• Date de création : 23/11/2007
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       Journée record : 25/04/2011 (404 Pages vues) 
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       Je passe réparer un oubli ........ Avec toutes ces histoires j'ai zappé les 4 ans de mon blog le 23 !!!!!!! Comme le temps passe vite ..... 

       Je voulais surtout ne pas oublier de vous remercier à toutes et à tous de votre fidélité, pour cette échange certes virtuelle mais toujours aussi précieuse, de vos messages qui me font chaud au coeur, de partager les hauts et les bas de la vie de mes 2 amours, Balrog et Callis . Car c'est bien eux qui font vivre ce blog .

     

       Merci à vous qui passez par ici ...... merci à eux de leur amour !!!!!!! 

     

    4 ans de blog ...... 

     


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  • La couleur d'un chat siamois est influencée par la température de son lieu de vie. Contrairement aux autres chats, sa couleur dépend du climat de la région où il grandit : s'il vit dans une région froide, il aura tendance à être plus foncé et inversement.
    Le chaton siamois est normalement tout blanc à la naissance. Lorsqu'il grandit, les premiers pigments foncés vont apparaître à l'extrémité de sa queue, sur la pointe de ses oreilles et au bout de son museau. Quand un chat siamois vit dans un milieu très froid, sa robe deviendra très vite foncée. En revanche quand il est élevé dans un milieu chaud, il aura une robe claire, et les taches sombres, situées aux extrémités des oreilles, de la queue et du museau, seront très limitées . 
      En fait, l'explication réside dans la compréhension de la génétique. Pour faire simple :
    Les chats siamois possèdent une protéine responsable dans la production de mélanine (qui donne la couleur à la peau et aux poils). Seulement, cette protéine est inactivé à une certaine température (au-delà des 37°). Ainsi, seules les régions du corps du chat les moins chaudes seront colorées parce que cette protéine y existe. Comme vous vous en doutez, les extrémités (nez, oreilles, queue et bout des pattes) sont les zones où la température corporelle est inférieur aux 37°.

       D'autre part, beaucoup d'éléments entrent en ligne de compte en ce qui concerne cette coloration : la nourriture, comme les lignées ont aussi une influence non négligeable.

     

      (Source l'Agenda des Chats de GEO et secouchermoinsbête) 

     

    Une robe selon le temps !!!! 

     

     


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  • Pourquoi faire stériliser son chat ..... 

     

    Ce croquis parle de lui-même !!!!!!!

     

        SAUVEZ LES !!! STÉRILISÉS LES !!!

      La stérilisation n’est pas encore devenu un réflexe pour les propriétaires d’animaux de compagnie . Pourtant ce simple geste permettrait de désengorger les refuges et d’éviter bien des soucis de santé à vos compagnons à quatre pattes.

    Stop à la surpopulation !!!

    Toutes les associations qui se dévouent pour protéger les animaux sont unanimes, la stérilisation est le premier geste de protection animale. Les portées "sauvages" alimentent la surpopulation dans les refuges et, de fait, l’euthanasie. En effet, il n’est pas toujours évident de placer chiots ou chatons nés d’une portée fût-elle accidentelle. Ceux qui ne trouvent pas de maîtres grossissent, alors, les rangs de refuges. De plus, ceux qui adoptent ces nouveaux nés n’iront pas en sauver un dans un refuge.

    La stérilisation et vertus thérapeutiques ...

    Le risque de tumeur mammaire baisse considérablement chez les chiennes qui subissent une ablation des ovaires avant ses deux ans, les grossesses nerveuses sont aussi beaucoup moins fréquentes.

    Chez la chatte, qui dit stérilisation dit suppression des chaleurs. Ceux qui partagent leur vie n’auront plus à subir leurs miaulements incessants lorsqu'elle est à la recherche de mâles.

    Chez les mâles, chiens comme chats, on constate après la castration une légère transformation du comportement. Les chats sont moins aventureux et de fait risquent moins d’accidents. Les chiens souvent un peu plus calmes.
    Les chats ne risquent plus de cancer des testicules, chez les chiens c’est le risque de cancer de la prostate qui décroît.

