccin, est suffisant.
    Les animaux qui ne vont jamais dans les régions où une maladie est présente sont vaccinés quand même. Il s'est vendu aux États-Unis et au Canada des millions de doses d'un vaccin contre la maladie de Lyme qui n'a été signalée que dans deux États du nord-est des États-Unis32.

    Les réactions adverses  :
    Le cancer de la peau  :
    C'est un peu grâce au chat et à la nature particulière de sa physiologie que la vaccination des animaux de compagnie est devenue depuis quelque temps un sujet si controversé. En effet, cet animal est très sensible aux médicaments qui provoquent souvent chez lui des réactions indésirables. Depuis quelques décennies, les vaccins en ont tué des milliers .

    Certains vaccins contiennent des substances irritantes (adjuvants) qui servent à déclencher sur le site d'inoculation une réaction inflammatoire qui favorise la réponse immunitaire.
    Chez le chat, cette réaction, pour des raisons inconnues, se transforme en tumeur cancéreuse. Le nombre de ces tumeurs augmente avec le nombre de vaccins administrés simultanément et avec le nombre de répétitions. L'inoculation toujours au même endroit augmenterait les risques. Les vaccins contre la rage et la leucémie seraient plus particulièrement en cause, mais ce ne sont pas les seuls. L'incidence de ces cancers serait de 100 à 1000 cas par million .

    À une conférence sur la vaccination tenue à Montréal en mars 1998, le Dr Ford, un spécialiste américain de la vaccination, a même cité le chiffre de 2.000 cas sur un million .
    Même si ces réactions semblent peu nombreuses, leur nombre, mis en perspective, est significatif. Selon les calculs des Drs Denis W. Macy et Mattie J. Hendrick, on vaccine aux États-Unis 22 millions de chats par année (environ 25 millions pour l'Amérique du Nord. Il y aurait donc en Amérique du Nord de 2 500 à 50 000 cas par année. Comment réagiraient les autorités et le public en apprenant qu'en Amérique du Nord, depuis dix ans, entre 25 000 à un demi-million d'enfants sont morts d'un cancer directement relié à l'administration d'un vaccin et que diraient les parents s'ils savaient que ces vaccins sont souvent inutiles, voire inefficaces, qu'ils ne servent qu'a faire marcher les affaires et que la plupart d'entre eux sont encore couramment utilisés.

     . Les cocktails de vaccins  :
    Les vaccins à valence multiple (cocktail) qui sont d'usage courant en médecine vétérinaire et qui peuvent contenir un mélange de cinq à sept et même neuf vaccins différents sont très pratiques du point de vue commercial et ils réduisent le traumatisme associé à l'inoculation. Mais, du point de vue médical, ces vaccins ne sont pas sans inconvénients et ils soulèvent pour plusieurs raisons une vive controverse dans le milieu vétérinaire.

    D'une part, ils ne permettent pas de vacciner avec discernement selon le cas particulier de l'animal et ils ne nécessitent aucune connaissance approfondie des maladies en question. L'animal est vacciné systématiquement même contre des maladies qu'il est peu probable qu'il contracte. D'autre part, ces vaccins seraient à l'origine d'un nombre indéterminé d'échecs vaccinatoires et de réactions post-vaccinales indésirables.
    Dans des conditions naturelles, seuls un ou deux microbes à la fois peuvent menacer un individu, jamais cinq, six ou neuf à la fois. Bombardé par des doses excessives de corps étrangers différents et de façon répétée, submergé par cette invasion massive, le système immunitaire s'embrouille et se trouve incapable de réagir efficacement; la vaccination risque donc d'échouer.
    Par ailleurs, le système immunitaire peut s'affoler et fabriquer par erreur des anticorps qui attaquent et détruisent des éléments vitaux de son propre corps, comme les globules rouges et les plaquettes (éléments du sang intervenant dans la coagulation. Selon le Dr Jean Dodds, une vétérinaire américaine, ces réactions ont lieu peu de temps après la vaccination, en général dans les mois qui suivent, et se traduisent par des hémorragies internes très graves difficiles à arrêter et bien souvent fatales (maladies hémolytiques auto-immunes, thrombocytopénie, etc.). .

    La fréquence de ces réactions est inconnue, mais les chiens de race pure ayant un système immunitaire défectueux (rottweiler, doberman, épagneul, etc.) seraient particulièrement prédisposés.
    Enfin, la grande pluralité de ces vaccins et la concentration élevée d'antigènes3 qu'ils contiennent seraient aussi en cause dans l'apparition des cancers de peau chez le chat .

    .Autres réactions diverses  :
    De nombreuses autres réactions diverses ont été observées tant chez le chien que chez le chat. En voici une liste succincte: 
    • réactions d'hypersensibilité (allergie au vaccin, états anaphylactiques);
    • suppression du système immunitaire et déclenchement d'une maladie latente, comme la leucémie, la péritonite infectieuse, l'immunodéficience féline;
    • interférence avec les résultats de certains tests diagnostiques (ELISA) entraînant de faux résultats positifs;
    • susceptibilité accrue aux allergies, soit au pollen, à la nourriture ou meme à son propre corps (maladie auto-immune de la thyroïde, du rein, des globules rouges, des plaquettes, etc.);
    • aggravation de certaines affections existantes, comme le cancer, l'épilepsie, les allergies.

    À ces réactions s'ajoute la possibilité que se développe une forme atténuée de la maladie (virulence résiduelle) ou que, en raison d'une contamination bactérienne ou virale du vaccin, diverses maladies infectieuses se manifestent (variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, par exemple).
    En outre, certaines maladies chroniques, aussi bien chez les animaux que chez les humains, seraient en partie reliées à la persistance, dans les cellules, du corps des virus et des protéines utilisés dans les vaccins. Ce phénomène expliquerait l'augmentation récente du nombre de maladies chroniques chez les humains et chez les animaux. .

     .Zones grises  :

    Dans le domaine de la vaccination des animaux, il existe une multitude de zones grises qui laissent toute latitude aux spécialistes de la mise en marché. 
    1. En ce qui concerne les animaux de compagnie, même si plusieurs maladies dont la rage, la maladie de Caré (distemper), la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat, semblent bien contrôlées, il n'y a pas, comme en médecine, d'études rétrospectives autres que des rapports anecdotiques qui permettraient d'évaluer les bienfaits réels des campagnes de vaccination.
    2. Sauf pour la rage, il n'existe aucune donnée sur la prévalence et la répartition géographique des maladies infectieuses des chiens et des chats. Il n'y a aucun système de déclaration comme en médecine, et cette lacune se traduit par la vaccination systématique des animaux contre des maladies qu'ils sont souvent peu susceptibles d'attraper.
    3. Sauf pour la rage, il n'y pas d'études sur la durée d'immunité des vaccins. Les fabricants ne désirent pas poursuivre des épreuves de durée d'action au-delà d'une année, sauf si la loi les y oblige, comme pour la rage. Ces études s'arrêtent à trois ans dans le cas de la rage, mais il n'y a aucune raison de croire que ce vaccin n'est pas efficace pour une plus longue durée.
    4. Il n'y a aucune surveillance des réactions adverses à la vaccination. Les vétérinaires ne sont pas tenus de les signaler et en général ils ne le font pas .
    5. En absence de protocoles d'expérimentation standardisés, il est difficile de comparer les études.
    6. Il n'y a aucune standardisation des protocoles de vaccination comme en médecine. Chacun peut vacciner selon ses convictions personnelles ou sa stratégie commerciale .

     

     Y a-t-il réellement nécessité d'une vaccination annuelle chez le chien et le chat ?
     A chacun de se faire sa propre opinion à condition qu'il ait en main tous les éléments lui permettant d'y réfléchir sérieusement.

    D'autres articles à méditer :  link

     

     

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        Les réactions vaccinales sont effrayantes. En fait, la vaccination induit des réactions qui créent de l’anxiété, non seulement pour le propriétaire de l’animal, mais pour l’animal et le vétérinaire.
    Deux heures après que le vaccin contre la rage ait été administré le chien a été réadmis pour des démangeaisons au niveau de la tête. Ces éruptions sur la peau, appelées une réaction urticarienne, sont arrondies gonflées zones surélevées de tissus de la peau qui ont répondu localement à l’administration d’une substance à laquelle le chien est allergique.

