• Une série de portaits faite dans la semaine :

     La douceur toute relative de Balrog ....... 

     

    Portraits : 

     

    Portraits : 

     

    Portraits : 

     

    Callis l'intrépide ....... 

     

    Portraits : 

     

    Portraits : 

     

    Portraits :

     

    TRES BON WEEK-END A TOUS CEUX QUI PASSERONT PAR LA !!!!!! 

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Pourquoi les chats en raffolent ?

    L’herbe aux chats, ou cataire (Nepeta cataria), est une plante aromatique qui appartient à la famille de la menthe. Elle est appelée "herbe aux chats" en raison de l’effet attractif et hallucinatoire qu’elle exerce sur les chats.

    Comment ça marche ?

    La cataire contient du népétalactone, un principe actif qui agirait au niveau du système nerveux chez les chats. On peut comparer l’effet à celui exercé par les phéromones sexuelles libérées pendant la parade nuptiale. Les chats ne la mangent pas, mais l’inhalent. La népétalactone provoque un effet hallucinatoire. Certains disent que les effets sont semblables à ceux du LSD, ou à la marijuana. Le comportement des chats peut soudain sembler « fou ». Ils peuvent se frotter à la plante, se rouler par terre de la même manière que les femelles qui sont en chaleur, faire des bonds, courir, saliver, adopter des comportements de chasse… Les effets, qui sont variables selon les chats, ne durent en général que quelques minutes.
    Tous les chats ne sont pas sensibles aux effets de la cataire. On estime qu’environ 30% de la population féline est insensible à la cataire, de même que les chatons et les chats âgés. Cette sensibilité semble par ailleurs être héréditaire.
    La cataire ou "menthe aux chats" n’est pas toxique ni nocive pour les chats. Vous pouvez en donner à votre compagnon occasionnellement pour lui faire plaisir. Lui en donner trop souvent peut finir par faire disparaître les effets.

    Utilisée chez l’homme :

    La cataire a été cultivée pendant des siècles par les hommes pour soulager de nombreux maux (maux de tête, problèmes d’insomnie, de digestion, maux de dents et le rhume). Les femmes utilisaient les feuilles pour soulager leurs douleurs menstruelles. En revanche, les femmes enceintes devaient faire preuve de prudence en utilisant la cataire car elle était considérée comme nocive. Broyer les feuilles et les frotter sur le corps, est aussi connu pour repousser les insectes.

    Faire pousser de l’herbe aux chat :

    La cataire est une plante vivace, très facile à cultiver et qui se répand très vite. Vous pouvez en semer au printemps, dans un sol légèrement sablonneux et bien drainé. Elle a simplement besoin de soleil et d’eau.
    La plupart des magasins pour animaux de compagnie vendent des jouets contenant de la cataire séchée. Vous pouvez vous aussi faire sécher votre cataire en l’accrochant la tête en bas, dans un endroit sec. Vous pouvez également la conserver dans une boîte hermétique au réfrigérateur ou au congélateur.

     

     

    Ne pas confondre l’herbe aux chats et l’herbe à chat !!!!

     

    L’herbe à chat est plus connue des propriétaires de chats. Il s'agit en général de graminées comme les graines d'orge, de blé ou de seigle. Elle est vendue dans le commerce pour les chats d’appartement afin qu’ils puissent mâchonner de l’herbe, comme ils le font de temps en temps lorsqu’ils disposent d’un jardin. Cela évite qu’ils s’attaquent aux plantes de la maison. Certaines, comme le philodendron, le rhododendron, le houx ou le crocus d'automne sont toxiques.
    A noter que le papyrus est une autre plante d’appartement particulièrement appréciée des chats.

     

    (Source un amour de chat)

     

     


    votre commentaire
  • Privé de soleil depuis quelques jours j'ai surpris Callis et Balrog en train de lézarder ...... mais à chacun sa technique, à chacun son endroit !!!!!!

     

     Callis a choisi le tapis devant la baie ....... 

     

    Le soleil est de retour !!!!!! 

     

    Le soleil est de retour !!!!!! 

     

    Le soleil est de retour !!!!!! 

