• Au moment des fêtes de Noël, il est évident que nos chats sont de la partie. Certains font des cadeaux à leur chat, d’autres leur font un repas spécial qui change des ordinaires croquettes pour chat… Bien sûr, votre chat réveillonnera avec vous ! Mais prenez garde, Noël est plein de dangers pour nos amis les félins.


    Le chat et la nourriture dangereuse :

    Il est vrai que les chats sont naturellement prudents avec la nourriture qui se trouve sous leur nez, toutefois on n’est jamais trop prudent :

    Les chats et le sel : faites attention aux biscuits apéritifs, au saumon ou à la truite fumés, au jambon cru ou tout autre aliment très salé qui risque de provoquer une déshydration au chat.

    Les symptômes sont digestifs (très grande soif, vomissements, diarrhée…) et nerveux (forte excitation, convulsions, coma). Si votre chat a avalé trop de sel, donnez-lui un grand bol d’eau et contactez votre vétérinaire.

    Les chats et les condiments : l’ail, les oignons ou les échalotes sont également un piège pour les chats. Après ingestions ils entraînent une anémie, c'est-à-dire une destruction des globules rouges.

    Les symptômes apparaissent plusieurs jours après l’ingestion. Le chat a des vomissements, une respiration difficile et une grande fatigue à cause de la perte des globules rouges. Si le chat a de tels symptômes, consultez votre vétérinaire qui aura le traitement approprié.



    Le chat et les décorations de Noël :

    Les chats sont joueurs, surtout lorsqu’ils sont encore chatons. Noël est donc pour eux une aubaine : un sapin atterrit au milieu du salon, il brille, il scintille avec ses guirlandes, ses boules.

    Tout ce chamboulement va à coup sûr attiser sa curiosité naturelle. Non seulement il sera tenté de s’y accrocher, mais en plus il risque de se blesser ou de s’empoisonner.

    - Fixez votre sapin de Noël sur une surface plane afin qu’il ne bascule pas si le chat s’y accroche.
    - Evitez les cheveux d’ange et autre guirlandes trop fines que le chat peut avaler. Il pourrait s’étouffer.
    - Evitez les sapins décorés avec de la neige carbonique qui contient des produits toxiques.
    - Si le pied de votre sapin baigne dans l’eau, ne la laissez pas accessible au chat, elle n’est pas potable.
    - Si vous allumez des bougies, ne les laissez pas avec le chat sans surveillance, il pourrait déclencher un feu.

    Pour rendre votre sapin de Noël « à l’épreuve » du chat, mettez les décorations les plus solides à la base du sapin, et les plus fragiles à la cime !

    Quelques précautions et vous voilà prêts pour passer de bonne fêtes de fin d'année en compagnie de vos 4 pattes préférées !!!!! 

     

    (Source le site des animaux de compagnie)

     


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  •  " La tête à la taille pareille,

                  Le col grasset, courte oreille ........."

        (J.du Bellay)

     

     

         Spécialement adaptées pour la chasse, les oreilles du chat pivotent à 180° et lui permettent de déceler le moindre bruit, le plus faible crissement . Comme les moustaches, organes de communication, elles sont indépendantes l'une de l'autre et parfaitement mobiles . Les oreilles s'aplatissent lorque le chat est à l'affût ou quand il joue, elles se dressent à la mondre alerte et, tandis que l'une est bien droite, orientée vers l'avant, l'autre tourne vers l'arrière pour capter des fréquences si infimes ou si aiguës que nous ne pouvons les entendre . 

    Quels sons mystérieux semble-t-il écouter, lorsque paisible, il regarde vers l'infini ?

     

    (Source Agenda 2011 "Chats") 

     


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  • Voilà 2 fois de suite depuis le mois de Juillet que Balrog nous fait des infections urinaires . L'analyse a découvert des cristaux d'oxalate de calcium . Ce qui m'a amené aprés quelques infos glanées chez notre vétérinaire de faire des recherches sur le net et voici ce que j'ai trouvé .... cet article se recoupe tout à fait avec ce que nous a appris notre vétérinaire .  

     Les calculs urinaires (aussi appelés urolithiases) sont des petits cristaux qui se forment dans l’urine. Ils peuvent provoquer une obstruction de l’urètre s’ils restent bloqués dans celui-ci. Cela constitue une pathologie assez fréquente chez les chats adultes. Les chats les plus touchés sont surtout des chats mâles castrés, ayant un mode de vie sédentaire et présentant de l’embonpoint. Les chats stérilisés vivant en appartement sont donc les animaux les plus concernés par ces problèmes de calculs urinaires.


    Les diverses catégories de calculs urinaires :


    Les calculs de struvite (ou calculs phospho-ammoniaco-magnésiens) : ce sont les calculs les plus fréquemment rencontrés chez les chats atteints de lithiases urinaires. Ces calculs apparaissent lorsque l’urine est trop basique, très concentrée (c’est-à-dire dont la densité urinaire est très élevée) et saturée en ions ammonium, magnésium et phosphate. Les femelles sont plus atteintes que les mâles. Ainsi, les chats qui boivent peu ou qui sont nourris avec des aliments riches en magnésium et en phosphore (ce qui est souvent le cas des aliments dits standards ou bas de gamme) ont plus de risques d’avoir des calculs urinaires.
    Les calculs d’oxalate de calcium : ils sont moins fréquents. Leur formation dépend de nombreux facteurs : un excès de calcium dans l’urine, des problèmes génétiques, familiaux ou individuels, une urine trop concentrée avec une saturation de l’urine en minéraux, une urine acide (ce qui est généralement le cas de tous les carnivores)... Les mâles sont plus atteints que les femelles et les chats Persans sont plus touchés par rapport aux autres races de chats.
    Les autres catégories de calculs : elles sont beaucoup plus rares. Il s’agit des calculs d’urate, de cystine, de phosphate de calcium...


    Les symptômes en sont :

    Un chat peut abriter des calculs urinaires dans sa vessie sans symptômes. Les symptômes apparaissent lorsque les calculs, initialement présents dans la vessie, se déplacent et passent dans l’urètre. Si les calculs ont une taille trop importante, il peut alors y avoir une obstruction de l’urètre. Le chat présente alors des troubles urinaires.
    Tout d’abord, l’animal présente des difficultés à uriner : il se met souvent en position pour uriner mais il n’y a pas d’urines émises. Quelquefois le chat arrive à uriner quelques gouttes mais difficilement. L’animal a alors souvent très mal et miaule lorsqu’il tente d’uriner. Parfois, une infection urinaire se développe secondairement mais c’est assez rare chez le chat. On observe enfin souvent du sang dans les urines.
    Comme le chat n’arrive plus à uriner normalement, l’urine s’accumule dans la vessie. On parle alors de "globe vésical", c’est-à-dire que lorsque le vétérinaire palpe l’abdomen du chat, il sent une vessie très dilatée (de la taille d’un gros pamplemousse, par exemple).
    L’urée n’étant plus éliminée, cela provoque rapidement des répercussions sur l’état général de l’animal. En effet, si le chat reste "bouché" pendant plus de 24 heures, il devient très abattu et anorexique. Parfois, des vomissements sont aussi présents. Si rien n’est fait, l’animal peut sombrer dans un coma ou mourir. Donc, lorsqu’un chat présente une obstruction urétrale, due ou non à des calculs urinaires, il s’agit d’une situation d’urgence et il faut rapidement emmener l’animal chez le vétérinaire. On parle de syndrome urologique félin (aussi appelé "maladies du bas appareil urinaire du chat") pour tous les chats qui ont des difficultés à uriner, qui présentent une obstruction de l’urètre ou qui présentent des cystites chroniques. Les calculs sont parfois en cause, mais pas toujours. En effet, ce syndrome peut être dû à des bouchons muqueux ou à du "sable" (poussière de cristaux) présents dans l’urine, à une infection du tractus urinaire, à des spasmes ou des strictions de l’urètre...