     

          Le vaccin peut ne pas être efficace pour l’une des raisons suivantes :
    (a) Il n’est pas à jour
    (b) Il est conservé à température ambiante trop longtemps
    (c) Il est mélangé avec du diluant et n’est pas administré assez rapidement
    (d) La seringue est munie de résidus de contaminants de tissus
    (e) L’alcool est frotté sur la peau avant la vaccination
    (f) Le vaccin est exposé à la lumière du soleil, la chaleur, ou la congélation

     

     

     Certaines marques de vaccins sont plus efficaces que d’autres :


       Aucun autre fabricant de vaccin n’est en mesure de garantir que chaque animal vacciné va produire des anticorps protecteurs. Il y a un large éventail de réponses possibles à chaque vaccination.
    *L’endroit de l’administration du vaccin est très important. Si le vaccin est administré dans la peau plutôt que sous la peau lorsque la voie sous-cutanée est indiquée ou si elle est donnée dans ou sous la peau lorsque la voie intramusculaire est indiquée … Le vaccin peut ne pas être efficace dans l’induction de l’immunité. - (Science des dommages causés par les vaccins par « Catherine O’Driscoll »)
    Les études de Purdue ont également constaté que les chiens vaccinés développaient des auto-anticorps à leur propre collagène. Environ un quart de toutes les protéines dans le corps est le « collagène ». Le collagène donne une structure à notre corps, pour protéger et soutenir les tissus mous en les reliant avec le squelette. Il n’est pas étonnant que l’étude réalisée en 1997 par la « Canine Health Concern » sur 4.000 chiens ait montré un nombre élevé de chiens en développement de problèmes de mobilité peu de temps après qu’ils aient été vaccinés (noté dans mon livre 1997, Ce que les vétérinaires ne vous disent pas à propos des vaccins).
    Peut-être plus inquiétant encore, les études de Purdue ont constaté que les chiens vaccinés ont développé des auto-anticorps à leur propre ADN. Avez-vous entendu sonner la sonnette d’alarme ? Avez-vous entendu la communauté scientifique demander de mettre un terme au programme de vaccination ? Non. Au lieu de cela, ils ont pointé leurs doigts en l’air, en disant que d’autres recherches étaient nécessaires pour déterminer si les vaccins pouvaient provoquer des altérations génétiques héréditaires. Pendant ce temps, les chiens des études ont trouvés de bonnes maisons, et aucun suivi à long terme n’a été effectué. À peu près au même moment, l’American Veterinary Medical Association (AVMA) associée à la TaskForce sur le sarcome félin associé à la vaccination a lancé plusieurs études pour savoir pourquoi 160.000 chats chaque année aux Etats-Unis développent un cancer terminal au point d’injection du vaccin. Le fait que pour ces chats, recevoir le vaccin induisant le cancer a été reconnu par des organismes vétérinaires du monde entier, et même le gouvernement britannique l’a reconnu à travers son Groupe de travail chargé de la tâche de la recherche sur les vaccins canins et félins. Suite aux pressions de Canine Health Concern. Que croyez-vous qu’a été l’avis du Groupe de travail AVMA, des vétérinaires, et les gouvernements ? « Continuer sur la vaccination jusqu’à ce que nous sachions pourquoi les vaccins tuent des chats, et quels chats sont les plus susceptibles de mourir. »
    En Amérique, dans une tentative pour atténuer le problème, ils ont vacciné les chats dans la queue ou la jambe afin qu’ils puissent amputer lorsque le cancer apparaît. Excellents conseils si ce n’est pas votre chat parmi les centaines de milliers sur la « oops » liste.

     

    Les vaccins stimulent une réponse inflammatoire :


         Le mot « allergie » est synonyme de « sensibilité » et « inflammation ». Il devrait, par droits, aussi être synonyme du mot « vaccination ». C’est ce que les vaccins font : ils sensibilisent (rendre allergiques) un individu dans le processus de les forcer à développer des anticorps pour lutter contre une menace de la maladie. En d’autres termes, comme il est reconnu et accepté, dans le cadre du processus de vaccin, l’organisme réagit à l’inflammation. Cela peut être temporaire ou apparemment ce peut être de longue durée.
    *Les médecins et les vétérinaires holistiques savent ceci depuis au moins 100 ans.
    Ils parlent d’un large éventail de maladies inflammatoires ou maladies qui surviennent peu de temps après un épisode vaccinal. Après un vaccin, en fait, de nombreuses personnes plongent dans un état allergique. Encore une fois, il s’agit d’un trouble qui peut être bénin tout au long de la vie puis tout à coup fatal. Le choc anaphylactique est l’aboutissement : c’est le moment où une personne a une réaction massive allergique à un vaccin et meurt en quelques minutes si l’adrénaline ou son équivalent n’est pas administré.
    Il y a des individus qui sont génétiquement moins bien placés pour résister à la provocation par le vaccin. Ce sont les gens (et « animaux » êtres vivants doués de sensibilité) qui ont hérité de fonctions cellulaires B & T défectueuses. Les Cellules B et T sont des composants du système immunitaire qui permettent d’identifier les envahisseurs étrangers et de les détruire, et tenir l’envahisseur en mémoire afin qu’ils ne puissent causer des dommages futurs. Toutefois, lorsque les réactions inflammatoires sont concernées, le système immunitaire réagit de manière excessive et provoque des effets indésirables tels que les allergies et autres maladies inflammatoires.
    Merck nous met en garde dans son manuel par rapport aux patients atteints, ou issus de familles avec une immunodéficience en cellules B et/ou T qui ne doivent pas recevoir des vaccins à virus vivants à cause du risque d’infection grave ou mortelle. Ailleurs, il répertorie des fonctionnalités affectées par un déficit immunitaires en cellulles B & T telles que les allergies alimentaires, allergies respiratoires, eczéma, dermatite, une détérioration neurologique et les maladies cardiaques. Pour traduire, les personnes atteintes de ces conditions peuvent mourir si elles reçoivent des vaccins à virus vivants. Leur système immunitaire n’est simplement pas assez compétent pour garantir une saine réaction à l’agression virale des vaccins à virus vivants modifiés.
    Les vaccins à virus vivant modifié (MLV) se répliquent chez le patient jusqu’à ce qu’une réponse immunitaire soit provoquée. Si une défense n’est pas stimulée, alors le vaccin continue à se reproduire jusqu’à ce qu’il donne au patient la maladie même qu’il avait l’intention de prévenir.
    Une nouvelle théorie, tombée grâce à Gary Smith, étudiant de l’Université Open, explique ce que les praticiens holistiques ont dit depuis très longtemps. Voici ce que quelques-uns des vétérinaires holistiques ont dit au sujet de leurs patients :
    Dr Jean Dodds : « Beaucoup de vétérinaires relient les problèmes actuels avec des maladies allergiques et immunologiques à l’introduction de vaccins vivants atténués … »
    Christina Chambreau, DVM : « les vaccinations de routine sont probablement la pire chose que nous faisons pour nos animaux Elles provoquent toutes sortes de maladies, mais pas directement, ce qui nous permettrait de conclure absolument qu’elles sont causées par le vaccin. »
    Martin Goldstein, DVM : «Je pense que les vaccins … sont les plus meurtriers de chiens et de chats en Amérique aujourd’hui. »
    Dr Charles E. Loops, DVM : « les vétérinaires homéopathiques et d’autres praticiens holistiques ont maintenu pendant un certain temps que les vaccinations faisaient plus de mal que ce qu’ils offraient comme avantages. »
    Mike Kohn, DVM : « . En réponse à cette violation [vaccin], il y a eu une augmentation des maladies auto-immunes (les allergies étant un composant), épilepsie, néoplasie [tumeurs], ainsi que des problèmes de comportement chez les petits animaux »

     

     Une théorie sur l’inflammation :


