• Le Chat de Temminck (Pardofelis temminckii) ou Chat doré d'Asie est un félin de taille moyenne du genre Pardofelis. Sa robe est généralement unie et de couleur rousse, mais de nombreuses variations existent, incluant des spécimens mélaniques, tachetés comme l'ocelot ou de couleur grise ; un marquage facial composé de bandes blanches permet de facilement le reconnaître. 

       Habitant discret des forêts d'Asie du sud-est, son comportement à l'état sauvage demeure mal connu en raison du faible nombre d'études scientifiques portant sur cette espèce. Victime de la déforestation et du braconnage pour sa fourrure ou ses os, ses effectifs à l'état sauvage sont considérés comme en déclin. L'espèce est classée comme « quasi menacée » depuis 2008 par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Quelques dizaines de Chats de Temminck sont gardés en captivité. On rencontre parfois ce magnifique chat sauvage en attitude . Il a été repéré dans l'Himalaya à prés de 3050 mètres . 

       Nommé en l'honneur du zoologiste néerlandais Coenraad Jacob Temminck, qui décrivit le Chat doré d'Afrique, le Chat de Temminck fait l'objet de mythes et légendes chez les populations autochtones . 

     

    Un chat tigré : 

     

     


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  • Pendant ma panne d'internet, à termps perdu je scrappais ....... 

     

    Nouveaux scraps avec Callis : 

     

    Nouveaux scraps avec Callis : 

    Cliquer pour agrandir 

     


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  • J'offre cet hommage à Christine qui vient de perdre récemment "ses grandes z'oreilles" jolie lapine qui partageait sa vie ....... 

     

       " Tout juste à coté du paradis, il existe un endroit qui s'appelle le Pont De L'Arc En Ciel. Lorsqu'un animal, qui a été particulièrement proche d'une personne dans notre monde, meurt,cet animal se retrouve au Pont De L'Arc En Ciel. Là, il y a des prés et des collines pour tous nos amis spéciaux, afin qu'ils puissent jouer et courir ensemble.
    Il y a amplement de nourriture, d'eau et de soleil pour que nos amis aient bien chaud et soient confortables.
    Tout ceux qui étaient malades et vieux, retrouvent leur santé et leur vigueur; ceux qui étaient bléssés ou éstropiés, sont de nouveau forts et agiles, tout comme on se souvient d'eux dans nos rêves des jours passés. Les animeaux sont contents et heureux, sauf pour un détail; ils s'ennuient d'une personne trés spéciale, une personne qui est demeurée dérriére.
    Ils courent et jouent ensemble, mais vient un jour lorsque l'un d'entre eux s'arrête soudainement et regarde vers l'horizon. Ses yeux sont brillants et ardents; son corps impatient commence à fremir. Soudainement, il se détache du groupe, courant à toute vitesse au dessus l'herbe verte, de plus en plus vite. Tu as été repéré, et au moment où tu es finalement réuni avec ton ami si spécial, vous vous tenez en une union joyeuse, pour ne plus jamais être séparés l'un de l'autre. Les baisers heureux abondent sur ton visage; tes mains caressent cette tête tellement aimée, et tu regardes une fois de plus dans ces yesux pleins de confiance, ces yeaux depuis si longtemps disparus de ta vie, mais qui n'ont jamais quitté ton coeur.
     Et puis, ensemble, vous traversez le Pont De L'Arc En Ciel ... " 

    (Auteur Inconnu)  

     

     Courage Christine ...... Même si Nina n'est plus là, elle restera présente à jamais dans ton coeur .  


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  • Tout le monde connait "L'homme qui marche" d'Alberto Giacometti . 

     

    Le peintre et son modèle : 

     

    Mais connait-on l'amour qu'il vouait aux chats ? 

     

    Le peintre et son modèle : 

     

    Tête-à-tête intime et complice entre le peintre sculpteur suisse et l'un de ses chats . Le créateur de L'homme qui marche était un fervent amoureux des chats . Il affirmait même qu'en cas d'incendie, entre un chat et un Rembrandt, il sauverait le premier !!!

     

        Alberto Giacometti a créé en 1954 une sculpture en bronze intitulé Le Chat .

     

    Le peintre et son modèle : 

     

    (Source l'Agenda des Chats de GEO)  

     

     


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  • Balrog se joint à moi pour vous souhaiter un excellent week-end !!!!!!

     

    Pour vous souhaiter un bon week-end !!!!! 