    Le diagnostic :

    Il est assez facile à réaliser. En effet, l’obstruction urétrale est presque certaine chez un chat qui a du mal à uriner et qui présente un globe vésical à la palpation. Pour savoir si l’obstruction est due à des calculs urinaires, une simple analyse urinaire suffit. En effet, un examen cyto-bactériologique des urines révèle la présence de cristaux s’il y en a et précise la nature de ceux-ci. Cet examen permet aussi de mettre en évidence une éventuelle infection urinaire concomitante. Enfin, certains calculs sont visibles à l’échographie ou à la radiographie.
    Le traitement :

    Le traitement d’urgence consiste à "déboucher" le chat, c’est-à-dire à enlever le calcul qui bloque l’urètre. Pour cela, le vétérinaire anesthésie le chat et réalise un sondage urinaire. Il laisse ensuite la sonde urinaire en place pendant quelques jours afin de vidanger la vessie et de la rincer pour évacuer tous les calculs de petite taille présents dans la vessie. Souvent, le chat est aussi perfusé afin de relancer la production d’urine et de lutter contre les désordres hydro-électrolytiques et l’insuffisance rénale aiguë dus à l’obstruction. Un traitement médical est aussi mis en place. Des acidifiants urinaires peuvent être donné (en cas de calculs de struvite) ainsi que des antibiotiques en cas d’infection urinaire et des spasmolytiques urinaires luttant contre les spasmes urétraux douloureux. Enfin, si les calculs en cause sont des calculs de struvite, des mesures diététiques sont prises afin de dissoudre ceux-ci. En effet, il faut alors donner au chat un aliment de prescription spécial pendant un à deux mois pour que tous les calculs restant dans la vessie soient dissous. En revanche, il n’est pas possible de dissoudre les cristaux d’oxalate de calcium et une intervention chirurgicale (cystotomie) est parfois nécessaire pour les retirer de la vessie. En cas de récidives fréquentes des calculs et de l’obstruction, une intervention chirurgicale devient nécessaire quel que soit le type de calculs. Il s’agit d’une urétrostomie qui consiste à éliminer la partie la plus étroite de l’urètre où l’obstruction se situe habituellement. Pour cela, il faut amputer le pénis et ramener la portion la plus profonde de l’urètre vers l’orifice génital, ce qui permet au chat d’uriner par ce trou.


    La prévention des calculs urinaires :

    La prévention des récidives de calculs urinaires : Les chats ayant déjà présenté des calculs urinaires doivent être nourris à vie avec un aliment de prescription spécialement conçu pour éviter l’apparition de ces calculs.
    Ainsi, pour éviter l’apparition des calculs de struvite, il faut donner un aliment ayant des quantités restreintes en phosphore et en magnésium et maintenant un pH urinaire acide. Plusieurs marques d’aliments produisent de telles croquettes.
    D’autres aliments permettent de prévenir l’apparition des calculs d’oxalate de calcium (en alcalinisant les urines et en réduisant l’apport en calcium), d’urate ou de cystine. Attention : tous ces aliments sont des aliments de prescription et donc des médicaments. Ils ne doivent être donnés et poursuivis que sur prescription de votre vétérinaire. De plus, il faut veiller à ce que ces chats boivent suffisamment afin leur urine ne soit pas trop concentrée. S’ils ne boivent pas, il sera préférable de leur donner des aliments de prescription en boîtes plutôt qu’en croquettes.

    Comment nourrir les chats stérilisés vivant en appartement, qui sont tous prédisposés aux problèmes de calculs urinaires ? Les chats mâles castrés sédentaires et ayant tendance à l’embonpoint sont prédisposés aux problèmes d’obstructions urétrales par des calculs urinaires. Il faut donc être particulièrement vigilant quant à leur alimentation et à leur prise de boisson. Les croquettes de qualité médiocre favorisent les problèmes de calculs (le plus souvent de struvite) dans la vessie. En effet, ces aliments bas de gamme contiennent souvent un excès de minéraux (et particulièrement de magnésium) et n’acidifient pas suffisamment les urines. C’est pourquoi il est déconseillé de donner des aliments bas de gamme aux chats castrés vivant en appartement. De plus, ces aliments sont souvent trop riches et favorisent l’apparition d’obésité, qui est aussi un facteur prédisposant pour les obstructions urétrales, entre autres. Les fabricants d’aliments haut de gamme prennent, en revanche, tout cela en compte en modifiant la composition des aliments : restriction en phosphates et surtout en magnésium, acidification des urines... Ainsi, les aliments Premium conçus pour les chats castrés vivant en appartement tentent de prévenir l’apparition des calculs de struvite et luttent contre l’embonpoint (en réduisant leur teneur énergétique).  Il est alors indispensable que les chats aient à boire en permanence avec leurs croquettes, car le remplissage de la vessie et la miction sont des facteurs essentiels pour éviter la formation de calculs. Si un chat semble boire peu, il est alors recommandé de lui donner une fois par jour un aliment humide de très bonne qualité, qui contient 80 % d’eau.

     

    (Source vive les animaux) 

     

    L'infection urinaire chez le chat : 

     

     


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  • Le chat "caressé-mordeur" : le chat se met à mordre, parfois très violemment sitôt qu'on le caresse un peu trop longtemps. Une réorganisation des relations entre le chat et la personne peut grandement aider à améliorer la situation.

    L'agression au cours du jeu : le chat se met à mordre ou à griffer dès qu'il est trop excité. C'est généralement parce que a du mal à gérer ses propres émotions que le chat agit ainsi. Il manque d'autocontrôle. Il faudra donc veiller à réapprendre à jouer avec lui de sorte de ne pas l'amener au point de rupture, ou bien de le détourner vers un objet plutôt que vers nos mains. Il ne faut surtout pas jouer à la bagarre avec ces chats (et ne pas jouer avec les mains !)

    L'agressivité apprise. L'agressivité est très souvent enseignée par les humains eux-mêmes ! Souvent, cela comme lorsque le chat est petit, et qu'il a des jeux agressifs. C'est normal, c'est un chaton et le jeu de bagarre est le jeu favori des chatons. Tant qu'il ne fait pas mal, on ne dit pas grand chose. Puis ses dents poussent, et son agressivité devient gênante. alors on le réprimande, on le punit parfois, même très fort, on pointe son doigt vers lui et on lui dit "Non !", en le regardant longtemps dans les yeux pour vérifier qu'il a bien compris. Et puis à d'autres moment, il fait des bêtises, alors on cherche à l'éduquer, on lui met des pichenettes, des fessées, on l'enferme dans un pièce pour qu'il se calme etc. Toutes ses réactions, proprement humaines, sont parfaitement contre-productives. Plus on réagit en punissant ou en réprimandant le chat, plus on lui enseigne une seule chose : les humains sont agressifs (en criant, en regardant longtemps dans les yeux, en tapant etc.) ; avec les humains, c'est normal d'être agressif. Et c'est à celui qui gagnera la bagarre, ou qui fera le plus mal.