          Gary Smith explique ce que les praticiens de soins de santé attentifs disent depuis très longtemps, mais peut-être qu’ils n’ont pas compris pourquoi leurs observations les ont amené à le dire. Certains pensent que sa théorie pourrait conduire à la guérison de nombreuses maladies dont le cancer. Pour moi, il explique pourquoi le processus vaccinal est intrinsèquement douteux.
    « Le cancer a été décrit comme la plaie qui ne guérit jamais », dit-il. « Tous les succès des cancers sont entourés par une inflammation. Communément ceci est pensé pour être la réaction du corps pour tenter de lutter contre le cancer, mais ce n’est pas le cas. »
    « L’inflammation n’est pas le corps en essayant de combattre l’infection. Il est en fait le virus ou la bactérie qui cause une inflammation délibérément afin de se dissimuler au système immunitaire. »
    Si Gary a raison, alors le processus inflammatoire si souvent stimulé par les vaccins n’est pas, comme assumé par le passé, un signe forcément acceptable. Au lieu de cela, il pourrait être un signe que la composante virale ou bactérienne, ou l’adjuvant qui, contenant des protéines étrangères, est considéré comme un envahisseur par le système immunitaire, dans le vaccin est de gagner à la dérobée.
    Si Gary a raison de croire que la réponse inflammatoire n’est pas un signe de protection, mais que l’invasion a lieu sous le couvert de l’obscurité, les vaccins ne sont certainement pas les amis que nous pensions qu’ils étaient. Ils sont des assassins travaillant pour le compte d’infiltration de l’ennemi, et les vétérinaires et les médecins sont involontairement agissants en tant que collaborateurs. Pire, les tuteurs et les parents des animaux que nous sommes en train de payer les médecins et les vétérinaires à leur insu voir de trahir nos proches.
    Le système immunitaire des chiens et des chats est en pleine maturité à six mois. Si un vaccin à virus vivant modifié est donné après l’âge de six mois, il produit une immunité, ce qui est bon pour la vie de l’animal. Si un autre vaccin à virus vivant atténué est donné un an plus tard, les anticorps à partir du premier vaccin neutralisent les antigènes du second vaccin et il n’y a peu ou aucun effet. Le système n’est pas « boosté « , ou il n’y a pas plus de cellules à mémoire induite.
    Non seulement les rappels annuels sont inutiles, mais ils soumettent l’animal à des risques potentiels, tels que des réactions allergiques et anémie hémolytique immunitaire.
    En langage clair, les écoles vétérinaires en Amérique, plus « l’American Veterinary Medical Association », ont examiné des études pour voir combien de temps les vaccins durent et ils ont conclu et annoncé que la vaccination annuelle n’est pas nécessaire.
    En outre, ils ont reconnu que les vaccins ne sont pas sans danger. Dr Ron Schultz, chef de pathobiologie à l’Université du Wisconsin, l’a dit poliment à ses collègues vétérinaires depuis les années 1980. J’ai été le dire pour les 12 dernières années. Mais le changement est si long à venir et, dans l’intervalle, des centaines de milliers d’animaux meurent chaque année inutilement.
    Certains d’entre nous, moi y compris, ont choisi de ne pas vacciner nos animaux de compagnie du tout. Notre récompense est des chiens en bonne santé et avec longue vie.
    Vous donner ces bonnes et simples nouvelles n’aura pris qu’un seul paragraphe. La gratitude que je ressens chaque jour, quand j’embrasse mon chiens en bonne santé, s’étend du centre de la Terre à l’Univers et au-delà. [Catherine O'Driscol ]
    La sécurité des vaccins (?)
    Une étiologie possible de maladies auto-immunes par : William R. La Rosa, M.D. (fiduciaire)
    1. Ces études semblent confirmer les conclusions de certains éleveurs que les vaccinations multiples peuvent être nocifs pour les chiens. Soyez prudent, se tenir au courant dans la littérature scientifique.
    2. Les vaccins actuels induisent les auto-anticorps. Les contaminants peuvent être une partie du problème.
    3. Nous avons besoin de faire des recherches et expliquer le mécanisme. Pouvons-nous trouver le marqueur génétique pour éviter l’effet indésirable de la vaccination ?
    4. Le chien est un bon modèle pour l’étude parce que certaines races différentes ont déjà la susceptibilité à des maladies spécifiques et des marqueurs génétiques seront plus faciles à trouver que dans d’autres animaux divers de même que les humains.
    5. Quelle est la solution ou la guérison, et surtout comment est-ce applicable à l’homme ?
    6. La plupart des vaccins actuels sont efficaces dans la prévention de la maladie, mais ils peuvent être administrés plus fréquemment que ce qui est réellement nécessaire.

     

     VACCINATION ANNUELLE DES ANIMAUX DE COMPAGNIE : 
    Y a-t-il réellement nécessité d’une vaccination annuelle chez le chien et le chat ?
    A chacun de se faire sa propre opinion à condition qu’il ait en main tous les éléments lui permettant d’y réfléchir sérieusement.

     

              Le secret qui se cache derrière la vaccination !
                                            Première partie (1/3)
     Les Faits !
    Presque sans exception, il n’y a aucune exigence immunologique pour faire revacciner annuellement un chien, comme pour ce qui est de la vaccination humaine pour la grippe. L’immunité aux virus persiste pour des années ou même pour la vie de l’animal. Une vaccination réussie à la plupart des agents bactériens pathogènes, produira une mémoire immunologique qui durera des années. Ceci permettra à l’animal de développer un système de protection (secondaire) qui répondra quand il sera exposé aux organismes virulents.

     

     Le dilemme fondamental !
    Le dilemme fondamental est que cette vaccination répétée a aussi comme effet d’affaiblir les gènes d’une population donnée et donc sa santé. Ce qui amène à ce que sans cette vaccination, les individus qui sont naturellement faibles tomberaient malades et mouraient. La maladie comme telle, est un moyen naturel qui set à « assainir » et donc fortifier une population donnée. Cela représente une situation embarrassante pour l’étique vétérinaire.
    (Nos descendants autochtones ou aborigènes, avaient compris que de laisser mourir les individus faibles étaient non seulement nécessaire mais aussi adéquat).
    Cependant dans nos sociétés (humanisées) le droit de vie de chaque individu est pris pour acquis et par conséquent, nous faisons des efforts pour sauver tous les individus. Mais toutes les réponses à cette question naturellement mensongères de l’individualité sont en elles-mêmes très compliquées.
    Les vétérinaires sont donc en face d’un grand défi quand arrive le temps de négocier avec les maladies aiguës. Est-ce que les vaccinations peuvent prévenir ces maladies aiguës ? Si l’échange est pour une vie de maladie chronique, est-ce donc une option viable ?
    La toux chronique par exemple, qui est communément appelée « la toux de chenil », est la maladie du Parvovirus qui affecte les intestins et produit de la diarrhée sévère et des vomissements jusqu’au sang. En outre la fréquence de la maladie de l’intestin provocatrice chez les chiens paraît être en augmentation depuis 2002. La vaccination pour le Parvovirus Canin est effective depuis une quinzaine d’années, ce qui contraste avec l’histoire beaucoup plus longue de la vaccination du Parvovirus Félin. Ce portrait annonce donc un futur effrayant pour les chiens si le rapport est exact.
    En premier lieu, il faut vous souvenir que les doses à répétition des vaccins sont inutiles. Nous pourrions arrêter toute la vaccination après une année d’âge de l’animal pour virtuellement toutes les maladies.
    Deuxièmement : Tous les vaccins devraient être administrés comme antigènes seuls. (Un antigène est une substance étrangère à l’organisme, susceptible de déclencher une réaction immunitaire en provoquant la formation d’anticorps : dans ce cas, un organisme viral ou bactérien pour lequel le vaccin est produit).
    L’exposition naturelle aux maladies devraient donc se faire une à la fois et non pas toute en même temps! Le corps est plus enclin à répondre à seulement un antigène et à produire l’immunité sans effets adverses, plutôt que de répondre à un complexe mélange d’antigènes. Par conséquent, plutôt que donner un groupe d’antigènes par groupe de trois ou quatre dans la même visite, les composants individuels devraient être donnés ou utilisés sur un programme alternant avec un minimum de répétition.
    Troisièmement : Seulement faire une vaccination pour les animaux qui rencontrent un des quatre critères suivants :
    1. Lorsque la maladie est sérieuse et menace la vie de l’animal
    2. L’animal est ou sera exposé à la maladie.
    3. Le vaccin pour la maladie est connu pour être très efficace
    4. Le vaccin pour la maladie est considéré comme étant vraiment sans danger.
    Beaucoup de vétérinaires recommandent d’immuniser les chats d’intérieurs contre la Leucémie Féline. Plusieurs vétérinaires aussi considèrent cela comme étant IMMORAL. Cette maladie ne fait pas partie des critères précédents. La vaccination est donc injustifiée dans la plupart des cas. Certains vaccins ont été trouvés généralement inefficaces et produisent des effets secondaires sévères.
    Chez les chiens, le virus de l’hépatite Canine est presque inexistant. La Leptospirose est aussi extrêmement rare et souvent de sérodiagnostic différents, qui sont utilisés dans le vaccin.
    La maladie de la toux de chenil n’est pas généralement sérieuse (critère 1) et une étude a montré que l’immunisation par vaccin pourrait être contre-productive, inefficace ou de résultat égal si non-vacciné.

    Ce que chaque propriétaire d’animaux devrait savoir !!!
    Même si les vaccinations ont aidé à extirper ou réduire la fréquence de la maladie sévère, aiguë qui s’est développée, le résultat a été de persécuter l’humanité avec des maladies plus insidieuses, chroniques qui sont beaucoup plus difficiles à traiter. Ce qui a pour effet de diminuer la qualité de vie de beaucoup d’animaux domestiques et de personnes.
    La meilleure façon de maintenir une bonne santé est de les nourrir de nourriture fraîche, viandes pour les carnivores et éviter des vaccinations et des médicaments allopathiques.
    Antibiotiques et autres drogues allopathiques ne devraient être utilisées que dans des situations ou leur usage est seulement clairement indiqué et ce ne devrait être que dans des situations potentiellement dangereuses pour leur vie.
    Chaque fois que vous supprimez un symptôme que le corps produit, vous diminuez l’état de santé du système immunitaire.