     

    Pour vous souhaiter un bon week-end !!!!! 

     

    Pour vous souhaiter un bon week-end !!!!! 

     

    A tout bientôt !!!!!!!!  

     


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  • La malbouffe expliquée à mon chat :
    PAR EDOUARD NEBIAS
    de Marianne – 27 mars au 2 avril 2010

    Nos amis à poils, gavés de croquettes et autres friandises industrielles, souffrent eux aussi de troubles pathologiques liés à leur alimentation. Un mode de nutrition de plus en plus critiqué, au grand dam des majors de la grande distribution.

    "Ton alimentation sera ta meilleure médecine." Cette citation d'Hippocrate, la Facco, la chambre syndicale des fabricants d'aliments pour chiens, chats, oiseaux et autres animaux familiers, l'a fait sienne. C'est dire le degré d'exigence affiché par cette industrie qui propose pour les chiens et chats (environ 17 millions en France, sans parler des furets) un aliment paré de toutes les vertus nutritives et préventives en matière de santé animale : la croquette. Depuis les années 60, qui ont vu l'essor des aliments secs sur le marché, l'industrie a multiplié les segments spécialisés afin de répondre aux besoins nutritifs de l'animal. Est développé aussi un marketing agressif : espèce, race, activité, taille, âge, condition physique, pathologie... réclament chacun leur aliment. Des gammes de croquettes sont même exclusivement réservées par les grandes marques à la distribution vétérinaire, leur donnant la fonction de véritables alicaments. De quoi mettre le consommateur en confiance, d'autant qu'en termes d'utilisation on n'a jamais fait plus pratique : ouvrir le sac, verser, prévoir de l'eau propre et fraîche, et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire le repas de l'animal est prêt à être ingurgité. Le marché, en France, est florissant. Il est évalué à 2,5 milliards d'euros. Pas étonnant qu'on y retrouve des mastodontes comme Colgate, avec HILLs, ou encore Procter & Gamble, avec Eukanuba et Iams. Et, bien sûr, des poids lourds de l'agroalimentaire. Nestlé possède entre autres Purina One, PROPLAN, Friskies, Félix. Mars Incorporated détient notamment ROYAL CANIN, Canigou, Ronron, Frolic, Whiskas et Pedigree.

    Céréales ou viande crue ?