    L'agression par peur : le chat a peur de l'un de ses propriétaires, même si c'est l'unique signe de sa peur (car par ailleurs il peut lui arriver de se montrer câlin avec cette même personne). On voit parfois ces chats attaquer la personne en pleine nuit quand elle dort, ou aussi quand elle est immobile à côté du chat (sur un canapé par ex.) ou encore lorsque la personne passe ou fait un geste brusque près du chat. Le fruit de cette peur est souvent des réprimandes ou des punitions violentes que la personne en question aura exercée sur le chat, même si ce fut occasionnel. Parfois, les chats ont simplement peur des hommes en général, et pas des femmes.

    CE QUI AGGRAVE L'AGRESSIVITE DU CHAT :

    La peur est le vivier le plus fertile pour faire naître des comportements agressifs.Un animal qui a peur, que ce soit un chat, un chien, un rat ou un humain, peut devenir agressif. Un chat qui a très peur ne reconnaît plus "ni père ni mère". Il peut donc agresser toute personne qui s'approche de lui et qui tenterai de le toucher. Lorsque le chat a peur, quel qu'en soit la raison, il faut le laisser tranquille et s'éloigner le temps qu'il reprenne ses esprits et qu'il se rassure.

    L'anxiété et le stress sont aussi de bons conducteurs d'agressivité. Nous sombrons nous-mêmes facilement dans la colère lorsque nous sommes stressés ou anxieux. C'est une réaction animale normale. La venue d'un nouveau chat, l'après visite chez le vétérinaire, un voyage, un changement de territoire, des punitions répétées, un choc violent ou une peur intense sont autant d'exemples de situations qui peuvent pousser un chat à devenir agressif. Cette agressivité est souvent temporaire, mais parfois elle s'installe. Une thérapie comportementale peut donc s'avérer nécessaire.

    Le mauvais sevrage du chat (retiré de sa mère et de sa fratrie avant 4-5 mois) est une source infinie de difficulté. "Rien ne remplace la mère !" dit l'expression populaire. C'en est tellement vrai, qu'une multitude d'études ont pu démontrer scientifiquement à quel point les animaux et les petits de l'Homme peuvent être perturbés par cette absence maternelle (ou cette défaillance lorsque c'est la mère qui délaisse son petit). On a beau nourrir un chaton au biberon, lui apporter chaleur et protection, il souffrira quand même d'un certain déséquilibre. Et en particulier de difficulté à gérer ses propres émotions. Tous ses comportements auront tendance à être excessifs. Ces chats sont donc plus enclins à devenir agressifs lorsqu'ils sont dépassés par leur propres émotions (stress, peur, excitation lors du jeu etc.).

    La captivité et surtout le fait de rester seul trop longtemps est un facteur aggravant de l'agressivité. Les prisonniers humains sont eux aussi soumis à un régime de manque d'espace (et de liberté) et d'inactivité. L'agressivité apparaît alors comme un exutoire incontrôlable. Le chat est exactement dans les mêmes conditions. Lorsqu'un chat, souvent jeune, est amené à rester 365 jours par an dans un appartement ou une maison sans sorties possibles (autre que sur le balcon), et que ses propriétaires le laissent seul plus de 8 heures d'affilées, il peut parfois se défouler en devenant agressif.

    Enfin, les punitions, les réprimandes, l'éducation de manière générale sont autant de moyens rapides et sûrs pour transformer un adorable minou en un Rambo impossible à gérer. Soyons zen et tolérants ! Ce n'est pas en punissant un chat lorsqu'il est agressif qu'on peut arranger son comportement ! Donnerions-nous la fessée à un lion qui rugit ou qui se montre agressif ? Non ! Nous trouverions ça complètement fou, car nous aurions l'intuition que cela ne pourrait que dégénérer ! Et bien à une autre échelle, celle du chat, les réactions sont pourtant exactement les mêmes !
    L'éducation du chat, trop souvent présenté comme un outil indispensable à la bonne cohabitation entre l'humain et le chat, est un leurre. Ce n'est bien souvent qu'une source de difficultés. Et oui ...

     

    (Source ChatsPassion) 

     

     

    L'agressivité chez le chat : 

     

     

     


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  • Un risque pour certaines femmes enceintes et leur enfant à naître :

       L'infestation par le toxoplasme est souvent banale et passe inaperçue. Mais pendant la grossesse, l'enfant peut être contaminé simultanément avec sa mère et présenter des retards ou des anomalies (2 cas pour mille naissances). Le risque réside essentiellement pendant les six premiers mois de la grossesse. 
    Les femmes ayant déjà développé une toxoplasmose antérieurement à leur grossesse, sont en principe protégées d'une nouvelle infestation. La vérification sérologique nécessaire est aujourd'hui systématique, obligatoire et réglementaire en France, chez la femme enceinte.
    Les renseignements utiles que vous trouverez dans ces pages ne remplaceront pas ceux que vous obtiendrez auprès de votre médecin traitant. N'hésitez pas à le questionner à ce sujet.

    Quel est l'agent responsable ? :

       La toxoplasmose est une maladie rencontrée dans le monde entier, liée à l'infestation de l'organisme humain ou animal par un protozoaire de type coccidie: le toxoplasme (toxoplasma gondii). 
    Le chat et les autres félidés sont nécessaires au cycle parasitaire du toxoplasme: il disséminent des ookystes par leurs excréments. Ces éléments sont particulièrement résistants et restent contaminants pendant plusieurs mois (18 mois) dans les sols et l'eau.
    Les animaux et les humains qui ingèreraient par mégarde ces ookystes, donneraient l'occasion au parasite de poursuivre son développement, mais sans dissémination fécale cette fois: les larves s'enkystant alors dans les organes et les muscles. Par contre, elles contamineront les prédateurs qui mangeront ces proies parasitées.
    L'homme, en consommant de la viande, peut donc contracter la toxoplasmose. Plus anecdotique, la consommation de lait cru et de fromage de chèvre au lait cru. De même, en consommant des légumes souillés par des excréments de chat ou de la terre sur laquelle un chat aurait déféqué, nous pouvons ingérer des ookystes de toxoplasme.

    Comment savoir si je suis immunisée ? :

       La plupart du temps, la contamination passe inaperçue et les patients ne consultent même pas pour ce qui semble être une banale angine, une poussée de fièvre ou une mononucléose. 
    C'est donc le plus souvent dans le cadre du suivi d'une grossesse que la vérification est effectuée, par une prise de sang. La sérologie vis-à-vis de la toxoplasmose est systématique dans notre pays.

    Je ne suis pas immunisée et je suis enceinte :

       Dans ce cas, votre médecin vous indiquera les aliments à proscrire pendant toute la durée de la grossesse: viande de mouton et viande de porc, à moins de très bien les faire cuire. La congélation (-20°C à cœur, pendant 30 heures) est également efficace. Laver abondamment les légumes verts à l'eau courante et les faire cuire est une précaution suffisante. Laisser à d'autres membres de la famille le soin de s'occuper de la litière du chat est également une sage précaution. 
    Un suivi sérologique en cours de grossesse sera programmé par votre médecin.