     

                                             Deuxième partie (2/3)
          Si vous avez un chien ou un chat ! Les experts prétendent que la vaccination annuelle en plus d’être un gaspillage d’argent est risquée. Ce que beaucoup de propriétaires d’animaux de compagnie ne savent pas, disent les chercheurs, est que, ces vaccins annuels pour chiens et chats sont un gaspillage d’argent et deviennent potentiellement un danger mortel.
    L’efficacité de ces vaccins pour les maladies dont ils sont administrés, ont un impact de trois à quatre années, ou même plus, et les vaccinations annuelles ont exposées vos animaux à plus de problèmes de maladies apparentés à ces vaccinations.
    Le Département de la Santé du Texas tiens des auditions publiques pour considérer de changer la vaccination annuelle pour une fois aux trois ou quatre ans. Trente-trois autres états ont déjà adopté un programme pour la « rage » à chaque trois ans. Les Universités vétérinaires du Texas enseignent maintenant que la plupart des vaccins devraient être donnés au chaque trois ans seulement. « Les vétérinaires chargent aux clients millions de dollars annuellement pour des vaccinations qui ne sont pas nécessaires, non seulement ces vaccins sont inutiles, mais en plus ils causent d’énorme dommages à nos animaux de compagnies. »
    Ces nouvelles ont été lentes avant d’atteindre les consommateurs, ceci est en partie dû à ce que peu de vétérinaires à l’extérieur des institutions académiques embrassent le concept.
    Les concepteurs pharmaceutiques de vaccin n’ont pas fait les études, donc n’ont pas changé les étiquettes sur les fioles de vaccin. Un vétérinaire qui charge à pour les vaccins annuels, est peu disposé à défier les directives de l’étiquette du vaccin puisqu’il risque de perdre une source importante de revenu. De plus, ils s’inquiètent aussi que leurs patients ne se présentent pas à leur examens annuels $$$ s’ils n’ont plus la raison obligatoire de faire vacciner leur animal.
    Le mouvement vétérinaire pour augmenter l’intervalle entre les vaccinations, gagne du terrain dû à l’évidence croissante que les vaccins eux-mêmes peuvent déclencher un cancer fatal chez les chats et/ou un désordre mortel sanguin chez les chiens.
    Le Parvovirus qui tue les chiens de façon horrible et rapide en causant une prolifération toxique des bactéries dans le système digestif, a été vaincu avec un vaccin. Aux cours des ans, de plus en plus de vaccinations ont été ajoutées au programme, pour prévenir la dispendieuse et potentiellement maladie mortel chez les membres Canins et Félins.


       Cependant les vétérinaires ont commencé à remarquer quelque chose de menaçant :
    Des exemples rares de cancer chez des chats normaux et sains et une réaction immunitaire exceptionnelle chez les chiens. Les vaccins ont apparemment causé « le fibrosarcome félin », une tumeur grotesque à l’emplacement de l’injection du vaccin, qui est fatale, si elle n’est pas découverte tôt et complètement enlevée.

     

     Les chiens eux ont développé une maladie aussi apparentées aux vaccins, qui provoque dans le corps de l’animal, le rejet de son propre sang.
    « Ce qui a amené les gens à se poser de plus en plus de questions. »
    Si nous pouvons causer ce genre de mal avec un vaccin … Est-ce possible que nous vaccinons trop ?
    Si vous augmentez la quantité de vaccins à injecter, la possibilité qu’un vaccin cause une augmentation de résultats néfastes, peut donc augmenter en proportion de celle-ci. Les autorités Fédérales exigent que les fabricants de vaccins démontrent seulement qu’un vaccin est efficace.
    Il n’y a aucune exigence Fédérale pour démontrer la durée d’efficacité maximum d’un vaccin.
    Handy Zislin, un vétérinaire du Centre de Santé Animal de Fort Dodge aux États-Unis, un des plus grand fabriquant de vaccins animal au monde, dit qu’une telle étude serait très dispendieuse à produire et serait inhumaine puisqu’elle exigerait des centaines d’animaux, dont plusieurs devraient être gardés en isolement pour une période allant jusqu’à cinq années. Cependant il ne spécifie pas combien de milliers d’animaux son morts en laboratoires pour la mise au point de ces mêmes vaccins avec lesquels la compagnie fait des milliards annuellement.
    Mais heureusement un nombre croissant de vétérinaires mettent l’accent sur d’autres services, tel que la chirurgie et la médecine holistique animal (La médecine holistique est une pratique visant à traiter la personne de façon globale « le corps et l’esprit » et non pas seulement la partie affectée par les symptômes.). Le Dr Wolf pense que si les gens économisent sur le prix d’une vaccination, ils seront plus enclin à faire faire un détartrage des dents de leur animal ou autre service tel que, la coupe de griffe et le vidage des glandes anales.
    « Je pense qu’il y a définitivement une question de profit là-dedans ; ne me comprenez pas mal ». dit le Dr Wilkie d’Allemagne.
    Les gens sont disposés à dépenser de l’argent sur leurs animaux familiers pour le traitement de leurs maladies. Bien que les vaccins soient une partie du profit, ils ne représentent pas la plus grosse partie.
    Nous venons juste de faire une chirurgie de genou sur un chien, qui vient de coûter 0 à son propriétaire… Les recherches vétérinaires confrontent la notion que vos animaux de compagnies ont besoin d’être vacciné tous les 12 mois.

     

                                          Dernière et Troisième partie (3/3)
      Lisez les commentaires de vétérinaires qui croient que les vaccins endommagent vos animaux familiers.
    Le plus récent, un article qui a paru dans le Journal of the American Veterinary Medical Association intitulée « Est-ce que nous vaccinons trop ? »
    Dr. Richard Pitcairn D.M.V et Ph.d : « Pour plusieurs de mes collègues, la vaccination est tout, excepté quelques chose de merveilleux et que cela peut à la limite sauver des vies, qui arrive comme une surprise. Idée, qui vous le conviendrez, n’est pas vraiment agréable en soi. Après tout, la population générale décrit les vaccins comme une médecine moderne, étant ce qu’il y a de mieux, et qui peut sauver des millions de vies comme ce fut le cas lors du fléau de la Polio et de la Petite vérole. » Les allergies de peau et réactions allergiques, ont été associées à l’administration de vaccins. Un nombre phénoménal de chiens et de chats, ont aujourd’hui des problèmes de peau.
    D’autres maladies sont aussi reliées à l’administration de vaccination ou en sont suspectées ; L’épilepsie et les désordres thyroïdiens. Ces effets adverses peuvent heureusement être enrayés grâce à l’homéopathie.
    Dr. McCluggage DMV couvre aussi la perspective holistique des médecines douce sur les vaccinations. Il a affirmé que « nous devons arrêter de préconiser des vaccins annuels à cause du mal que nous faisons aux animaux en leur inoculant ces vaccins. » Il a suggéré le concept homéopathique de « La lois du semblable »

     

     Est-ce vraiment sans danger et efficace ?
    L’établissement médical a convaincu les gens que l’inoculation de vaccin en masse, est pour le bien de tous, oblitérant ainsi la santé de tout individu…
    1. Pourquoi détruire le système immunitaire de vos chiens, chats et autres ?
    2. Pourquoi utiliser des Antibiotiques qui peuvent causer d’autres dommages, quelques fois irréversibles ?
    3. Pourquoi accepter de laisser souffrir ainsi vos animaux familiers ?
    4. Pourquoi utiliser des anti-inflammatoires chimiques, pour soulager la douleur quand il y a plusieurs alternatives avec des produits naturels et sans danger ?
    Plusieurs bons vétérinaires recommandent de plus en plus, d’utiliser l’homéopathie pour diminuer les effets secondaires de la vaccination.
    « Après 10 années de pratique vétérinaire, j’en suis devenu fatigué de n’avoir aucun traitement valable pour les maladies chroniques, et autres pléiades de maladies allergènes qui semblent persécuter de plus en plus de confrères en Cliniques. J’ai été frustré avec la cortisone que je donnais aux animaux parce que je n’avais pas d’autres alternatives ou que d’utiliser des antibiotiques pour des infections dont, je savais, quelles étaient d’origines virales. Il y a tellement de choses qui peuvent être fait pour un animal qui souffre, que ce soit un oiseau, reptile ou autres, en utilisant les médecines douces ou dites naturelle. » Dr Charles E Loops D.M.V. Finalement, un commentaire au sujet de la vaccination, et faire des choix.
    Bien que le concept de posséder un animal en est un avec lequel nous sommes inconfortables, il faut reconnaître ici, qu’il faut aussi envisager le problème du côté légal du rapport humain/animal. Autrement, il pourrait être dit que nous sommes tout simplement les gardiens de nos animaux de compagnie. Dans cet ordre d’idées, le choix face à la vaccination repose sur nous, qui avons accepté la responsabilité de cet être vivant, et donc le choix qui vient avec.