     

    Le soleil est de retour !!!!!! 

     

    ..... Trop chaud, il est monté d'un étage de plus entre mi-ombre mi-soleil ......

     

    Le soleil est de retour !!!!!! 

     

    Le soleil est de retour !!!!!! 

     

    Quant à Balrog, son choix s'est porté sur le petit arbre à chats côté salon ......

     

    Le soleil est de retour !!!!!! 

     

    Le soleil est de retour !!!!!! 

     

     


    votre commentaire
  • Mon dernier achat : une plaque à induction, trés pratique entre parenthèse, et Callis n'a rien trouvé de mieux que de venir se chauffer le popotin dessus !!!!!!!!!! L'avantage est que ces plaques refroidissent trés vite .

     

     

    Photos de la semaine ......  

     

    Photos de la semaine ......  

     

    Callis intrigué par une fourmi ........ Non non ne cherchez pas vous ne la trouverez pas .....

     

     

    Photos de la semaine ......  

     

    ....... Qu'il finira par manger puis repartira vers d'autres occupations !!!!!!! 

     

    Photos de la semaine ......  

     

    Je vous souhaite à toutes et à tous un excellent week-end !!!!!

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • L'Hibiscus se mèle aux fleurs de la clématite ce qui donne de trés belles couleurs fondues .

     

     

    Ton sur ton !!!!! 

     

    Ton sur ton !!!!! 

     

    Ton sur ton !!!!! 

     

     

     


    votre commentaire
  • La vaccination des animaux par le professeur Charles Danten :
     
      La vaccination, "cet acte médical privilégié, raisonné et toujours délicat", inventée par Jenner en 1796 et mise au point par Pasteur (1885), Salke (1954) et de nombreux autres, sert à induire la protection d'un individu ou d'une population contre une ou plusieurs maladies.
    Son principe est bien connu; il consiste à administrer à un être vivant la forme atténuée d'un microbe ou d'une toxine dans le but de provoquer la formation d'anticorps et d'une mémoire immunologique qui lui permettra de réagir et de résister à une maladie.L'utilisation, même judicieuse, des vaccins comporte toujours certains risques, mais en général on pense qu'ils sont largement compensés par les avantages. Il semblerait toutefois qu'en médecine vétérinaire la vaccination soit devenue depuis quelques décennies un acte risqué, dans certains cas dangereux et souvent sans aucune justification médicale. Ainsi, plusieurs sont d'avis que certains vaccins sur le marché sont inefficaces et que les animaux sont souvent vaccinés inutilement .

    • La vaccination annuelle :