    En cas de contamination maternelle et fétale, y a-t-il un traitement ? :

        Oui, un traitement antibiotique adapté sera prescrit précocement par votre médecin s'il le juge nécessaire, en fonction de l'avancement de la grossesse. 

    "On m'a conseillé de me séparer de mon chat" :

       Comme on l'a précédemment indiqué, non seulement la période est particulièrement courte pendant laquelle un chat est susceptible d'excréter des ookystes (2 semaines), mais ceux-ci ne seront contaminants qu'après une 'maturation' de plusieurs jours (1 à 5 j)... Le risque est donc quasiment nul d'ingérer de vieilles crottes de chat ayant séjourné négligemment dans la litière pendant plusieurs jours ! 
    Tout au plus, par principe, les femmes enceintes non immunisées contre le toxoplasmose pourrait-elles confier à d'autres le soin de vider régulièrement la litière du chat de la maisonnée. Vous pouvez également utiliser des gants jetables et vous laver les mains au savon après la manipulation...
    Rappelons également qu'un chat d'appartement mangeant des aliments en conserve ou des croquettes ne peut contracter la toxoplasmose pendant toute la durée pendant laquelle ces conditions sont réunies. A moins d'héberger le parasite et de connaître une immunodépression (traitement corticoïde, virus FIV etc)
    Puis-je caresser les chats ? Oui, car la maturation des ookystes nécessite un milieu humide, condition nécessaire non rencontrée sur le pelage du chat. Par contre, dans le milieu extérieur, l'humidité du sol permettra cette maturation en éléments contaminants = pas de jardinage pendant la grossesse.
    Par contre, insister sur les recommandations alimentaires rappelées précédemment serait plus approprié.

    Faut-il également traiter les chats ?

       Seuls les chats qui présenteraient une forme clinique de toxoplasmose seront traités. Mais sûrement pas l'ensemble des chats éventuellement porteurs. Pour deux raisons: * ils n'excrètent des ookystes que pendant environ deux semaines, délai bien court pour justifier une telle mesure * les formes enkystées du parasite ne seront pas affectées par le traitement. 

    Peut-on dépister les chats à risque ?

       Non, aucun examen de selle (coprologie) et aucune prise de sang (sérologie) ne permet de conclure quoi que ce soit au sujet de l'excrétion d'ookystes de toxoplasme et du risque éventuel que représente un chat. Seules les recommandations portant sur l'hygiène alimentaire et celle des mains sont utiles . 

     

    (Source Chats et Cie) 

     

     

     

        En conclusion, vous avez plus de chance de contracter la toxoplasmose en mangeant des aliments dit à risque (légumes et fromages crus, viandes insuffisaments cuites..) et en faisant du jardinage ! 
    Ne prétextez plus que votre minet d'appartement qui ne sort jamais et mange ses croquettes tout droit sortie du paquet est un danger pour votre enfant. Dites simplement que vous n'en voulez plus parce que maintenant vous êtes enceinte !!!!!!! 

     

     

    La toxoplasmose : 

     

     

     


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  • Si tant est que l'on puisse éduquer son chat voici néammoins quelques petits conseils ......

    Bien que les chats soient des animaux indépendants, il est possible de les éduquer et pour pouvoir vivre dans les meilleures conditions avec l’animal, il est fortement recommandé de la faire.

    Ce n’est pas une entreprise ardue, les chats étant des animaux très intelligents, ils comprennent très vite ce que les humains approuvent ou n’approuvent pas dans leur comportement. Ils ont parfois une attitude particulière qui montre bien qu’ils ont fait une bêtise avant même qu’elle ne soit découverte.

    L’éducation du chat ne se fait pas à base de récompense et de punition mais en instaurant un rapport clair et net depuis le début. Il est inutile de le gaver de son aliment préférer pour le récompenser car le chat ne fera pas de rapport entre le bon comportement et la récompense. Ils ne comprennent pas ce concept car ils ne font jamais rien contre leur gré, ce qui rend leur dressage difficile.

    Vous devez instaurer une sorte de « dialogue » entre vous et l’animal. Ce dialogue suit quelques règles précises :
    Donnez-lui un nom que vous utiliserez toujours quand vous vous adresserez à lui. Ce nom doit être court pour que le chat puisse le reconnaître le plus rapidement possible. Rapidement, le chat reconnaitra son nom et répondra à votre appel.
    Dans le cas ou votre chat fait une bêtise, vous devez lui montrez votre désapprobation avec un « non » et quelques mots prononcés sévèrement. Faites cela sans crier car il s’agit de faire comprendre quelque chose à l’animal et non d’entrainer chez lui une réaction de peur. Vous devez le réprimander à chaque fois qu’il commet le même acte que vous n’appréciez pas. Si vous ne réagissez pas à tous les coups, le chat n’associera pas le mécontentement à son acte. Autre point important : ne réprimander jamais votre chat si vous ne le prenez pas « en flagrant délit ». Même si quelques minutes séparent son action de votre réprimande, le chat aura oublié et il ne comprendra pas du tout votre réaction. Par exemple, si votre chat urine dans la maison pour marquer son territoire, grondez-le uniquement si vous le surprenez en train d’uriner. Contrairement aux idées reçues, il est complètement inutile de mettre le nez du chat dans ses excréments dans une telle situation car il associera alors l’odeur au lieu et recommencera certainement plus tard au même endroit.
    Enfin, apprenez-lui quelques mots simples (2 ou 3) en plus de son nom, tels que « descend », « non », « manger » qui sont à sa portée. Si vous répétez ces mots toujours dans les bonnes situations, vous serez rapidement étonné de voir l’animal répondre de façon adéquate.

     

    (Source Tout Chat pour Chat) 

     


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  • Vous voulez parler avec votre chat ? Essayer de deviner ce qu’il veut dire ? Tout chat pour chat vous aide à décrypter ses faits et gestes ...


    Le ronronnement :

     

    Le ronronnement est une manifestation de joie, de bien-être et de bonne humeur. Les chatons à peine âgés de quelques jours peuvent déjà ronronner. Dès qu’ils trouvent à tâtons les tétines de leur mère, ils ronronnent avec une force étonnante pour des êtres aussi petits.

    Ce ronronnement, lorsque le chaton est encore avec sa mère, permet à cette dernière de connaître l’état d’esprit et la santé de ces petits.


    « Faire du pain »:

     

    On appelle familièrement « faire du pain » le mouvement rythmé et alterné que le chat effectue avec ses deux pattes avant. Ce mouvement sert à l’origine au chaton à faire sortir plus facilement le lait des mamelles de sa mère.

    Le chat adulte effectue parfois ce mouvement, mais il a pour lui perdu sa fonction réelle. Il est juste le signe de la démonstration de son bien-être.


    Le jeu :

     

    Lorsque l’on joue avec un chat, ce dernier, se tapit sur le sol, écarquille les yeux, mets ses moustaches et ses oreilles légèrement vers l’avant. Cette même attitude est utilisée par le chat lorsqu’il chasse.

    Le chat est un animal très joueur qui jusqu’à un âge assez avancé, trouvera toujours quelque chose pour jouer (une ficelle, votre pied qui bouge…).