     

     Ce que vous pouvez maintenant faire quand votre animal est malade :
    Il y a une meilleure façon d’apporter la santé à votre animal domestique et de le garder sain longtemps…
    La médecine holistique vétérinaire, entreprends de rendre votre animal familier aussi sain que possible et à lui refaire un système immunitaire fort, toujours bien sûr selon sa génétique d’origine, et à développer graduellement leur corps pour s’adapter à une nourriture saine pour eux. Bilan de santé complet avec fiche de suivi, produits personnalisés en fonction du terrain de l’animal, de l’homéopathie, phytothérapie, gemmothérapie, organothérapie, aliments thérapeutiques et plus …
    J’espère que ce rapport a pu vous en apprendre plus sur les problèmes causés dans certains cas par la vaccination. De mon coté si j’ai eu l’aptitude de vous le présenter, j’ai aussi la responsabilité morale de ne pas vous laissez à vous-même et de vous offrir cette solution ci-dessus mentionnée. [ Dominick Lanoue ]

     

     Rapport sur la Vaccination - conclusion
    J’ai pensé que plusieurs d’entre vous qui ont lu le rapport sur la vaccination ou qui sont encore septiques seront intéressés par ceci.
    (J’ai tendance à croire les remarques qui vont suivre. Ayant moi même un chat et un chien qui ont déjà été affectés par les vaccinations répétitives. Le commentaire de mon vétérinaire fût : plus de vaccin sauf celui obligatoire de la rage !. )
    *Depuis quelques temps maintenant, certains vétérinaires soutiennent que les chiens N’ONT PAS BESOIN de vaccinations pour chaque maladie, exception faite pour celle de la rage, question de réglementation. Les vaccins, affaiblissent et endommagent le système immunitaire. Ces vaccinations causent toutes sortes de problèmes de santé tel qu’allergies, problèmes de peau, tumeurs, et cela sans arrêt.



    « Sommes-nous entrain de tuer nos animaux avec la survaccination » ?

     

     Voici en résumé le contenu de ce rapport :
    L’article indique qu’il est de plus en plus évident que de construire le système immunitaire par la vaccination annuelle des chiens et pour les maladies telle la rage, parvovirus et autres ne sont pas nécessaires et deviennent même dangereuses pour nos animaux.
    Des études récentes et continues, faites dans plusieurs universités, suggèrent que l’immunisation aux virus par la vaccination annuelle est un gaspillage d’argent puisque l’effet dure plusieurs années et qu’en bout de ligne cela se résume par un gaspillage d’argent. Tiens donc ! Il me semble avoir lu ça quelque part.
    Le Dr. Larry Glickman de Université Vétérinaire Purdue au états unis et ses collègues dit que de vacciner les chiens à répétition leur fait produire des anticorps contre leur propre grès. Il en résulte alors des problèmes d’auto-immunisation.
    Dans une annonce publique très politisée l’année dernière, L’association médical des vétérinaires américain a reconnu que les pratiques de la vaccination annuelle étaient basées sur des « précédents historiques » et non pas sur « des données scientifiques ». ‘
    Que pensez-vous maintenant de cette citation du « Dr. Ronald Schultz, Président de l’Université du Wisconsin attaché au département des Sciences Pathobiologique qui dit : « Mes propres animaux familiers sont vacciné quand ils sont chiots et chatons une fois ou deux, et ensuite plus jamais à l’exception de celui de la rage ». Notez qu’il s’agit ici d’un homme, qui sait sûrement de quoi il parle et qui a vu et fait, des centaines et des centaines de nécropsies.
    Lisez maintenant celle-ci. ‘ Pfffizer, Inc. (une méga compagnie pharmaceutique) a décidé de tester son vaccin contre la rage sur des animaux vivants supposément pour un an. Devinez ce qu’ils ont découvert ? L’immunisation est efficace pour un période de trois ans !. Tiens donc ! Il me semble avoir déjà lu celle-là aussi.
    Ils ont donc décidé de vendre la même formule simplement sous des étiquettes différentes. L’une, d’une année et l’autre efficace pour 3 ans de façon à se conformer à la réglementation des différents états américain.
    Alors, que pensez-vous de toutes ces expérimentations faites sur le dos de votre chien bien-aimé ?
    Il est temps que les gens se réveillent !!
    Et tous ces bureaucrates de l’autre cotés qui disent que les herbes naturelles de Mère nature sont néfastes !!
    Ils vous prennent vraiment pour des imbéciles…
    Si votre animal familier a un système immunitaire fort, alors il n’y a virtuellement rien contre lesquel son corps ne peut lutter. Nourrissez-le avec de l’excellente nourriture de base naturelle et augmentez les traces de minéraux dans son système. Les infections bactériennes et virales, y compris le Virus du Nil et la maladie de Lyme, n’y résisteront même pas.
    Il y a quand même des occasions où un chien, va avoir besoin aide, pour combattre une bactérie ou un problème viral. Pour ceux-ci et tout les autres problèmes, nous vous suggérons seulement des herbes et ingrédients naturels de mère nature, que de plus en plus de vétérinaires offrent.
    Est-ce que ces produits naturels travaillent ? Si vous avez la bonne qualité de remède et si vous le croyez, êtes appliqué et sérieux face au retour à la santé de votre chien, oui cela va fonctionner. Si vous êtes responsable, dans l’attention que vous portez à votre meilleur ami .
    Pour éviter les troubles physiques, mais aussi le stress, il est important que nos chiens et nos chats puissent s’adapter à un environnement souvent bien éloigné de leur territoire naturel (chats, chiens, mais aussi lapins et petits rongeurs, oiseux ou reptiles). En dehors de cet environnement, ils développent les mêmes troubles que les êtres humains : stress, maladies, déprimes…
    Tous les animaux malades, quelle que soit leur pathologie, peuvent bénéficier d’un protocole d’accompagnement en médecines naturelles, lequel peut être proposé seul ou en complément d’un traitement allopathique. Ainsi l’homéopathie peut tout à fait cohabiter avec des antibiotiques, et la plupart des plantes médicinales utilisées en phytothérapie chez le chien et le chat également. Ces remèdes vont agir sur le processus bactérien (multiplication par exemple) et l’homéopathie agira sur l’animal affaibli, malade, en stimulant sa vitalité et en permettant à nouveau à son immunité d’être rétablie.
    Tous les animaux sont réceptifs aux médecines naturelles = chiens et chats, mais aussi lapins, tous petits rongeurs, chevaux, ânes, moutons, chèvres, les oiseaux, les poissons, et bien entendu vaches, déjà traitées avec les thérapies naturelles dans les élevages répondant aux normes biologiques.
    En fait, cependant, dans la réalité, les principales demandes de soutien en médecines naturelles chez le chien ou le chat concernent des maladies où l’allopathie est déficiente, à savoir :
    Toutes les maladies de peau, qu’elles soient ou non parasitaires, qu’elles soient ou non prurigineuses = dermites, dermatoses, démodécie, pyodermite, eczéma félin, teigne, dépilations des rongeurs et furets, abcès, ulcères, alopécies etc.
    Les enseignements issus des médecines naturelles nous permettent de recréer un milieu adapté à leur épanouissement et jouent un rôle important dans la prévention.
    Chez le chien ou le chat senior, vieillissant = Chez les animaux âgés, l’homéopathie accompagne le plus souvent l’allopathie. Par exemple le vieux chien tousseur atteint d’une cardiopathie irréversible recevra un traitement allopathique pour aider son cœur et un traitement homéopathique (qui tiendra compte de sa cardiopathie et de son traitement médicamenteux) pour améliorer sa fonction musculo-squelettique ou ostéo-articulaire. Le vieux chien déprimé retrouvera par un traitement homéopathique une qualité de vie compatible avec celle de sa famille, sans avoir les effets indésirables ou les réactions secondaires des antidépresseurs ou anxiolytiques. Les vieux chats diabétiques seront fort aidés par un soutien en homéopathie, lequel permettra souvent un traitement plus confortable pour l’animal. Chez le cheval ou l’âne, homéopathie et phytothérapie permettent une vie confortable où la motricité est préservée plus longtemps, soulageant efficacement les douleurs des rhumatismes ou de l’arthrose.
    De nombreux autres troubles ou maladies répondent favorablement à l’association homéopathie/phytothérapie ou à une de ces deux médecines naturelles seule. Pour n’en citer qu’une liste non exhaustive, voici quelques-unes des maladies pour lesquelles sont le plus consultés les praticiens de santé en médecines naturelles spécialisés chiens et chats :
    -Troubles ORL (yeux, oreilles, respiration, lèvres et gueule)
    -Troubles de la sphère urinaire (cystites, urétrites, pyélonéphrites)
    -Affections ostéo-articulaires
    -Maladies de peau, troubles dermatologiques
    -Syndromes allergiques
    -Troubles gynécologiques (vulvite, vaginite, métrite)
    -Maladies digestives (vomissements, diarrhées, nausées, colites, rectocolites etc.)
    -Aide à la mise-bas et soutien de l’allaitement, chez la chatte comme chez la chienne
    -Infertilité chez la femelle
    -Pathologies des glandes endocrines (surtout thyroïdiennes)
    -Soutien de maladies du coeur ou des reins
    -Soutien du diabète insulino-dépendant
    -Complément des traitements contre les cancers : fibrosarcomes, tumeurs, cancers divers
    -Maladies auto-immunes
    -Renforcement des défenses immunitaires de l’animal senior
    -Renforcement des défenses immunitaires du bébé trouvé/adopté (chiot, chaton)
    -Drainages et détoxifications après traitement allopathique (pour nettoyer l’organisme du passage des médicaments chimiques et de leurs résidus dans les organes vitaux)
    -Cures de santé/maintien en forme aux changements de saison
    -Désintoxications aux métaux lourds
    -Certaines maladies chroniques du système nerveux central telles que les épilepsies
    -Certaines maladies complexes du système musculaire telles que la myasthénie
    Compte-tenu du nombre fort étendu de remèdes homéopathiques disponibles en pharmacopée française (plus de 300), et du nombre intéressant de plantes médicinales pouvant être utilisées sans risque sur l’animal en phytothérapie, il est bien évident que la médecine non conventionnelle permet un choix immensément plus vaste et plus riche que l’allopathie.
    De plus, les médecines naturelles sont un ensemble de thérapies particulièrement douées pour la prévention, ce que l’allopathie ne sait pas faire. Avec les médecines naturelles, il devient tout à fait normal de se mobiliser pour éviter la maladie. C’est le propre des médecines naturelles que de proposer régulièrement aux chiens, chats, des cures de santé/maintien en forme, de détoxifier habilement les organismes surchargés, ou de renforcer les défenses immunitaires à l’approche de l’hiver et au retour du printemps.
    Ainsi, toute maladie animale, affection d’un chien, trouble d’un chat, peut être envisagée sous l’angle des médecines naturelles, soit comme alternative aux médicaments allopathiques, soit comme renforcement de leurs effets.