    Pour conclure, il faut aussi rappeler que beaucoup de femelles meurent en mettant bas. Un particulier n’a pas les connaissances d’un vétérinaire ou d’un éleveur pour intervenir lors d’une mise bas difficile. En plus de risquer la vie de la mère, on risque aussi la vie des petits qui ont besoin du lait maternelle pour survivre les premiers jours.

    Les coûts de la stérilisation :

    Chiens : De 100 à 350 € pour une chienne en fonction de sa taille. Environ 150 € pour un chien.
    Chats : La castration simple coûte entre 60 et 120 €
    Chattes : le vétérinaire effectue une ovariectomie, c’est-à-dire qu’il retire les ovaires sous anesthésie générale. Les prix varient de 60 à 180€.

    Quelques chiffres :

    - Chaque année 750 000 chiens naissent en France et seulement 190 000 sont inscrits au LOF.
    - Il y a en France 9,9 millions de chats. Plus de 2,5 millions de chats naissent chaque année en France.

    Agissez !!! Faîtes stériliser vos animaux et informez un maximum de monde sur la nécessité de la stérilisation.


     (Source Solidarité Animale et Planétaire)  


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  • Paracétamol, Doliprane, Efferalgan, Disprine, Aspirine, etc... sont des substances extrêmements toxiques pour les chats qui ne doivent en absorber dans aucun cas.

    Les chats ne métabolisent pas les médicaments comme les humains, parce que les chats ne possèdent pas l'enzyme nécessaire.
    C'est pourquoi, en raison de leur capacité de métabolisme (d'élimination), les chats sont d'avantage exposés à un risque de surdosage important et peuvent présenter les symptômes suivants après administration :

    hyperthermie, alcalose respiratoire, acidose métabolique (= problèmes d'équilibres ioniques du sang) , méthémoglobinémie (altération de l'hémoglobine), gastrite hémorragique, insuffisances rénale et hépatique, cyanoses des muqueuses, abattement, hypothermie, oedème facial, vomissements, diarhée, convulsions, hypersalivation, coma, etc...

    Ainsi, même en dose réduite, ils sont toxiques et même mortels pour les chats.

    Je sais qu'il est difficile de voir souffrir son animal et qu'en voulant bien faire, on peut être tenter de donner un anti-douleur à son chat sans en connaître les conséquences. Il faut savoir que les médicaments destinés aux humains sont potentiellements dangereux pour les animaux, il faut donc toujours consulter un vétérinaire avant d'administrer un produit à votre animal. Eviter l'auto-médication.

    Parole d'un vétérinaire : JAMAIS d'aspirine (et autres anti-douleurs)

    "oui, mais j'ai lu que..."
    Non, n'en donnez pas !

    "oui, mais si j'ai rien d'autre..."
    Non, n'en donnez pas !

    "oui, mais j'ai la posologie pour le chien, et comme je connais le poids de Kiki, j'avais pensé que..."
    Non, n'en donnez pas !

    "oui, mais ça le soulage..."
    Non, n'en donnez pas !

    "oui, mais..."
    Non, n'en donnez pas !

      Si par ignorance ou par accident, votre à chat en aurait ingéré, consulter rapidement, au plus vite, au plus court, à la vitesse de l'éclair votre vétérinaire ou le centre anti-poison le plus proche !!!! 

     

     (Source Chats&Cie)  

     

     


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  • Afin de s’harmoniser avec l’Union Européenne sur les conditions d’entrée des carnivores domestiques, le Royaume-Uni a décidé "d’alléger" son dispositif. Le test sérologique ne sera plus à effectuer mais la vaccination antirabique reste exigée. 

    Jusqu’à présent, pour se rendre au Royaume-Uni avec son animal domestique (chat, chien, furet), il fallait procéder à un test sérologique pour contrôler la validité du vaccin contre la rage. Cela supposait de s’y prendre suffisamment à l’avance afin de pouvoir faire effectuer ce contrôle par un vétérinaire.

    Au 1er janvier 2012, le Royaume-Uni, afin de s’harmoniser avec l’Union Européenne (UE) sur les conditions d’entrée des carnivores domestiques a décidé "d’alléger"  son dispositif.

    Le test sérologique ne sera plus d’actualité. En revanche, l’animal devra bien entendu être correctement vacciné contre la rage.

    Un délai d’attente de 21 jours  : 

    Cette règle ne souffrira d’aucune exception, même si la vaccination antirabique de votre animal de compagnie est en cours de validité. Les rappels antirabiques doivent être tenus à jour.