    Le chat mécontent :

     

    Gare au chat lorsqu’il est mécontent ! Même si le chat est un animal domestique et en général plutôt calme et gentil, il se peut que dans certaine situation, il soit agacé ou effrayé et en devienne agressif. Le chat qui a peur ou qui veut attaquer, rebrousse les poils de son dos, baisse les oreilles et crache. Dans le cas ou votre chat a cette attitude, il faut rester vigilant aux griffes. En effet, ces dernières sont parfois porteuses de germes et peuvent être très dangereuses pour les yeux. Idéalement, il ne faut pas laisser un enfant jouer le visage près du chat. Le chat sans mauvaise intention mais simplement pour jouer, peut alors donner un coup de griffe dans l’œil.


    Le chat qui réclame :

     

    Pour demander à manger, le chat utilise un reflexe infantile. Un chaton qui marche et qui réclame sa tétée, la demande de la manière suivante : il tourne sans cesse autour de la chatte tout en se frottant contre elle, le dos légèrement arrondi et la queue dressée. En même temps, il lève la patte et la frotte contre le menton de la chatte. Parfois un ronronnement accompagne cette attitude. La réponse de la mère est alors immédiate : elle se couche et se prépare à allaiter ses petits.

     

    On retrouve le même comportement chez le chat adulte vis-à-vis de ses maîtres. Pour demander de la nourriture, le chat tourne autour de son maître, la queue en l’air, le dos rond, en ronronnant.

    (Source Tout Chat pour Chat)

     

    Communiquer avec son chat : 

     


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  • Pourquoi les chats en raffolent ?

    L’herbe aux chats, ou cataire (Nepeta cataria), est une plante aromatique qui appartient à la famille de la menthe. Elle est appelée "herbe aux chats" en raison de l’effet attractif et hallucinatoire qu’elle exerce sur les chats.

    Comment ça marche ?

    La cataire contient du népétalactone, un principe actif qui agirait au niveau du système nerveux chez les chats. On peut comparer l’effet à celui exercé par les phéromones sexuelles libérées pendant la parade nuptiale. Les chats ne la mangent pas, mais l’inhalent. La népétalactone provoque un effet hallucinatoire. Certains disent que les effets sont semblables à ceux du LSD, ou à la marijuana. Le comportement des chats peut soudain sembler « fou ». Ils peuvent se frotter à la plante, se rouler par terre de la même manière que les femelles qui sont en chaleur, faire des bonds, courir, saliver, adopter des comportements de chasse… Les effets, qui sont variables selon les chats, ne durent en général que quelques minutes.
    Tous les chats ne sont pas sensibles aux effets de la cataire. On estime qu’environ 30% de la population féline est insensible à la cataire, de même que les chatons et les chats âgés. Cette sensibilité semble par ailleurs être héréditaire.
    La cataire ou "menthe aux chats" n’est pas toxique ni nocive pour les chats. Vous pouvez en donner à votre compagnon occasionnellement pour lui faire plaisir. Lui en donner trop souvent peut finir par faire disparaître les effets.

    Utilisée chez l’homme :

    La cataire a été cultivée pendant des siècles par les hommes pour soulager de nombreux maux (maux de tête, problèmes d’insomnie, de digestion, maux de dents et le rhume). Les femmes utilisaient les feuilles pour soulager leurs douleurs menstruelles. En revanche, les femmes enceintes devaient faire preuve de prudence en utilisant la cataire car elle était considérée comme nocive. Broyer les feuilles et les frotter sur le corps, est aussi connu pour repousser les insectes.

    Faire pousser de l’herbe aux chat :

    La cataire est une plante vivace, très facile à cultiver et qui se répand très vite. Vous pouvez en semer au printemps, dans un sol légèrement sablonneux et bien drainé. Elle a simplement besoin de soleil et d’eau.
    La plupart des magasins pour animaux de compagnie vendent des jouets contenant de la cataire séchée. Vous pouvez vous aussi faire sécher votre cataire en l’accrochant la tête en bas, dans un endroit sec. Vous pouvez également la conserver dans une boîte hermétique au réfrigérateur ou au congélateur.

     

     

    Ne pas confondre l’herbe aux chats et l’herbe à chat !!!!

     

    L’herbe à chat est plus connue des propriétaires de chats. Il s'agit en général de graminées comme les graines d'orge, de blé ou de seigle. Elle est vendue dans le commerce pour les chats d’appartement afin qu’ils puissent mâchonner de l’herbe, comme ils le font de temps en temps lorsqu’ils disposent d’un jardin. Cela évite qu’ils s’attaquent aux plantes de la maison. Certaines, comme le philodendron, le rhododendron, le houx ou le crocus d'automne sont toxiques.
    A noter que le papyrus est une autre plante d’appartement particulièrement appréciée des chats.

     

    (Source un amour de chat)

     

     


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  • J'ai trouvé cette liste de plantes avec le détails sur leur toxicité (digestive, sanguine, atropinique etc...) :

    Citation:

    Les plantes, un problème pour le chat ?

    Pourtant réputés délicats en ce qui concerne leur alimentation, nos chats ont souvent une fâcheuse tendance à mâchouiller la verdure destinée à la décoration de la maison. De nombreuses plantes d'appartement ou de jardin peuvent ainsi causer une intoxication chez le chat.

    La plupart du temps, les symptômes sont frustes et l'intoxication reste bénigne. En effet :

    * le chat ingère de petites quantités, ne trouve pas le goût à sa convenance (amer ou irritant) et s’arrête spontanément
    * la plupart des plantes induisent des troubles digestifs de sorte que le chat en vomit la plus grande partie, ce qui favorise l'expulsion des toxiques.

    La toxicité des plantes est variable selon la variété de la plante, sa maturité, selon la partie que l’animal ingère, selon que la plante ait été mâchée ou non. Néanmoins, certaines plantes sont réellement très toxiques et peuvent entraîner de graves troubles, surtout chez les chatons en raison de leur petite taille et de l’immaturité de leur organisme.

    A côté des plantes décoratives, certains végétaux utilisés comme aliments (oignon, cacao,…) ou destinés à d’autres usages (tabac, cannabis,...) sont également déconseillés pour la santé !
    Quelques exemples parmi les plantes les plus toxiques ou les plus courantes dans nos appartements.


    Aracées


    Les ficacées (ficus)

    [Ficus]

    Ces caoutchoucs contiennent eux aussi des substances corrosives dans leur latex. Ils provoquent le même type de symptômes que les « philodendrons » (salivation, vomissements, diarrhée). L’évolution est généralement favorable sans séquelle. Malgré tout, des cas de gastro-entérites mortelles se produisent parfois dans l'espèce féline.


    Les amaryllidacées

    [Amaryllis, Narcisse, etc]
    Espèces en cause :

    Narcisse et jonquille, Amaryllis, Clivia, Crinum, Hippeastrum.

    L'intoxication se produit par ingestion des bulbes ou des feuilles. Elle se traduit essentiellement par l'association classique "salivation, vomissements, diarrhée". Rarement, des symptômes nerveux (sédation, convulsions) et cardiovasculaires (hypotension, ralentissement cardiaque) peuvent apparaître.

     

     

     


    Les euphorbiacées

    [Euphorbe]

    Espèces en cause :

    Euphorbia pulcherrima = poinsettia (étoile de Noël), Euphorbia milli = E. splendens (épine du christ), Cociacum variegatum = croton, Pedilanthus

    Le latex, caustique, entraîne lors de mâchouillement ou d'ingestion une inflammation buccale, de la diarrhée, des vomissements. On voit souvent des tremblements musculaires. Lors de contact avec l'oeil, le latex provoque des lésions de la cornée. L'évolution est généralement favorable en une semaine.