    Pourtant, la croquette est loin de faire l'unanimité. Sur le Web, l'un des sites (la SNAC entre autres) critiques les plus complets est sans doute b-a-r-f.com animé par le Suisse Pieter Wenk. Depuis le décès prématuré de son chien, dû, selon lui, à l'alimentation industrielle, il compile une importante documentation mettant en cause les croquettes. Le nom Barf, en lui-même, n'est pas neutre. Ce sigle anglais, qui signifie biologically appropried rawfood (« nourriture crue appropriée sur le plan biologique »), ou encore bones and raw food (« os et nourriture crue »), rassemble des partisans de régimes alimentaires d'origine australienne lancés à la fin des années 70. Apparemment de bon sens, ces régimes cherchent à respecter la nature des carnivores qui à l'état naturel ne consomment que de la viande crue, ce qui éviterait, selon leurs thèses, un certain nombre de problèmes de santé, comme le dépôt de tartre sur les dents et ses conséquences sanitaires parfois graves. Or, précisément, dans les croquettes, non seulement les aliments sont cuits pour éliminer les agents pathogènes, mais on y trouve aussi des produits végétaux, « en quantité astronomique, précise le Dr Gérard Lippert, vétérinaire à Bruxelles. Jusqu'à 60 % DE CEREALES ! le chien n'est pas capable de les digérer correctement. Avec l'eau qu'il doit obligatoirement boire pour accompagner ses croquettes, son estomac travaille comme une bétonneuse ».
    Dans sa carrière, le Dr Jean-Louis Thillier, spécialiste de la physiopathologie humaine, a utilisé le chien pour modéliser ses recherches sur l'homme. Ses analyses vont dans le même sens que celles du Dr Lippert : « Chez les canidés, il y a une recrudescence de décès par torsion d'estomac depuis 1999. En vingt ans, l'espérance de vie de certaines races de grands chiens est passée de dix à cinq ans. Cette évolution est parallèle à la courbe de croissance de la consommation de croquettes. » Simple coïncidence ? Le pionnier du Barf, le Dr Ian Billinghurst, explique avoir remarqué l'émergence de pathologies au moment où la nourriture industrielle est apparue en Australie. En France, même constat pour le Dr Hervé Jean-bourquin, l'un des rares vétérinaires à oser publiquement questionner l'alimentation industrielle : « En trente ans d'activité professionnelle, j'ai vu apparaître chez le chat et le chien des pathologies qu'on ne voyait pas avant, ou alors pas à de telles fréquences, comme le diabète ou encore le cancer. Empiriquement, nous avons cherché des causes possibles et nous avons obtenu des résultats en modifiant l'alimentation. »
    Au pays de Jacques Brel, Gérard Lippert s'est posé les mêmes questions : « De 2001 à 2003, j'ai mené une étude sur 600 décès de chiens. J'en suis arrivé à la conclusion, qui m'a valu d'être convoqué devant le Conseil de l'ordre, que les chiens nourris industriellement ont en moyenne trois ans d'espérance de vie en moins, tous sexes, tailles et races confondus. » Une étude dont il a tiré un livre, la Malbouffe ou la vie (éd. Résurgence). « Faites le calcul de ce que vous coûte la nourriture industrielle d'un animal par jour. A ce prix-là, qui inclut les marges des fabricants et des distributeurs, ne vous attendez pas à de la qualité. Or, il est plus économique d'investir dans l'alimentation si en échange on évite des maladies et des visites fréquentes chez le vétérinaire », explique le Drjeanbourquin. Sylvio Faurez, ancien président du Syndicat de défense des éleveurs de chiens et de chats d'origine (Sdecco), lui donne raison : « Depuis que nous somme passés à un régime à base de viande hachée crue, nous avons diminué les frais vétérinaires de notre élevage. »
    Des convergences troublantes. En tout cas, pour la chaire d'alimentation de l'Ecole nationale vétérinaire de Maisons-Alfort, les mises en accusation des croquettes sont abracadabrantes. « les torsions d'estomac se produisent uniquement chez les chiens de grande taille à la suite d'un gros repas croquettes ou autre, suivi immédiatement d'une activité physique », explique le Pr Bernard-Marie Paragon. Avec la croquette, si l'animal ne boit pas, il faut six heures pour digérer. Deux heures s'il est hydraté. Quant aux cancers et autres pathologies en augmentation, les causes sont à chercher du côté de la pollution et de notre environnement, qui s'est considérablement modifié. » Pour ce spécialiste universitaire de la nutrition, la croquette est hors de cause. Elle serait même un aliment complet qui couvre tous les besoins nutritionnels de l'animal, pratique et pas cher - même si le haut de gamme tutoie les prix de l'alimentation humaine. Selon le nutritionniste animal, les progrès de la connaissance médicale sont immédiatement intégrés aux formulations. Pourquoi pas donc, mais avec certaines réserves : un chat qui mange ses croquettes sans boire risque de développer des calculs urinaires. Seuls environ 2 % des animaux ne tolèrent pas les aliments industriels. Ce n'est pas un défaut de l'aliment, mais plutôt un défaut de l'animal. Pour eux, il faudra rechercher d'autres modes alimentaires. Sans faire n'importe quoi. « Le chat est resté un prédateur, rappelle le professeur. Pas le chien, qui dépend totalement de l'homme pour se nourrir et qui s'est habitué aux restes de la cuisine humaine. A cet égard, la mode du cru relève du fantasme et n'est pas sans danger : un poulet entier cru d'origine douteuse, porteur de salmonelles, peut être fatal au chien et éventuellement intoxiquer toute la famille. » Reste donc à faire cuire le poulet...
    De son côté, la Facco a beau jeu d'affirmer que, contrairement aux « légendes » et « idées reçues », elle n'utilise pas de déchets dans l'alimentation animale. En Allemagne, Hans-Ulrich Grimm, ancien journaliste du Spiegel, s'intéresse depuis plusieurs années à l'industrie agroalimentaire. Publiée en 2009, son enquête sur l'alimentation animale, Katzen würden Mäuse kaufen (« Les chats achèteraient des souris », non traduite en français), a bien failli ne jamais voir le jour. « L'industrie a voulu faire interdire mon livre. J'y révélais que, contrairement à ses allégations, elle utilise bien des déchets pour sa production. » Ces déchets sont des éléments de la chaîne alimentaire industrielle considérés comme impropres à la consommation humaine, sans être pour autant nécessairement dangereux. En fait, il s'agit, pour l'industrie, de valoriser ces matières, qui autrement seraient détruites. Maisimaginez la tête d'un propriétaire découvrant que ce qu'il promet à son compagnon est fabriqué à partir de déchets ? Alors motus sur leur utilisation !