      Depuis environ vingt-cinq ans, les fabricants pharmaceutiques recommandent, sans justification scientifique, la vaccination annuelle des carnivores domestiques (chat, chien, furet). Or les principes de l'immunologie garantissent qu'une proportion statistiquement significative d'individus seront protégés pour une longue période, voire à vie, par une vaccination bien menée. C'est particulièrement vrai pour les vaccins contre les maladies virales aiguës comme la maladie de Caré (distemper) du chien et du furet, l'hépatite et la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat. Déjà en 1978, une étude chez le chat avait démontré qu'il était suffisant de vacciner tous les trois ans et récemment les Dr Fred W. Scott et le Dr Cordell M. Geissinger, deux vétérinaires, chercheurs Américains de l'Université de Cornell, ont démontré de façon convaincante que des chats correctement vaccinés étaient encore protégés… plusieurs années plus tard
      .
    Les Drs Schultz et Phillips, deux spécialistes américains, écrivaient en 1996 ce qui suit dans ce qui est considéré comme la bible en médecine thérapeutique vétérinaire (Kirk's Current Veterinary Therapy):
    "Une pratique commencée il y a de nombreuses années et qui manque de validité et de vérification scientifique est la vaccination annuelle. Presque sans exception, il n'est nullement besoin, du point de vue immunologique, de vacciner annuellement. L'immunité par rapport aux virus persiste pendant des années, voire durant toute la vie de l'animal. Une vaccination réussie produit une mémoire immunologique qui dure des années et qui permet à un animal de réagir adéquatement lorsqu'il est exposé à un organisme virulent. La pratique de la vaccination annuelle, à moins d'être utilisée comme un moyen pour faire faire un examen annuel ou d'être requise par la loi, comme c'est le cas dans certaines régions pour la vaccination contre la rage, devrait être considérée, à notre avis, comme peu efficace.
    Le Dr Niels C. Pedersen, du département de médecine et d'épidémiologie de l'École de médecine vétérinaire de l'Université de Californie, a corroboré cette opinion au cours d'une conférence organisée en mars 1997 par l'une des associations vétérinaires les plus importantes au monde, l'American Animal Hospital Association (AAHA):
      "De nombreux vétérinaires et un nombre encore plus grand de clients en sont venus à remettre en question le fondement médical de la vaccination annuelle, de routine, de leurs animaux, et avec raison ! Cette pratique n'est pas défendable, alors pourquoi continuer à débattre et à ignorer la question?Nous ne nous faisons pas inoculer cinq ou six vaccins différents chaque année de notre vie, alors pourquoi en serait-il autrement pour nos animaux? On inocule plusieurs vaccins aux humains pendant l'enfance et ils assurent une protection à vie pour une proportion significative des sujets vaccinés. Il y a vingt ans, les vaccins étaient injectés seulement aux chiots et aux chatons. La seule exception était la rage, contre laquelle on préconisait un rappel à deux ou à trois ans, plus pour des raisons d'hygiène publique que pour protéger la santé de l'animal. Pourquoi, alors, persistons-nous à donner des injections de rappel annuellement, alors que cette pratique n'est pas justifiée d'un point de vue médical ? Les justifications originales de cette pratique s'appuyaient sans doute sur des rapports anecdotiques de la déclaration d'une maladie chez des animaux âgés et vaccinés et sur la nécessité de faire revenir un animal chaque année pour un examen physique complet. Malheureusement, la première de ces justifications n'est pas fondée et la deuxième était probablement donnée pour mieux faire avaler la nécessité d'une inoculation annuelle. Les vaccins de rappel sont perçus par beaucoup de gens comme un moyen pour le vétérinaire de faire de l'argent."

    • Les vaccins à la recherche d'une maladie :

      Alors que le nombre de vaccins pour les humains est relativement restreint, les vaccins pour les animaux sont nombreux et leur nombre augmente presque chaque année. Depuis 1975, le nombre de vaccins sur le marché a plus que doublé et cette prolifération répond plus aux impératifs du commerce qu'à la nécessité d'enrayer une épidémie ou certaines maladies infectieuses endémiques (maladie permanente dans une région) graves8. Selon le Dr Pedersen, les normes de licence nécessaires pour mettre un produit sur le marché sont beaucoup moins rigoureuses que pour les humains et le laxisme encourage cette prolifération.
    Présentement, 28 nouveaux vaccins cherchent à se tailler une place sur le marché. Ces vaccins sont tellement inutiles qu'on les appellent "les vaccins à la recherche d'une maladie ».
     
    Les fabricants s'adressent directement aux sentiments du public et même du vétérinaire pour promouvoir leurs produits. Les campagnes de promotion de certains fabricants mettent en avant de fausses allégations pour créer une demande et stimuler la vente. Par exemple, la gravité de la maladie de Lyme chez les humains a été faussement étendue aux chiens qui n'en présentent pourtant qu'une forme bénigne. La publicité a même laissé entendre qu'en vaccinant son chien, on protège ses enfants contre cette maladie ??? Cette campagne de peur a fait vendre des millions de doses de ce vaccin, même dans des régions où cette maladie n'a jamais été rapportée. Des millions de chiens se voient aussi inoculer un vaccin inefficace contre la maladie due au virus corona, une maladie gastro-intestinale relativement rare et limitée aux élevages surpeuplés et malpropres. Il en va de même pour d'autres maladies, notamment la péritonite infectieuse, la chlamydiose et la leucémie du chat..