     

     

     

     

    Espèces en cause :

    Iris
    Même toxicité que les Amaryllis.
    Espèces en cause :

    Allamanda cathartica, Diplodenia

    Laurier rose (Nerium oleandu)

    Le premier groupe de plantes est toxique par son latex irritant. Les troubles sont essentiellement digestifs, avec diarrhée sévère, parfois mortelle.

    Le laurier rose quant à lui est toxique par son bois, ses feuilles, ses fleurs… La dose toxique est de l'ordre de 3 grammes de feuille par kilo. Toute la plante contient à la fois des substances irritantes et des produits cardiotoxiques. Les premiers symptômes sont liés à l'effet irritant (diarrhée, vomissements). Puis, lorsque l'intoxication évolue, les troubles cardiaques apparaissent. Enfin, des troubles nerveux peuvent se produire.


    Les légumineuses ou « haricots »

    Espèces en cause :

    Abrus = Jequirity (Fève coccinelle) (Les fruits sont des graines ovoïdes de 4 à 10 mm de long, luisantes, noir et rouge, utilisées pour fabriquer des colliers.)

    Mimosa du japon (Poinciana), Robinia pseudoacacia, glycine, cytise, …

    Ce sont principalement (mais pas exclusivement) les fruits, les graines, qui sont toxiques : gastro-entérite hémorragique, et, dans les cas graves, symptômes nerveux et mort.


    Les primulacées

    [Cyclamen]
    Espèces en cause :

    Le cyclamen

    La sève est irritante mais la partie la plus toxique de la plante est le rhizome. L’ingestion de ces racines entraîne une destruction des globules rouges, une gastro-entérite, des convulsions et peut aboutir éventuellement à la mort de l’animal.

    [Primevere]
    Espèces en cause :

    Primevères
    Les apocynacées

     

    Les éricacées

    [Azalées]
    Espèces en cause :

    Azalées, Rhododendron

    La plante est belle mais toutes ses parties sont toxiques !

    A faible dose, l’animal en est quitte pour quelques irritations buccales et autres troubles digestifs. A forte dose, les toxines ont un effet "curarisant" (tremblements musculaires, paralysie, incoordination, prostration) et une toxicité cardiaque (ralentissement du coeur, troubles du rythme). Dans un deuxième temps, des complications peuvent apparaître au niveau du foie. Attention donc, surtout avec les chatons.


    Les solanées
    Solanées à effet atropinique


    Solanées possédant d'autres effets toxiques

    [Pommier d'amour]
    Espèces en cause :

    Solanum pseudocapsicum (Pommier d'amour), S jasminoide (Faux jasmin), S. capsicastrum, S. sodomeum

    Ce sont plus particulièrement les fruits qui sont toxiques. Ils déclenchent une hypersalivation, une gastro-entérite, et, dans de rares cas particulièrement graves, des signes neuromusculaires (somnolence, incoordination, parfois convulsions). L'évolution est généralement favorable en quelques jours.


    Bilan ?

    "Nous sommes cernés par les plantes toxiques…". Il faut cependant relativiser et convenir que les accidents graves semblent rares. Le hit parade des intoxications chez le chat serait le suivant : dieffenbachia, ficus, chlorophyton, yucca, muguet, lys.

    Il faut se méfier particulièrement :

    * des caoutchoucs (dieffenbachia et ficus) en raison des complications rénales.
    * des azalées et rhododendron, responsables de lésions du foie.

    Et penser que des plantes largement utilisées par l'homme sont toxiques pour les animaux:

    * oignons et autres échalotes, persil, cacao

    (Source:association féline des amis des siamois)

     
    PLANTES TOXIQUES POUR LES CHATS


    Devant la liste impressionnante de plantes toxiques pour les animaux, on pourrait croire qu’il est préférable, par mesure de précaution, de vivre dans du béton. Mais non. Ne soyons pas pessimistes. En connaissant bien les plantes de leur « milieu environnant », leur toxicité, en connaissant bien son animal, on peut vivre avec les espèces les moins toxiques.

    De nombreuses plantes sont dangereuses après ingestion de grandes quantités, ce qui fait que le chat par exemple est rarement intoxiqué. De plus, de nombreuses plantes sont amères, irritantes, piquantes, ont mauvais goût et le mâchouillement prend vite fin. De nombreuses plantes induisent des risques digestifs ce qui fait l’animal vomit rapidement. Le chat évite en général les plantes mauvaises pour lui. En général ! car de nombreux chats, surtout en appartement, ne trouvent rien de mieux à faire pour occuper leurs journées que de mâchouiller ou lécher les plantes d’appartement. Il faudra également surveiller de très près les jeunes animaux (chatons et adolescents).

    De plus, le chat n’aime guère la nourriture variée et n’ira pas systématiquement , comme le chien pourrait le faire, manger dans la nature sur un tas de plantes en décomposition ou des déchets de jardin ou s’il le fait, ce sera en toute petite quantité. En revanche, s’il est couché ou se roule dans des plantes toxiques de contact, ou photo-sensibilisantes, il s’intoxique facilement en faisant sa toilette.



    PREVENTION :

    PLANTES D’APPARTEMENT:

    Il est préférable de connaître le nom des plantes que l’on a chez soi.
    Les mettre or de portée du chat.
    Eviter de posséder des plantes très toxiques.
    Ne jamais laisser un animal mâchouiller les plantes même si elles ne figurent pas dans la liste car toutes les plantes sont potentiellement toxiques.
    Ne jamais laisser un animal se mettre en contact d’une plante photo sensibilisante de contact.
    Surveillez particulièrement les jeunes animaux.
    Lavez vous les mains après avoir toucher une plante.
    Soyez extrêmement vigilants avec les plantes à résine lorsque celles-ci perdent leurs feuilles ou si vous les taillez.
    Soyez vigilants également avec les fleurs coupés, et les plantes fleuris en pot qui sont généralement des plantes fleuris de jardin et que vous trouverez dans le tableau plantes de jardin et plante sauvages comme le muguet, le lys, de petits conifères etc….
    Les bonsaïs présentent la même toxicité que les arbres et plantes dans la nature.
    Les photos représentent quelques variétés de l’espèce mais il en existe certainement d’autres avec des formes légèrement différentes.
    des feuillages plus ou moins panachés et des fleurs de divers coloris. Je vous conseille d’utiliser les recherches images de vos moteurs de recherche en utilisant le nom commun ET le nom latin de la plante recherchée.


    PLANTES DE JARDIN :


    Quand vous désherbez ou touchez les feuillages des plantes (toxiques ou non) : mettez des gants et isolez bien les déchets afin que vos animaux ne soient pas en contact avec eux, lavez vous bien les mains avant de toucher les animaux
    Conservez les graines, les fruits et les oignons éloignés des animaux
    Éloignez les animaux lors du brûlage des herbes du jardin
    Ne taillez pas les plantes en présence d’animaux. Ils risqueraient de recevoir des projections de sève ou résine .
    Ne laissez pas vos animaux dormir sous les haies ou sous un arbre fraîchement taillés (risque de brûlure avec la sève, les résines)


    PLANTES SAUVAGES :


    Il est conseillé de connaître les plantes sauvages des lieux de promenade habituelles . Il existe de nombreux ouvrages d’identification par région en librairie, ou des sites d’identification sur Internet.
    Ne pas laisser errer même autour de chez vous votre chat ou encore moins votre chaton sans surveillance. Ils pourraient mâchonner des plantes dont vous ne pourriez connaître le nom !
    Si au retour d’une promenade, vous observez des troubles chez votre animal, consultez rapidement un vétérinaire.