     

    (Source Eveil 2012)  

     

     PS : D'autres articles suivront tout aussi intéressant !!!!!!!!

    Je ne vaccine plus mes chats depuis 3 ans .

    Une semaine aprés le vaccin Balrog avait plusieurs symptômes : soit une grande lassitude musculaire qui durait jusqu'à 3 semaines, soit il traînait le train arrière quelques jours .......

    Callis faisait des oedèmes faciaux à chaque fois .

    Avec toutes ces cartes en main, aprés mûre réflexion, plusieurs témoignages et recherches, et bien sûr avec l'accord de notre vétérinaire nous avons tout arrêté . 

    Je dois dire que Balrog et Callis sont des chats d'intérieur .

    PS 1 : J'ai supprimé les liens qui ne correspondaient plus .  

     

       


    12 commentaires
  • La vaccination des animaux par le professeur Charles Danten :
     
      La vaccination, "cet acte médical privilégié, raisonné et toujours délicat", inventée par Jenner en 1796 et mise au point par Pasteur (1885), Salke (1954) et de nombreux autres, sert à induire la protection d'un individu ou d'une population contre une ou plusieurs maladies.
    Son principe est bien connu; il consiste à administrer à un être vivant la forme atténuée d'un microbe ou d'une toxine dans le but de provoquer la formation d'anticorps et d'une mémoire immunologique qui lui permettra de réagir et de résister à une maladie.L'utilisation, même judicieuse, des vaccins comporte toujours certains risques, mais en général on pense qu'ils sont largement compensés par les avantages. Il semblerait toutefois qu'en médecine vétérinaire la vaccination soit devenue depuis quelques décennies un acte risqué, dans certains cas dangereux et souvent sans aucune justification médicale. Ainsi, plusieurs sont d'avis que certains vaccins sur le marché sont inefficaces et que les animaux sont souvent vaccinés inutilement .

    • La vaccination annuelle :

      Depuis environ vingt-cinq ans, les fabricants pharmaceutiques recommandent, sans justification scientifique, la vaccination annuelle des carnivores domestiques (chat, chien, furet). Or les principes de l'immunologie garantissent qu'une proportion statistiquement significative d'individus seront protégés pour une longue période, voire à vie, par une vaccination bien menée. C'est particulièrement vrai pour les vaccins contre les maladies virales aiguës comme la maladie de Caré (distemper) du chien et du furet, l'hépatite et la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat. Déjà en 1978, une étude chez le chat avait démontré qu'il était suffisant de vacciner tous les trois ans et récemment les Dr Fred W. Scott et le Dr Cordell M. Geissinger, deux vétérinaires, chercheurs Américains de l'Université de Cornell, ont démontré de façon convaincante que des chats correctement vaccinés étaient encore protégés… plusieurs années plus tard
      .
    Les Drs Schultz et Phillips, deux spécialistes américains, écrivaient en 1996 ce qui suit dans ce qui est considéré comme la bible en médecine thérapeutique vétérinaire (Kirk's Current Veterinary Therapy):
    "Une pratique commencée il y a de nombreuses années et qui manque de validité et de vérification scientifique est la vaccination annuelle. Presque sans exception, il n'est nullement besoin, du point de vue immunologique, de vacciner annuellement. L'immunité par rapport aux virus persiste pendant des années, voire durant toute la vie de l'animal. Une vaccination réussie produit une mémoire immunologique qui dure des années et qui permet à un animal de réagir adéquatement lorsqu'il est exposé à un organisme virulent. La pratique de la vaccination annuelle, à moins d'être utilisée comme un moyen pour faire faire un examen annuel ou d'être requise par la loi, comme c'est le cas dans certaines régions pour la vaccination contre la rage, devrait être considérée, à notre avis, comme peu efficace.
    Le Dr Niels C. Pedersen, du département de médecine et d'épidémiologie de l'École de médecine vétérinaire de l'Université de Californie, a corroboré cette opinion au cours d'une conférence organisée en mars 1997 par l'une des associations vétérinaires les plus importantes au monde, l'American Animal Hospital Association (AAHA):
      "De nombreux vétérinaires et un nombre encore plus grand de clients en sont venus à remettre en question le fondement médical de la vaccination annuelle, de routine, de leurs animaux, et avec raison ! Cette pratique n'est pas défendable, alors pourquoi continuer à débattre et à ignorer la question?Nous ne nous faisons pas inoculer cinq ou six vaccins différents chaque année de notre vie, alors pourquoi en serait-il autrement pour nos animaux? On inocule plusieurs vaccins aux humains pendant l'enfance et ils assurent une protection à vie pour une proportion significative des sujets vaccinés. Il y a vingt ans, les vaccins étaient injectés seulement aux chiots et aux chatons. La seule exception était la rage, contre laquelle on préconisait un rappel à deux ou à trois ans, plus pour des raisons d'hygiène publique que pour protéger la santé de l'animal. Pourquoi, alors, persistons-nous à donner des injections de rappel annuellement, alors que cette pratique n'est pas justifiée d'un point de vue médical ? Les justifications originales de cette pratique s'appuyaient sans doute sur des rapports anecdotiques de la déclaration d'une maladie chez des animaux âgés et vaccinés et sur la nécessité de faire revenir un animal chaque année pour un examen physique complet. Malheureusement, la première de ces justifications n'est pas fondée et la deuxième était probablement donnée pour mieux faire avaler la nécessité d'une inoculation annuelle. Les vaccins de rappel sont perçus par beaucoup de gens comme un moyen pour le vétérinaire de faire de l'argent."