    Le délai d’attente pour entrer au Royaume-Uni après la date de la vaccination est donc de 21 jours. Si la vaccination a lieu en deux fois, le délai de 21 jours commencera à la date de la seconde vaccination.

    D’autres mesures  :

    Chiens et chats devront bien entendu être identifiés par puce électronique (transpondeur) et être munis de leur passeport européen.

    Le traitement contre les tiques ne sera plus obligatoire ; celui contre l’echicoccose sera soumis à l’agrément de l’UE.

    Pour les animaux transportés par une société de transport, cette dernière devra être approuvée et empruntée une route autorisée.

    Pour les animaux ne venant pas de l’UE (Etats-Unis, Australie, Brésil, Inde, Afrique du Sud…), la sérologie restera toutefois de mise.

    Des propositions de la Commission européenne permettant au Royaume-Uni de continuer à exiger la vermifugation des animaux domestiques contre le ténia est actuellement en attente.

     

     (Source  New Assurances) 

     

    Plus de souplesse pour le Royaume Uni : 

     

     

     


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  • Comme le temps passe vite ....... notre petit Callis fait 4 ans aujourd'hui . Bon anniversaire à mon petit prince !!!!!!! 

     

    Callis ....... 4 ans !!!! 

     

    Je souhaite un bon week-end à tout le monde !!!!!!!  

     

     


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  • Asnières, le cimetière des animaux : 

     

    Jusqu’au XIXe siècle, l’animal a une fonction utilitaire. La violence à l’égard des bêtes, donnée ordinaire à des époques également violentes pour l’homme, devint néanmoins de plus en plus intolérable : ainsi, la naissance en Angleterre d’une société protectrice des animaux dès 1824 témoigne du polissage des mœurs. Partageant cette logique, le comte de Grammont, outré des mauvais traitements infligés aux chevaux, fonde au milieu du XIXe siècle la SPA française : d’utilitaire, l’ animal devient un " compagnon " dont la présence concoure au bien-être des citoyens.

       Mais si les conditions de vie des animaux s’améliorent, après leur mort, rien n’est prévu. En théorie, les cadavres devaient être apportés dans les vingt-quatre heures chez l’équarisseur. Dans la pratique, à Paris, les dépouilles sont le plus souvent jetées avec les ordures ménagères, lorsqu’elles ne sont pas lancées dans la Seine ou dans les fossés des fortifications.

     

       La loi du 21 juin 1898 tente d’apporter une solution au problème : elle prévoit que les animaux domestiques " pourront être enterrés dans une fosse située autant que possible à cent mètres des habitations de telle sorte que le cadavre soit recouvert d’une couche de terre ayant au moins un mètre d’épaisseur ".

       Profitant de cette loi, Georges Harmois et Marguerite Durand créent le 2 mai 1899 la Société française anonyme du Cimetière pour chiens et autres animaux domestiques. Le mois suivant, cette société achète la moitié de l’île des Ravageurs, utilisées jusque là comme lieu de stockage par les chiffonniers. Située en amont du pont de Clichy, elle est dans le territoire de la commune d’Asnières. Le premier cimetière animalier du monde ouvrit ses portes à la fin de l’été 1899.L’architecte parisien Eugène Petit, dont plusieurs immeubles du XIV° arrondissement portent la signature, est chargé de dessiner l’entrée du cimetière. Il conçut le portail de style Art Nouveau, flanqué de deux portes pour le passage des piétons.

       En 1976, le comblement du bras de Seine, rendu possible par la disparition d’une seconde île, l’île Robinson, fait perdre au cimetière son caractère insulaire. Suite à des ennuis financiers, le cimetière faillit fermer ses portes en 1986 : classé monument historique en 1987, il fut reprit par la commune d’Asnières en 1997.

     

        Des dizaines de milliers d’animaux furent inhumés dans ce cimetière. Comme tout cimetière, Asnières à ses célébrités : des chiens policiers morts en fonction ; Mémère, née en 1914, et devenue le chien mascotte des chasseurs à pieds durant la Première Guerre mondiale. Cocteau, Courteline, Guitry ou Saint-Saens y inhumèrent leurs compagnons, Kroumir, le chat d'Henri de Rochefort, dont on raconte qu'il est mort de chagrin quatre jours après son maître ; et les animaux de compagnie de Camille Saint-Saëns, de Courteline, de Sacha Guitry, de princes, de ducs.