    • L'efficacité et la sécurité des vaccins :

      Bien que seulement 10 % des chats de plus de quatre mois soient susceptibles de souffrir de la leucémie du chat, une maladie qui apparaît dans des conditions bien précises, on continue de leur inoculer un vaccin contre cette affection, dont l'utilité et l'efficacité restent douteuses. En fait, le taux de réactions adverses serait aussi élevé que l'incidence de cette maladie. Seulement sept des 22 écoles vétérinaires aux États-Unis utilisent ce vaccin, et seulement sur demande dans des situations bien précises.

    • Les protocoles de vaccination :  

     

       Le Dr Schultz, un chercheur indépendant américain, spécialisé dans les maladies infectieuses des animaux, a trouvé que sur six vaccins contre la parvovirose du chien, une maladie gastro-intestinale des chiots très grave et souvent fatale, seulement deux étaient efficaces. Une autre étude, hollandaise celle-là, a démontré que sur six vaccins contre la rage, deux étaient totalement inefficaces et deux autres n'étaient que marginalement efficaces. Selon d'autres études indépendantes, certains vaccins contre la leucémie du chat seraient comparables à de l'eau distillée et les meilleurs auraient au plus une efficacité de 25 % à 50 % et non de 90 % à 100 % comme l'affirment les fabricants19. Plusieurs autres vaccins sur le marché ne sont pas efficaces pour des raisons qui ont été bien démontrées (péritonite infectieuse du chat, coronavirus du chien, leptospirose du chien, chlamydia du chat20). La grande majorité des études sur l'efficacité sont réalisées par les fabricants et elles sont souvent difficiles à interpréter et à comparer, car il n'y a aucune standardisation des protocoles expérimentaux.
    Sur le plan de la sécurité, certains produits sont peu sécuritaires et le nombre de vaccins à usage vétérinaire qui restent sur le marché malgré le fait qu'ils entraînent des conséquences graves est assez élevé. Par exemple, un vaccin contre la maladie du virus corona, une maladie gastro-intestinale du chien, a tué des centaines de chiens, avant d'être retiré du marché et, depuis six ans, des vaccins responsables du cancer de la peau chez le chat tuent des centaines de milliers de ces animaux.

     

      Contrairement à la médecine des humains, la médecine des animaux n'a pas de protocoles d'immunisation standardisés.
    L'emploi des vaccins, leur type, le nombre de vaccins à inoculer et la dose sont établis par les fabricants . Les stratégies de mise en marché employées par le vétérinaire, la compétition, et pas nécessairement les principes d'immunologie, déterminent la fréquence de vaccination, les intervalles entre les vaccins et parfois même les doses à injecter.
    Les animaux peuvent être vaccinés inutilement, sans qu'on tienne compte des risques possibles d'exposition. Même ceux qui ne vont jamais dehors et qui n'ont aucun contact avec d'autres animaux sont vaccinés tous les ans systématiquement. Un chat qui vit seul dans un appartement au 12e étage d'un immeuble au centre-ville peut recevoir en même temps, à chaque année de sa vie, un vaccin contre la rage, la péritonite infectieuse, la leucémie, la panleucopénie, les virus respiratoires herpès et calicivirus, la chlamydiose. Les chiens qui ne vont que d'un coin de rue à l'autre ou des bras de leur maîtresse au divan peuvent recevoir chaque année pour le reste de leur vie un vaccin contre la maladie de Lyme, la rage, la maladie de Caré, l'hépatite virale, le parvovirus, le parinfluenza, le corona virus, la leptospirose et un vaccin intranasal contre la grippe du chien. Il sera bientôt possible de vacciner également contre le rotavirus qui cause une maladie rare et peu étudiée.
    Il arrive souvent qu'on vaccine un animal la veille ou le jour d'une chirurgie de routine, alors que son système immunitaire, qui sera déjà affaibli par le stress de l'opération, n'est pas en mesure, au moins pour les deux semaines suivantes, de réagir avec efficacité.
    Aux États-Unis 20 % du marché de la vaccination repose sur la vente au public. Les éleveurs et les propriétaires achètent par catalogue les vaccins qu'ils veulent donner à leurs animaux. Il est même possible de commander des seringues et des aiguilles pour les injecter, ainsi que des médicaments comme l'épinéphrine pour traiter une éventuelle réaction allergique au vaccin. Les protocoles de vaccination recommandés par les fabricants préconisent, à l'encontre de tous les principes de l'immunologie, de vacciner les jeunes animaux dans certains cas toutes les semaines pendant six ou sept semaines, alors qu'une ou deux fois à deux semaines d'intervalle, selon l'âge et le type de vaccin, est suffisant.
    Les animaux qui ne vont jamais dans les régions où une maladie est présente sont vaccinés quand même. Il s'est vendu aux États-Unis et au Canada des millions de doses d'un vaccin contre la maladie de Lyme qui n'a été signalée que dans deux États du nord-est des États-Unis32.