    DES CONTROLES INEXISTANTS !!!

    Seules des études approfondies menées sur la composition des croquettes pourraient ramener de la sérénité dans ce débat. Or elles n'existent pas. « j'ai été frappé par l'absence de critiques scientifiques sur la nourriture industrielle animale alors que l'alimentation industrielle humaine fait, elle, l'objet d'importants débats en matière de santé », confie Hans Grimm. Justement, que penser de tous ces additifs incorporés aux croquettes ? « Pour beaucoup de consommateurs, le mot "additif a une connotation péjorative à l'inverse de "naturelle". Ces additifs, dont la liste autorisée est strictement définie, ont en réalité des rôles majeurs », peut-on lire sur le site de la Facco, qui n'a pas donné suite à notre demande d'entretien. Ce serait des compléments de formule, comme des minéraux, des oligoéléments, des conservateurs de nutriments fragiles... « "Additif" ne signifie donc pas "artificiel", il s'agit d'un plus apporté à la sécurité alimentaire des animaux domestiques, explique l'industrie. Bien sûr que beaucoup de ces additifssont chimiques : la liste de la Commission européenne fait 200 pages ! » rectifie Hans Grimm.
    Mais il n'y a pas que ça : la réglementation européenne n'impose pas l'étiquetage de la liste complète des additifs incorporés aux croquettes. Pour la connaître, le consommateur peut toutefois en faire la demande auprès du responsable de l'étiquetage, apprend-on du côté de la répression des fraudes, la DGCCRF. Sans commentaire ! D'autant que, à en croire les fabricants, les croquettes respecteraient les standards de l'alimentation humaine. « En manger serait une expérience journalistiquement intéressante, je vous encourage à la tenter, car personnellement je ne le ferais pas », lance malicieusement le journaliste allemand. Malheureusement, à Marianne, nous n'avons pas trouvé de volontaire pour rejouer Super Size Me version croquettes.
    Est-ce que le consommateur est pour autant à l'abri des fraudes ? En 2007, aux Etats-Unis, les industriels de l'aliment pour animaux se sont retrouvés face à une crise majeure : des céréales importées de Chine se comportaient comme de la mélamine, une substance chimique dopant artificiellement le taux de protéines. Un violent poison aussi, occasionnant la mort probable de plusieurs milliers d'animaux domestiques. A la suite de quoi l'industrie a dû rappeler les lots contaminés et affronter dans la foulée une action de classe au plan judiciaire. Bien sûr, les fabricants se disent avoir été victimes de leurs fournisseurs chinois. Mais ont-ils mené correctement les contrôles à l'importation ? La question reste posée. Car ce n'est pas la première fois que le secteur agroalimentaire se retrouve impliqué dans des scandales, et pas toujours à son corps défendant. Sans parler de certaines pratiques qui donnent la nausée : chenils expérimentaux, vivisection afin de valider l'efficacité des formules alimentaires, tests cruels sur animaux effectués dans d'autres activités de groupe... La plupart des firmes impliquées dans l'alimentation animale sont ainsi montrées du doigt par les associations de défense des animaux Peta et Uncaged, dont certaines, comme Procter & Gamble, sont sur leur liste noire. De quoi provoquer un sérieux malaise et la suspicion chez les consommateurs. Une suspicion qui éclabousse le monde vétérinaire, l'immense majorité des praticiens étant aussi prescripteurs et vendeurs de croquettes, généralement en toute bonne foi. Et pour cause ! Dès leur arrivée à l'université, les étudiants vétérinaires goûtent aux largesses des firmes, aux petits soins pour eux. « Elles parrainent des événements extrascolaires, fournissent des polycopiés et des livres, nous font bénéficier de promotions sur les croquettes pour nos animaux de compagnie... Evidemment qu'elles nous bichonnent : nous sommes leurs futurs clients », expliquent deux étudiantes en deuxième année à Maisons-Alfort. Une alliance parfaitement assumée jusque dans les hautes sphères du corps universitaire. A la chaire d'alimentation, le Pr Dominique Grandjean est transparent sur ses liens avec Royal Canin. Son confrère Bernard-Marie Paragon entretient aussi des contacts professionnels avec des producteurs. Des vendus aux marchands de croquettes ? « Ne me faites pas dire ce que je n'ai jamais dit. Le top du top reste l'alimentation ménagère, à condition de fournir une nourriture parfaitement équilibrée à l'animal. » Autrement dit, un chien peut bien manger comme ses maîtres et se régaler des restes. « Seulement cette alimentation est complexe à mettre en place, poursuit-il. Elle prend du temps et elle est plus chère, quoique, avec l'arrivée des hard discounters dans la distribution, ce point soit discutable... »