    DANS TOUS LES CAS :


    Ne préparez pas vous-même de potions, d’onguents ou autres cataplasmes naturels avec des plantes. En forte concentration, ou après diverses préparations ou triturations, une plante non toxique ou peu toxique peut devenir dangereuse.
    Ne faites pas de fumigation à vos animaux si elles ne vous sont pas conseillées par un vétérinaire et n’utilisez que des produits (plantes ou extraits) conseillées et dosées selon avis médical.

    Avoir toujours dans le carnet de santé de l’animal, les numéros de téléphone des Centres Anti-poisons :

    Pour la France

    - CNITV Alfort : 01 48 93 13 00 (de 9 à 17 heures)
    - CNITV Lyon : 04 78 87 10 40 (ouvert 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24)
    - CNITV Toulouse : 05 61 19 39 40 (de 9 heures à 17 heures)
    - CNITV Nantes : 02 40 68 77 40 (de 8 heures 30 à 18 heures 30)

    COMMENT RÉAGIR EN CAS DE DOUTES D’INTOXICATION OU D’INTOXICATION AVÉRÉE ?


    Aller chez le vétérinaire avec la plante, le nom de la plante si possible le nom latin et éventuellement la photo ainsi que le nom du principe actif mentionné sur la liste
    Ne donnez ni à boire, ni à manger sans avoir pris l'avis de votre vétérinaire.
    Ne faites pas vomir
    Ne donner pas de lait
    N’essayez pas de traiter vous-même votre animal sans consulter un vétérinaire.
    Ne pas donner à votre animal de médicaments que votre vétérinaire aurait prescrit précédemment sans avis médical vétérinaire
    Ne pas lui donner de médicaments humains sans ordonnance ou sans avis médical vétérinaire: certains médicaments totalement inoffensifs pour l'homme peuvent être très dangereux pour l'animal.
    Ne pas solliciter l’animal: il est préférable de le laisser au repos et l'observer
    Ne pas mettre de garrot sur un membre
    Ne pas aspirer le venin en cas de morsure de vipère


    INTOXICATIONS LES PLUS FRÉQUENTES :

    Aloès - Arum - Asparagus - Colchique - Cotoneaster - Croton - Datura - Dieffenbachia - Euphorbe - Ficus - Jacinthe - Laurier cerise - Laurier rose - Morelle noire - Muguet -Oignon - -Poinsettia - Pomme de terre - Pommier d'amour - Pyracantha - Ricin - Sanseveria - Syngonium - Tabac - Tulipe -Yucca

    14% des intoxications sont des intoxications par les plantes contre 34% par les produits chimiques pour l’agriculture et le jardin et 23% par des médicaments.

    ATTENTION A LA CUISINE :


    Certaines plantes alimentaires sont toxiques même une fois à la cuisine :

    Ail -Agrumes - Avocat - Oignon - Échalote - Cacao sous forme de chocolat - Fèves - Haricots crus - Noyau des amandes - Noyau d'abricot - Pépins de pommes - Persil en grande quantité - Piment - Pommes de terre - Poireaux - Rhubarbe - Safran - Tomates vertes

     

     

    Espèces en cause :

    Muguet, Sceau de Salomon

    L'intoxication se fait par ingestion des feuilles et des fleurs (en mai) ou des baies (en automne). D'après le centre antipoison vétérinaire, l'espèce féline est celle pour laquelle les intoxications au muguet sont les plus fréquentes.

    La plante contient des substances cardiotoxiques. Lors d'ingestion massive, des troubles cardiaques apparaissent.

     

     

     

     

    Tabac :

    Un chat qui décide de chiquer un paquet de cigarettes risque une intoxication à la nicotine.

    L'ingestion de petites quantités se traduit par de la constipation, des vomissements, des tremblements, de l'incoordination motrice, une accélération de la fréquence cardiaque et respiratoire, une forte envie d’uriner ... La guérison demande plusieurs jours. L'ingestion de fortes doses, rare chez le chat normal, peut se compliquer de troubles du rythme cardiaque, de convulsions, et entraîner la mort par paralysie respiratoire.

    Dans un autre ordre d'idée, le tabagisme passif (exposition répétée à de petites doses de nicotine) chez la chatte gestante est susceptible de provoquer des malformations congénitales. Par ailleurs, on a récemment montré que la fréquence de lymphosarcomes chez les chats de fumeurs, surtout les chats d’appartement (donc des animaux constamment exposés à la fumée) est supérieure à la "normale"

    Ail, oignon, échalote etc .......

    Les symptômes peuvent apparaître à partir d'une consommation de 5 à 10 grammes d’oignon frais par kilo de poids, mettons 30g pour un chat. Cela peut arriver si le chat décide de descendre toute la sauce aux oignons de votre rôti...

    Les toxines agissent sur les globules rouges qu'elles font éclater. Il en résulte une anémie puis une jaunisse. Les symptômes se déclarent généralement 1 à 3 jours après l'ingestion. La récupération est longue, 1 à 2 semaines. Si la dose absorbée est importante, l'évolution est potentiellement mortelle.

    Même phénomène avec de grosses doses d’ail, d’échalote...
    Les liliacées
    Liliacées à toxicité digestive


    [Tulipe, Sanseveria]


    Espèces en cause :

    Tulipe, Chlorophytum (Phalangium), Jacinthe, Sanseveria, Yucca

    Les toxines sont présentes dans les bulbes et à un moindre degré dans les feuilles. L’intoxication se produit essentiellement par ingestion de bulbes, ce qui n’en fait pas une cause majeure d’intoxication chez le chat.

    A faible dose ces plantes entraînent des irritations locales : bouche (hypersalivation), appareil digestif (vomissements diarrhée), peau (dermites...) etc. Les symptômes apparaissent rapidement après ingestion. L'évolution est en général favorable en 1 ou 2 jours.. Par contre, si le chat est assez vicieux pour en avaler de grandes quantités, il risque de petits problèmes avec parfois des symptômes nerveux.

    Concernant le Yucca, l'écorce, les racines et les feuilles sont toxiques.*Alocasia (ou Colocasia)


    Ficacées


    * Ficus sp

    Amaryllidacées


    * Narcisse et jonquille
    * Amaryllis
    * Clivia
    * Crinum
    * Hippeastrum

    Iridacées


    * Iris

    Liliacées à toxicité digestive

    * Tulipe
    * Chlorophytum (Phalangium)
    * Jacinthe
    * Sanseveria
    * Yucca

    à toxicité cardiaque

    * Muguet
    * Sceau de Salomon

    à toxicité sanguine

    * Ail
    * Oignon
    * Échalote
    * etc.

    Légumineuses


    * Abrus = Jequirity (Féve coccinelle)
    * Mimosa du japon (Poinciana)
    * Robinia pseudoacacia
    * Glycine
    * Cytise
    * etc.