    • Les vaccins à la recherche d'une maladie :

      Alors que le nombre de vaccins pour les humains est relativement restreint, les vaccins pour les animaux sont nombreux et leur nombre augmente presque chaque année. Depuis 1975, le nombre de vaccins sur le marché a plus que doublé et cette prolifération répond plus aux impératifs du commerce qu'à la nécessité d'enrayer une épidémie ou certaines maladies infectieuses endémiques (maladie permanente dans une région) graves8. Selon le Dr Pedersen, les normes de licence nécessaires pour mettre un produit sur le marché sont beaucoup moins rigoureuses que pour les humains et le laxisme encourage cette prolifération.
    Présentement, 28 nouveaux vaccins cherchent à se tailler une place sur le marché. Ces vaccins sont tellement inutiles qu'on les appellent "les vaccins à la recherche d'une maladie ».
     
    Les fabricants s'adressent directement aux sentiments du public et même du vétérinaire pour promouvoir leurs produits. Les campagnes de promotion de certains fabricants mettent en avant de fausses allégations pour créer une demande et stimuler la vente. Par exemple, la gravité de la maladie de Lyme chez les humains a été faussement étendue aux chiens qui n'en présentent pourtant qu'une forme bénigne. La publicité a même laissé entendre qu'en vaccinant son chien, on protège ses enfants contre cette maladie ??? Cette campagne de peur a fait vendre des millions de doses de ce vaccin, même dans des régions où cette maladie n'a jamais été rapportée. Des millions de chiens se voient aussi inoculer un vaccin inefficace contre la maladie due au virus corona, une maladie gastro-intestinale relativement rare et limitée aux élevages surpeuplés et malpropres. Il en va de même pour d'autres maladies, notamment la péritonite infectieuse, la chlamydiose et la leucémie du chat..

    • L'efficacité et la sécurité des vaccins :

      Bien que seulement 10 % des chats de plus de quatre mois soient susceptibles de souffrir de la leucémie du chat, une maladie qui apparaît dans des conditions bien précises, on continue de leur inoculer un vaccin contre cette affection, dont l'utilité et l'efficacité restent douteuses. En fait, le taux de réactions adverses serait aussi élevé que l'incidence de cette maladie. Seulement sept des 22 écoles vétérinaires aux États-Unis utilisent ce vaccin, et seulement sur demande dans des situations bien précises.

    • Les protocoles de vaccination :  

     

       Le Dr Schultz, un chercheur indépendant américain, spécialisé dans les maladies infectieuses des animaux, a trouvé que sur six vaccins contre la parvovirose du chien, une maladie gastro-intestinale des chiots très grave et souvent fatale, seulement deux étaient efficaces. Une autre étude, hollandaise celle-là, a démontré que sur six vaccins contre la rage, deux étaient totalement inefficaces et deux autres n'étaient que marginalement efficaces. Selon d'autres études indépendantes, certains vaccins contre la leucémie du chat seraient comparables à de l'eau distillée et les meilleurs auraient au plus une efficacité de 25 % à 50 % et non de 90 % à 100 % comme l'affirment les fabricants19. Plusieurs autres vaccins sur le marché ne sont pas efficaces pour des raisons qui ont été bien démontrées (péritonite infectieuse du chat, coronavirus du chien, leptospirose du chien, chlamydia du chat20). La grande majorité des études sur l'efficacité sont réalisées par les fabricants et elles sont souvent difficiles à interpréter et à comparer, car il n'y a aucune standardisation des protocoles expérimentaux.
    Sur le plan de la sécurité, certains produits sont peu sécuritaires et le nombre de vaccins à usage vétérinaire qui restent sur le marché malgré le fait qu'ils entraînent des conséquences graves est assez élevé. Par exemple, un vaccin contre la maladie du virus corona, une maladie gastro-intestinale du chien, a tué des centaines de chiens, avant d'être retiré du marché et, depuis six ans, des vaccins responsables du cancer de la peau chez le chat tuent des centaines de milliers de ces animaux.

     

      Contrairement à la médecine des humains, la médecine des animaux n'a pas de protocoles d'immunisation standardisés.
    L'emploi des vaccins, leur type, le nombre de vaccins à inoculer et la dose sont établis par les fabricants . Les stratégies de mise en marché employées par le vétérinaire, la compétition, et pas nécessairement les principes d'immunologie, déterminent la fréquence de vaccination, les intervalles entre les vaccins et parfois même les doses à injecter.
    Les animaux peuvent être vaccinés inutilement, sans qu'on tienne compte des risques possibles d'exposition. Même ceux qui ne vont jamais dehors et qui n'ont aucun contact avec d'autres animaux sont vaccinés tous les ans systématiquement. Un chat qui vit seul dans un appartement au 12e étage d'un immeuble au centre-ville peut recevoir en même temps, à chaque année de sa vie, un vaccin contre la rage, la péritonite infectieuse, la leucémie, la panleucopénie, les virus respiratoires herpès et calicivirus, la chlamydiose. Les chiens qui ne vont que d'un coin de rue à l'autre ou des bras de leur maîtresse au divan peuvent recevoir chaque année pour le reste de leur vie un vaccin contre la maladie de Lyme, la rage, la maladie de Caré, l'hépatite virale, le parvovirus, le parinfluenza, le corona virus, la leptospirose et un vaccin intranasal contre la grippe du chien. Il sera bientôt possible de vacciner également contre le rotavirus qui cause une maladie rare et peu étudiée.
    Il arrive souvent qu'on vaccine un animal la veille ou le jour d'une chirurgie de routine, alors que son système immunitaire, qui sera déjà affaibli par le stress de l'opération, n'est pas en mesure, au moins pour les deux semaines suivantes, de réagir avec efficacité.
    Aux États-Unis 20 % du marché de la vaccination repose sur la vente au public. Les éleveurs et les propriétaires achètent par catalogue les vaccins qu'ils veulent donner à leurs animaux. Il est même possible de commander des seringues et des aiguilles pour les injecter, ainsi que des médicaments comme l'épinéphrine pour traiter une éventuelle réaction allergique au vaccin. Les protocoles de vaccination recommandés par les fabricants préconisent, à l'encontre de tous les principes de l'immunologie, de vacciner les jeunes animaux dans certains cas toutes les semaines pendant six ou sept semaines, alors qu'une ou deux fois à deux semaines d'intervalle, selon l'âge et le type de vaccin, est suffisant.
    Les animaux qui ne vont jamais dans les régions où une maladie est présente sont vaccinés quand même. Il s'est vendu aux États-Unis et au Canada des millions de doses d'un vaccin contre la maladie de Lyme qui n'a été signalée que dans deux États du nord-est des États-Unis32.

    • Les réactions adverses :

    Le cancer de la peau
    C'est un peu grâce au chat et à la nature particulière de sa physiologie que la vaccination des animaux de compagnie est devenue depuis quelque temps un sujet si controversé. En effet, cet animal est très sensible aux médicaments qui provoquent souvent chez lui des réactions indésirables. Depuis quelques décennies, les vaccins en ont tué des milliers
     .

    Certains vaccins contiennent des substances irritantes (adjuvants) qui servent à déclencher sur le site d'inoculation une réaction inflammatoire qui favorise la réponse immunitaire.
    Chez le chat, cette réaction, pour des raisons inconnues, se transforme en tumeur cancéreuse. Le nombre de ces tumeurs augmente avec le nombre de vaccins administrés simultanément et avec le nombre de répétitions. L'inoculation toujours au même endroit augmenterait les risques. Les vaccins contre la rage et la leucémie seraient plus particulièrement en cause, mais ce ne sont pas les seuls. L'incidence de ces cancers serait de 100 à 1000 cas par million
      .

    À une conférence sur la vaccination tenue à Montréal en mars 1998, le Dr Ford, un spécialiste américain de la vaccination, a même cité le chiffre de 2.000 cas sur un million .
    Même si ces réactions semblent peu nombreuses, leur nombre, mis en perspective, est significatif. Selon les calculs des Drs Denis W. Macy et Mattie J. Hendrick, on vaccine aux États-Unis 22 millions de chats par année (environ 25 millions pour l'Amérique du Nord. Il y aurait donc en Amérique du Nord de 2 500 à 50 000 cas par année. Comment réagiraient les autorités et le public en apprenant qu'en Amérique du Nord, depuis dix ans, entre 25 000 à un demi-million d'enfants sont morts d'un cancer directement relié à l'administration d'un vaccin et que diraient les parents s'ils savaient que ces vaccins sont souvent inutiles, voire inefficaces, qu'ils ne servent qu'a faire marcher les affaires et que la plupart d'entre eux sont encore couramment utilisés.

    Les cocktails de vaccins :
     


      Les vaccins à valence multiple (cocktail) qui sont d'usage courant en médecine vétérinaire et qui peuvent contenir un mélange de cinq à sept et même neuf vaccins différents sont très pratiques du point de vue commercial et ils réduisent le traumatisme associé à l'inoculation. Mais, du point de vue médical, ces vaccins ne sont pas sans inconvénients et ils soulèvent pour plusieurs raisons une vive controverse dans le milieu vétérinaire.