    Un nouveau marché :

    Une position étonnamment plus proche qu'on aurait pu le penser de celle de beaucoup d'opposants aux croquettes. Manifestement, les temps changent. En France, des universitaires n'hésitent pas à recommander le site cuisine-a-crocs.com, qui propose à la vente des rations ménagères élaborées par des vétérinaires nutritionnistes. En Australie, le Dr Billinghurst s'est lancé dans l'industrialisation de rations confectionnées et distribuées dans son pays ainsi qu'à Taïwan : « Pas de conservateurs chimiques. Les aliments sont surgelés. Et chez nous, pas de prion. » Apparemment un nouveau marché est en train de naître. A la grande joie du pionnier du Barf, qui se dit philosophiquement heureux même si la compétition est rude. « Les chiens n'ont pas attendu quinze mille ans pour bien s'alimenter : ils ont toujours partagé la nourriture de l'homme en bons compagnons. Maintenant, quand on voit ce que mange l'homme... », se désole le Dr Lippert. Son souhait ? Que la recherche de qualité pour nos animaux domestiques permette à l'homme de mieux se prendre en charge et de recommencer à se nourrir correctement. ■ E.N



    La malbouffe expliquée à mon chat !!!! 

     


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  •  " Quoi ma langue ????? Mais non je ne vous tire pas la langue ..... pffffffffffffff ....... qui me prend en photo en train de faire ma toilette ? "  

     

    Du haut de son hamac !!!!!! 

     

    Du haut de son hamac !!!!!! 

     

    "On ne peut même plus faire ce que l'on veut sans avoir un paparazzi  !!!!!!!!!!!!!!! "

     

    Du haut de son hamac !!!!!! 

     

     


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  • Vous partez en vacances et vous ne voulez pas laisser votre meilleur ami à quatre pattes à la maison . Voici donc  quelques précieux conseils pour que votre voyage en compagnie de Félix/Milou soit le plus agréable possible.
    Grands admirateurs de Brigitte Bardot et téléspectateurs assidus de 30 millions d'amis, méfiez-vous. Le transport de vos animaux de compagnie n'est pas aussi libre qu'il n'y paraît.

    Première chose et non des moindres, le code de la route stipule que le conducteur doit rester maître de ses gestes et de ses mouvements, afin d'être en permanence en mesure d'agir instantanément sur l'ensemble des commandes de son véhicule.

    Pas question donc de faire comme Satanas et d'installer son Diabolo comme copilote. Vous risqueriez une amende de 22 euros ainsi qu'une immobilisation de votre véhicule de la part de Rex et de ses maître policiers.

    Pire encore, votre cher et tendre ami à poils pourrait manifester son mécontentement face à votre conduite en plantant délicatement ses griffes dans votre crâne... Dans ce cas, difficile de rester maître de son véhicule !

    Vous aimez autant votre animal de compagnie que votre enfant ? Vous allez donc l'attacher à la ceinture de sécurité de la banquette arrière grâce à un collier ou à un harnais conçus spécifiquement pour lui.

    Le must reste quand même la bonne vieille caisse de transport pour les chats et le coffre avec filet ou grille pour les chiens. Pour les cousins de Beethoven le Saint-Bernard, les gros véhicules de type break, monospace ou crossover sont recommandés.

    N'oubliez pas de vous arrêter toutes les deux heures. Ces petites haltes permettront à votre animal de se dégourdir les pattes et de faire ses besoins. Pour ne prendre aucun risque, veillez bien à le sortir en laisse.

    Dernier petit conseil, faites voyager votre meilleur ami poilu avec le ventre vide et prévoyez une bonne gamelle d'eau lors de longs trajets.

    Si vous mettez en pratique ces quelques recommandations, la SPA et les gendarmes devraient vous laisser tranquille.

     

    Et bonnes vacances !!!!!!!  

     

    (Source Turbo.fr) 

     

    Vous partez en vacances avec votre animal de compagnie ? 

     

     

     


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