     

        Mais le cimetière d'Asnières ne serait rien sans la multitude des anonymes, chiens, chats, oiseaux, lapins, tortues, souris, hamsters, poissons, chevaux et même lions, singe, gazelle, fennec, maki dont les sépultures richement sculptées ou simplement fleuries témoignent de l'affection de leurs maîtres.

     

         Aussi au hasard d'une promenade, peut on découvrir la reconnaissance d'une mère à qui le chien Loulou "rendit son enfant qui en 1895 se noyait dans la Garonne. Le brave Loulou n'avait que neuf mois et de plus une patte cassée..." Plus loin, un petit chien de pierre tend la patte à un soldat casqué.

     

         Enfin, anonyme parmi les anonymes, un chien errant vint mourir, le 15 mai 1958, aux portes du cimetière. La direction lui érigea un monument. C'était le 40.000ème animal a être enterré dans la nécropole. Contrairement à ce qui est écrit sur le monument commémoratif au brave Saint-Bernard Barry, à l’entrée du cimetière, ce dernier ne mourut pas en allant sauver une vie : sous ce nom, c’est toute une génération de sauveteurs de l’hospice du Grand Saint-Bernard qui est honorée. Barry I, après de loyaux services, mourut de sa belle mort en 1814 : il fut empaillé et on peut le voir aujourd’hui au musée de Berne, en Suisse.

     

       La plus grande star est sans conteste Rintintin (1918-1932), au destin étonnant : trouvé alors qu’il venait de naître dans un chenil en ruines, en Lorraine, il fut recueilli par le soldat américain Lee Duncan, ramené aux Etats-Unis après la guerre, puis remarqué par le producteur Darryl F.Zanuck. Il commença alors une carrière cinématographique qui ne prit fin qu’à sa mort.

    On dit qu’il sauva les studios Warner de la faillite, suite à la grande dépression. On dit aussi qu’il mourut dans les bras de Jean Harlow. Son maître fit rapatrier ses restes dans " sa terre d’origine " et il fut inhumé à Asnières.

     

        Après sa création, le cimetière connaît un succès croissant mais rencontre des difficultés chroniques. La plus récente est certainement celle de 1986, quand le conseil d'administration décide l'arrêt de toute activité et la fermeture définitive du cimetière pour le mois de septembre 1987. Vivement émus, les amoureux du vieux cimetière se mobilisent. La mairie d'Asnières prépare alors un plan de sauvetage et demande notamment le classement du site.

     

        Le 29 septembre 1987, la commission départementale des Hauts de Seine, à la demande du ministre de l'équipement, Pierre Mehaignerie, inscrit le site du cimetière des chiens compte tenu de " son intérêt à la fois pittoresque, artistique, historique et légendaire ".

     

        En mai 1989, la mairie d'Asnières rachète à la Société Française anonyme du cimetière pour chiens et autres animaux domestiques le terrain et en confie la gestion à une société indépendante. Enfin, le 1er février 1997, la mairie d'Asnières reprend en main la gestion du cimetière pour aborder sereinement son second siècle d'existence. Des travaux de restauration ont lieu en 2001.

     

     (Source des animaux et des hommes) 

     

    Asnières, le cimetière des animaux : 

     

     

     


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  • ...... dans la lumière d'un soleil couchant qui fait flamboyer les couleurs .......

     

     

    Lumière d'automne ..... 

     

    Lumière d'automne ..... 

    Cliquer pour agrandir 

     

    Trés bon week-end à tout le monde !!!!!!!!!!  

     

     

     


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  • Le squelette du chat : 

    Le squelette est composé de 250 os. Les vertèbres du cou sont courtes, et la colonne vertébrale est très souple. La clavicule des chats, de petite taille comme pour tous les félins, est reliée au sternum par un unique ligament : cela lui confère une grande souplesse, les épaules pouvant bouger indépendamment l’une de l’autre. Comme tous les carnivores, la dernière prémolaire supérieure et la première molaire inférieure forment les carnassières qui permettent au chat de déchirer sa nourriture, grâce à des muscles puissants fixés aux parois latérales de son crâne, et de l’avaler sans la mâcher. L’os hyoïde est entièrement ossifié, ce qui permet au chat de ronronner mais pas de rugir .

