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Colette ...
Bravo à vous, incollables vous avez trouvé toutes les expressions sur les chats .
Colette (1873-1954) avait une passion pour les chats et surtout le Chartreux .
"A fréquenter le chat, on ne risque que de s’enrichir. Serait-ce par calcul que depuis un demi-siècle je recherche sa compagnie ?"
(La main de Colette, Photo de Walter Rimot, 1934)
"Nos compagnons les plus parfaits n’ont jamais moins de quatre pattes." ......... "De la confiance mentale, du murmure télépathique" ....... "En s’associant avec un chat, on ne fait que prendre le risque d’être plus riche" ...... "Le temps passé avec un chat n’est jamais perdu" .
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Commentaires
Magnifiques photos, bravo! J'aime Colette, j'aime les chats, tous deux ont de charme, sont ils malins, et sont ils calins. Parfait! Bisous felins.
coucou MARIE
parfaitement d'accord avec tous ces dictons
A tel point que je vais même faire une formation sur la communication animale pour être plus proche d'eux
bizzzzzzz à vous tous
Glop Colette, ses mots, ses livres sur les bêtes. Et ces deux photos, dont la première, avec du mimétisme entre elle et ses chats.
Ronrons Balrog et Callis. Bises Marie.
C'est génial Monique mais d'un côté ça ne m'étonne pas de toi Tu es si proche d'eux .
Bisou bisou,
Marie,
8Marie-ClaudeLundi 7 Janvier 2013 à 21:32Superbe la photo de Colette. Je partage tout à ait son point de vue sur les chats. Nombreux sont les écrivains qui vivent avec des chats. Je pense qu'ils sont inspirés par la présence du chat tellement réconfortante et apaisante. Je n'écris pas mais je ne saurais vivre sanc chat. Bises Marie. Gratouilles à tes zamours.
9ChristineLundi 7 Janvier 2013 à 21:32Colette j'adore..... ses écrits sont si sensibles.... toujours entourée de chattes et aussi d'un écureuil, d'une hirondelle et paraît il même de deux couleuvres...!!! (lu sur internet).
Je la remercie d'avoir écrit sur nos petits félins.
Gros bisou Marie pas souvent sur ton blog, gros stress au bureau avant les vacances
bon mercredi et grats bedons à tes deux félins
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bonheur à voir et à lire (et à vivre, aussi)
merci Marie pour ce beau billet.
Laurence