    Primulacées


    * Cyclamen
    * Primevères

    Apocynacées


    * Allamanda cathartica
    * Diplodenia
    * Laurier rose (Nerium oleandu)

    Euphorbiacées


    * Euphorbia pulcherrima = poinsettia (étoile de Noël)
    * Euphorbia milli = E. splendens (épine du christ)
    * Cociacum variegatum = croton
    * Pedilanthus

    Éricacées


    * Azalées
    * Rhododendron

    Solanées à effet atropinique


    * Datura
    * Belladone

    à effet nicotinique

    * Tabac

    possédant d'autres effets toxiques


    * Solanum pseudocapsicum (Pommier d'amour)
    * S jasminoide (Faux jasmin)
    * S. capsicastrum
    * S. sodomeum


    Les Aracées

    [Philodendrons]
    Espèces en cause :

    Dieffenbachia sp., Alocasia (ou Colocasia), Anthurium sp., Arisaema, Caladium, Monstera deliciosa (Philodendron pertusum), Philodendron sp., Xanthosoma sp, Zantedeschia (Arum des fleuristes)…

    La toxicité est maximale pour le Dieffenbachia et le Philodendron.

    Les toxiques sont présents dans la sève (latex) qui sort par les blessures de la plante ou exsude des feuilles.

    L’animal s’intoxique principalement en mordant les tiges ou les feuilles mais également, notamment pour le chat, en léchant son pelage souillé par le latex.

    Le latex est très irritant pour les tissus avec lesquels il entre en contact : la bouche (hypersalivation, sensation de brûlure...), le pharynx (gêne respiratoire), l’estomac (vomissements...), la cornée (kératite, ulcère cornéen lors de projection de sève dans l’oeil), la peau, etc. L'évolution se fait sur quelques jours.

    Le chat est particulièrement sensible à ces plantes. Il peut parfois présenter en plus des signes "classiques" des complications rénales. Les signes de néphrite (crise d’urémie) apparaissent 1 à 2 semaines après les premiers signes cliniques. Du fait de lésions rénales, le taux de mortalité n’est pas négligeable.

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  • A partir du mois de juin, avec le réchauffement actuel de la planète, l'été devient de plus en plus caniculaire et il est difficile de supporter des températures aussi extrêmes pour nos petits compagnons.


     

    1. Quelques renseignements sur le chat et la chaleur :

        Il faut savoir avant tout que les chats ne transpirent pas comme nous. Leur manière à eux de réguler leur température est l'halètement. Quand un chat a vraiment chaud, il halète afin de maintenir sa température corporelle à un niveau raisonnable.
    Mais cela arrive relativement rarement car les chats sont des animaux qui supportent assez bien les fortes chaleurs. Lors de fortes chaleurs, les chats sont assez inactifs, ils dorment beaucoup mais ils ne semblent pas trop souffrir contrairement à leurs compagnons canins.

    2. Que faire pour les aider néanmoins ?


        Pour aider votre chat à mieux supporter la chaleur, il existe quelques petites astuces mais malheureusement pas de solutions-miracle. 

    • -Il faut essayer de le mettre dans la pièce la plus fraîche de la maison (salle de bain par exemple ou bien dans le garage ou encore dans la cave),
    • -Vous pouvez aussi lui mettre un ventilateur : cela le rafraîchira un peu plus. Mais il se peut qu'il en ait peur au début.
    • -Si votre chat a les poils mi-longs ou longs et s'il vous semble qu'il a très chaud, vous pouvez éventuellement lui couper les poils assez courts. Il ne faut cependant pas les couper trop courts car les poils sont aussi des isolants thermiques contre la chaleur et ils protègent également contre les coups de soleil.
    • -Enfin, il faut savoir que si votre animal est un peu enrobé, la surcharge pondérale rend les chats encore plus sensibles à la chaleur, la couche de graisse sous-cutanée leur permet moins facilement de se refroidir. Dans ce cas, nous conseillons donc d'envisager de faire maigrir le chat pour l'aider à mieux supporter la chaleur.

    Pour savoir si votre chat a besoin d'un régime, allez le peser (c'est gratuit) chez votre vétérinaire et demandez-lui, ou à son assistante, s'il semble que votre chat ait besoin d'un régime.



     

    3. Quand s'inquiéter ?

       Il ne faut pas non plus tout mettre sur le compte de la canicule.

    Si votre chat :

    • -halète vraiment sans arrêts,
    • -semble avoir des difficultés pour respirer,
    • -perd beaucoup d'appétit,
    • -est complètement léthargique.

    Dans de tels cas, nous vous conseillons de consulter rapidement votre vétérinaire car votre animal pourrait souffrir d'un autre problème que de la chaleur uniquement.

    Par ailleurs, si l'été dernier, votre chat supportait mieux le climat, il faut potentiellement envisager un problème et il vaut mieux prendre ses précautions et consulter votre vétérinaire traitant.

     

     

     

    Quelques conseils du Dc Loïc Dombreval, vétérinaire :

     

       Les chats ne transpirent pas comme nous : quand un chat a très chaud, il halète afin de maintenir sa température interne à un niveau raisonnable.
    Cela arrive rarement car les chats sont des animaux originaires du désert qui supportent bien les fortes chaleurs. Observez votre chat quand il fait chaud : il est inactif, il dort beaucoup mais semble moins souffrir qu’un chien.

    Lorsque la chaleur augmente, votre chat, qui ne transpire pas, va avoir plus de mal à réguler sa température corporelle.

    Si vous êtes à la maison, laissez-lui l’accès aux pièces les plus fraîches et changez très régulièrement l’eau à sa disposition afin qu’elle reste toujours à température raisonnable. Vous pouvez même y ajouter des glaçons !

    Votre chat doit boire, en moyenne, 40 à 60 ml d'eau par kg de poids et par jour. S'il fait chaud, il peut boire jusqu'à 100 ml d'eau par kg et par jour.
    Pour être précis, la quantité de boisson bue par votre chat dans la journée dépend beaucoup de son alimentation.

    En effet, les aliments contiennent aussi de l'eau dont la quantité diffère en fonction de la catégorie de nourriture ingérée. Ainsi, les croquettes ont une teneur en eau beaucoup plus faible que les boîtes qui contiennent environ 70% d’humidité.
    Des aliments en boîte, à température fraîche, sont donc recommandés durant les périodes de forte chaleur pour alimenter votre chat.

    Si votre chat ne boit pas suffisamment (moins de 30 ml d’eau par kg et par jour), même en cas de fortes chaleurs, plusieurs solutions s'offrent à vous afin de résoudre ce problème :
    - Changez son eau au moins deux fois par jour, afin qu'elle soit toujours propre et fraîche. Attention, une gamelle en plastique peut donner un goût désagréable à l'eau.
    - Il est possible également que votre chat n'aime pas le goût de l'eau du robinet de votre ville. Essayez alors l'eau de source en bouteille.

    Lorsque vous êtes sur la route des vacances, votre chat sera plus stressé et régulera moins bien sa température corporelle. Offrez-lui à boire le plus souvent possible, utilisez un brumisateur, aspergez-le d’eau s’il accepte ou humidifiez un linge et frottez le délicatement.

     

    Malgré tout, ne laissez jamais votre chat dans la voiture par temps chaud, même en prenant la précaution d'entrouvrir les fenêtres : ce serait le coup de chaleur assuré.

     

     

     

    (Source Wanimo et un amour de chat)

     


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