    Les pattes sont pourvues de griffes rétractiles. Le chat possède cinq doigts aux pattes antérieures, dont seulement quatre touchent le sol, le pouce restant à l’écart, ainsi que quatre doigts aux pattes postérieures8. Des cas de polydactylie existent et certains standards de races de chat l’admettent dans les concoursA 3. Les coussinets ou pelotes, sont constitués d’une membrane élastique qui confère une marche silencieuse .

    Ces spécificités confèrent à l’animal une grande souplesse et une détente ample lors des sauts : il peut notamment sauter à une hauteur cinq fois supérieure à sa taille10. À la course, sa vitesse moyenne est de 40 km/h et il met 9 secondes pour faire 100 m, mais il n’est pas un coureur de fond et il se fatigue assez vite . Contrairement à ce que l’on peut penser, tous les chats savent très bien nager et ils n’hésiteront pas à se jeter à l’eau s’ils y sont contraints .

    Un chat pèse en moyenne entre 2,5 et 4,5 kg et mesure de 46 à 51 cm sans la queue, qui peut, elle mesurer de 20 à 25 cm de long. Le record de poids et de taille est détenu par Himmy, un chat castré australien qui, à sa mort en 1986, pesait 21,3 kg pour 96,5 cm de longueur totale et un tour de taille de 84 cm . 

     

    Le squelette du chat : 

     

    Son sens du toucher est également bien développé. Ses vibrisses (moustaches, mais il y en a aussi aux pattes, sous le menton, les sourcils) lui indiquent la proximité d’obstacles, même dans l’obscurité totale, en lui permettant de détecter les variations de pression de l’air. Celles-ci lui permettent aussi de mesurer la largeur d’un passage. Il ne faut surtout pas les couper car le chat serait déstabilisé[réf. nécessaire]. Les coussinets garnissant ses pattes sont très sensibles aux vibrations et sa peau est constellée de cellules tactiles extrêmement sensibles .

     

      (Source Wikipédia)  

     

     


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  • La chose est peu connue mais… les maladies parodontales sont les troubles les plus fréquemment retouvés chez le chat. Selon une étude de l’Université du Minnesota publiée en 1996, elles arrivaient en tête de tous les problèmes observés chez ces derniers après l’âge de 7 ans. Environ 60% des chats observés alors en seraient atteints.

    Or avec l’âge naturellement, ces troubles s’aggravent. Ils sont à l’origine de douleurs et d’infections bactériennes – les unes et les autres chroniques - bien souvent méconnues du propriétaire. Car en effet, leur impact sur l’état général de l’animal est très largement sous évalué.

    Les chats sont relativement peu sujets aux caries. En revanche, ils restent particulièrement exposés aux maladies des gencives. Celles-ci sont liées au dépôt de tartre sur les dents et à la formation de plaque dentaire. Pourtant ces affections, chez le chat comme chez l’homme, n’ont rien d’une fatalité. Elles peuvent être prévenues. A la maison, les maîtres eux-mêmes peuvent dispenser à leur animal les soins réguliers qui permettront de limiter l’accumulation de plaque dentaire. Et comme cela ne suffit pas toujours, des visites régulières chez le vétérinaire permettront de vérifier son état bucco-dentaire.

    Outre qu’elles sont très douloureuses et s’installent dans la chronicité, ces affections parodontales peuvent provoquer des abcès et la chute de certaines dents. A long terme, elles risquent d’affecter l’état général de l’animal, avec un retentissement important sur des organes vitaux : cœur, foie, reins par exemple.

    Vous devez donc prêter une attention particulière à l’hygiène bucco-dentaire de votre chat. Si vous suspectez la présence d’une maladie parodontale, emmenez-le sans tarder chez le vétérinaire. Traitée à temps avec le matériel et le savoir-faire nécessaires, celle-ci peut être soignée très efficacement. Et une fois guéri, l’animal verra son comportement au quotidien transformé. Certains propriétaires même, n’hésitent pas à parler de « renaissance ». C’est dire ....... 

     

     (Source Encyclopédie de la Nutrition clinique féline)  

     


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