    D'une part, ils ne permettent pas de vacciner avec discernement selon le cas particulier de l'animal et ils ne nécessitent aucune connaissance approfondie des maladies en question. L'animal est vacciné systématiquement même contre des maladies qu'il est peu probable qu'il contracte. D'autre part, ces vaccins seraient à l'origine d'un nombre indéterminé d'échecs vaccinatoires et de réactions post-vaccinales indésirables.
    Dans des conditions naturelles, seuls un ou deux microbes à la fois peuvent menacer un individu, jamais cinq, six ou neuf à la fois. Bombardé par des doses excessives de corps étrangers différents et de façon répétée, submergé par cette invasion massive, le système immunitaire s'embrouille et se trouve incapable de réagir efficacement; la vaccination risque donc d'échouer.
    Par ailleurs, le système immunitaire peut s'affoler et fabriquer par erreur des anticorps qui attaquent et détruisent des éléments vitaux de son propre corps, comme les globules rouges et les plaquettes (éléments du sang intervenant dans la coagulation. Selon le Dr Jean Dodds, une vétérinaire américaine, ces réactions ont lieu peu de temps après la vaccination, en général dans les mois qui suivent, et se traduisent par des hémorragies internes très graves difficiles à arrêter et bien souvent fatales (maladies hémolytiques auto-immunes, thrombocytopénie, etc.).



    La fréquence de ces réactions est inconnue, mais les chiens de race pure ayant un système immunitaire défectueux (rottweiler, doberman, épagneul, etc.) seraient particulièrement prédisposés.
    Enfin, la grande pluralité de ces vaccins et la concentration élevée d'antigènes3 qu'ils contiennent seraient aussi en cause dans l'apparition des cancers de peau chez le chat .

    Autres réactions diverses : 

     

      Dans le domaine de la vaccination des animaux, il existe une multitude de zones grises qui laissent toute latitude aux spécialistes de la mise en marché.
    1. En ce qui concerne les animaux de compagnie, même si plusieurs maladies dont la rage, la maladie de Caré (distemper), la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat, semblent bien contrôlées, il n'y a pas, comme en médecine, d'études rétrospectives autres que des rapports anecdotiques qui permettraient d'évaluer les bienfaits réels des campagnes de vaccination.
    2. Sauf pour la rage, il n'existe aucune donnée sur la prévalence et la répartition géographique des maladies infectieuses des chiens et des chats. Il n'y a aucun système de déclaration comme en médecine, et cette lacune se traduit par la vaccination systématique des animaux contre des maladies qu'ils sont souvent peu susceptibles d'attraper.
    3. Sauf pour la rage, il n'y pas d'études sur la durée d'immunité des vaccins. Les fabricants ne désirent pas poursuivre des épreuves de durée d'action au-delà d'une année, sauf si la loi les y oblige, comme pour la rage. Ces études s'arrêtent à trois ans dans le cas de la rage, mais il n'y a aucune raison de croire que ce vaccin n'est pas efficace pour une plus longue durée.
    4. Il n'y a aucune surveillance des réactions adverses à la vaccination. Les vétérinaires ne sont pas tenus de les signaler et en général ils ne le font pas
     .
    5. En absence de protocoles d'expérimentation standardisés, il est difficile de comparer les études.
    6. Il n'y a aucune standardisation des protocoles de vaccination comme en médecine. Chacun peut vacciner selon ses convictions personnelles ou sa stratégie commerciale.

     

     


    De nombreuses autres réactions diverses ont été observées tant chez le chien que chez le chat. En voici une liste succincte:
    • réactions d'hypersensibilité (allergie au vaccin, états anaphylactiques);
    • suppression du système immunitaire et déclenchement d'une maladie latente, comme la leucémie, la péritonite infectieuse, l'immunodéficience féline;
    • interférence avec les résultats de certains tests diagnostiques (ELISA) entraînant de faux résultats positifs;
    • susceptibilité accrue aux allergies, soit au pollen, à la nourriture ou meme à son propre corps (maladie auto-immune de la thyroïde, du rein, des globules rouges, des plaquettes, etc.);
    • aggravation de certaines affections existantes, comme le cancer, l'épilepsie, les allergies.

    À ces réactions s'ajoute la possibilité que se développe une forme atténuée de la maladie (virulence résiduelle) ou que, en raison d'une contamination bactérienne ou virale du vaccin, diverses maladies infectieuses se manifestent (variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, par exemple).
    En outre, certaines maladies chroniques, aussi bien chez les animaux que chez les humains, seraient en partie reliées à la persistance, dans les cellules, du corps des virus et des protéines utilisés dans les vaccins. Ce phénomène expliquerait l'augmentation récente du nombre de maladies chroniques chez les humains et chez les animaux
     

     
     

    La vaccination des animaux : 

     

     

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  •   Qu'est-ce qu'un fibrosarcome ?

    Le fibrosarcome est une tumeur cutanée maligne. Elle est souvent localisée entre les omoplates et se présente sous forme d'une grosseur de taille variable.
    Il existe plusieurs facteurs qui peuvent prédisposer à l'apparition de cette tumeur.
    La presse a beaucoup parlé des vaccins et de leurs effets. En réalité, il faut savoir que seul l'adjuvant du vaccin de la leucose a été reconnu comme ayant des propriétés inductrices de fibrosarcome au site d'injection. La substance incriminée est l'alumine.

    Mais d'autres facteurs semblent entrer en compte bien que la démonstration ne soit pas encore terminée :

    • des facteurs à prédisposition génétique (les chats Nord-américains sont plus sensibles - 10 fois plus - à ce cancer que les chats Européens).
    • le traumatisme de l'injection.
    • d'autres produits semblent aussi avoir une influence.

     

    Quel traitement ?


       En tout premier lieu il faut ôter la grosseur afin de l'analyser et de savoir s'il s'agit effectivement d'un fibrosarcome. Malheureusement, même si la tumeur a été ôtée, elle récidive souvent, quasiment toujours, car il est difficile pour le chirurgien de retirer tout le tissu "malade" (cancéreux) et les cellules restantes finissent par se re-multiplier et reformer une masse au même endroit.
    En revanche, cette tumeur ne métastase qu'exceptionnellement (elle n'envahit pas les autres organes).
    Pour éviter ce problème, lorsque la tumeur a été retirée une première fois et que le diagnostic a été posé après analyse, on adjoint comme traitement une radiothérapie.
    Ce traitement consiste en la pose d'un fil en Iridium à l'endroit où était localisée cette boule et on le retire quelques jours après.
    La radioactivité de ce fil va détruire les cellules cancéreuses restantes, évitant ainsi les récidives. Ce traitement n'est pas toxique car les rayonnements radioactifs sont localisés à la zone "malade" et ne diffusent que localement.

    La réussite de ce traitement est variable (entre 60 et 70%). Il n'y a pas d'effet secondaire à la radiothérapie comme chez l'homme. La seule conséquence est une décoloration des poils (ils deviennent blancs) à l'endroit où le fil était posé.
    Ce traitement n'est pas fait partout en France. Le premier centre, et le seul, en France qui pratique la radiothérapie est l'école Nationale Vétérinaire de Maisons-Alfort.
    Le coût de ce traitement est d'environ 530 € environ.

    Quelle prévention ?

     
        Pour éviter au maximum ce type de cancer, un laboratoire vétérinaire a développé un vaccin obtenu par génie génétique qui permet de vacciner efficacement contre la leucose sans besoin d'adjuvant. Les risques sont alors beaucoup plus faibles.
    Pour ce qui est des autres vaccins, il semble que la rage puisse être à risque, bien que cela ne soit pas scientifiquement démontré.
    Par contre, il n'y a pas de danger pour les vaccins du typhus ou du coryza : ils n'ont pas été démontrés comme ayant des propriétés oncogènes (inductrices d'apparition de tumeurs).

    Faut-il continuer à vacciner ?

       Sachez que, pour un chat qui ne sort pas du tout et qui n'a pas de contact avec d'autres chats, les vaccins du typhus et du coryza sont indispensables car ces maladies mortelles peuvent se transmettre par les voies aériennes (par la fenêtre) ou vous pouvez ramener ces agents sous vos semelles...
    En revanche, le vaccin contre la leucose n'est pas obligatoire car cette maladie s'attrape principalement par contact direct entre chats.
    Pour un chat qui sort beaucoup et qui a de nombreux contacts avec d'autres chats, le mieux est de continuer à le vacciner contre le typhus, le coryza ainsi que la leucose car il y a tout de même plus de risques qu'il attrape ces maladies, plutôt qu'il souffre d'un éventuel fibrosarcome.
        

         


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