    • Les réactions adverses :

    Le cancer de la peau
    C'est un peu grâce au chat et à la nature particulière de sa physiologie que la vaccination des animaux de compagnie est devenue depuis quelque temps un sujet si controversé. En effet, cet animal est très sensible aux médicaments qui provoquent souvent chez lui des réactions indésirables. Depuis quelques décennies, les vaccins en ont tué des milliers
     .

    Certains vaccins contiennent des substances irritantes (adjuvants) qui servent à déclencher sur le site d'inoculation une réaction inflammatoire qui favorise la réponse immunitaire.
    Chez le chat, cette réaction, pour des raisons inconnues, se transforme en tumeur cancéreuse. Le nombre de ces tumeurs augmente avec le nombre de vaccins administrés simultanément et avec le nombre de répétitions. L'inoculation toujours au même endroit augmenterait les risques. Les vaccins contre la rage et la leucémie seraient plus particulièrement en cause, mais ce ne sont pas les seuls. L'incidence de ces cancers serait de 100 à 1000 cas par million
      .

    À une conférence sur la vaccination tenue à Montréal en mars 1998, le Dr Ford, un spécialiste américain de la vaccination, a même cité le chiffre de 2.000 cas sur un million .
    Même si ces réactions semblent peu nombreuses, leur nombre, mis en perspective, est significatif. Selon les calculs des Drs Denis W. Macy et Mattie J. Hendrick, on vaccine aux États-Unis 22 millions de chats par année (environ 25 millions pour l'Amérique du Nord. Il y aurait donc en Amérique du Nord de 2 500 à 50 000 cas par année. Comment réagiraient les autorités et le public en apprenant qu'en Amérique du Nord, depuis dix ans, entre 25 000 à un demi-million d'enfants sont morts d'un cancer directement relié à l'administration d'un vaccin et que diraient les parents s'ils savaient que ces vaccins sont souvent inutiles, voire inefficaces, qu'ils ne servent qu'a faire marcher les affaires et que la plupart d'entre eux sont encore couramment utilisés.

    Les cocktails de vaccins :
     


      Les vaccins à valence multiple (cocktail) qui sont d'usage courant en médecine vétérinaire et qui peuvent contenir un mélange de cinq à sept et même neuf vaccins différents sont très pratiques du point de vue commercial et ils réduisent le traumatisme associé à l'inoculation. Mais, du point de vue médical, ces vaccins ne sont pas sans inconvénients et ils soulèvent pour plusieurs raisons une vive controverse dans le milieu vétérinaire.

    D'une part, ils ne permettent pas de vacciner avec discernement selon le cas particulier de l'animal et ils ne nécessitent aucune connaissance approfondie des maladies en question. L'animal est vacciné systématiquement même contre des maladies qu'il est peu probable qu'il contracte. D'autre part, ces vaccins seraient à l'origine d'un nombre indéterminé d'échecs vaccinatoires et de réactions post-vaccinales indésirables.
    Dans des conditions naturelles, seuls un ou deux microbes à la fois peuvent menacer un individu, jamais cinq, six ou neuf à la fois. Bombardé par des doses excessives de corps étrangers différents et de façon répétée, submergé par cette invasion massive, le système immunitaire s'embrouille et se trouve incapable de réagir efficacement; la vaccination risque donc d'échouer.
    Par ailleurs, le système immunitaire peut s'affoler et fabriquer par erreur des anticorps qui attaquent et détruisent des éléments vitaux de son propre corps, comme les globules rouges et les plaquettes (éléments du sang intervenant dans la coagulation. Selon le Dr Jean Dodds, une vétérinaire américaine, ces réactions ont lieu peu de temps après la vaccination, en général dans les mois qui suivent, et se traduisent par des hémorragies internes très graves difficiles à arrêter et bien souvent fatales (maladies hémolytiques auto-immunes, thrombocytopénie, etc.).



    La fréquence de ces réactions est inconnue, mais les chiens de race pure ayant un système immunitaire défectueux (rottweiler, doberman, épagneul, etc.) seraient particulièrement prédisposés.
    Enfin, la grande pluralité de ces vaccins et la concentration élevée d'antigènes3 qu'ils contiennent seraient aussi en cause dans l'apparition des cancers de peau chez le chat .

    Autres réactions diverses : 

     

      Dans le domaine de la vaccination des animaux, il existe une multitude de zones grises qui laissent toute latitude aux spécialistes de la mise en marché.
    1. En ce qui concerne les animaux de compagnie, même si plusieurs maladies dont la rage, la maladie de Caré (distemper), la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat, semblent bien contrôlées, il n'y a pas, comme en médecine, d'études rétrospectives autres que des rapports anecdotiques qui permettraient d'évaluer les bienfaits réels des campagnes de vaccination.
    2. Sauf pour la rage, il n'existe aucune donnée sur la prévalence et la répartition géographique des maladies infectieuses des chiens et des chats. Il n'y a aucun système de déclaration comme en médecine, et cette lacune se traduit par la vaccination systématique des animaux contre des maladies qu'ils sont souvent peu susceptibles d'attraper.
    3. Sauf pour la rage, il n'y pas d'études sur la durée d'immunité des vaccins. Les fabricants ne désirent pas poursuivre des épreuves de durée d'action au-delà d'une année, sauf si la loi les y oblige, comme pour la rage. Ces études s'arrêtent à trois ans dans le cas de la rage, mais il n'y a aucune raison de croire que ce vaccin n'est pas efficace pour une plus longue durée.
    4. Il n'y a aucune surveillance des réactions adverses à la vaccination. Les vétérinaires ne sont pas tenus de les signaler et en général ils ne le font pas
     .
    5. En absence de protocoles d'expérimentation standardisés, il est difficile de comparer les études.
    6. Il n'y a aucune standardisation des protocoles de vaccination comme en médecine. Chacun peut vacciner selon ses convictions personnelles ou sa stratégie commerciale.

     

     


    De nombreuses autres réactions diverses ont été observées tant chez le chien que chez le chat. En voici une liste succincte:
    • réactions d'hypersensibilité (allergie au vaccin, états anaphylactiques);
    • suppression du système immunitaire et déclenchement d'une maladie latente, comme la leucémie, la péritonite infectieuse, l'immunodéficience féline;
    • interférence avec les résultats de certains tests diagnostiques (ELISA) entraînant de faux résultats positifs;
    • susceptibilité accrue aux allergies, soit au pollen, à la nourriture ou meme à son propre corps (maladie auto-immune de la thyroïde, du rein, des globules rouges, des plaquettes, etc.);
    • aggravation de certaines affections existantes, comme le cancer, l'épilepsie, les allergies.

    À ces réactions s'ajoute la possibilité que se développe une forme atténuée de la maladie (virulence résiduelle) ou que, en raison d'une contamination bactérienne ou virale du vaccin, diverses maladies infectieuses se manifestent (variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, par exemple).
    En outre, certaines maladies chroniques, aussi bien chez les animaux que chez les humains, seraient en partie reliées à la persistance, dans les cellules, du corps des virus et des protéines utilisés dans les vaccins. Ce phénomène expliquerait l'augmentation récente du nombre de maladies chroniques chez les humains et chez les animaux
     

     
     

    La vaccination des animaux : 

     

     

    votre commentaire
  • J'ai trouvé cette liste de plantes avec le détails sur leur toxicité (digestive, sanguine, atropinique etc...) :

    Citation:

    Les plantes, un problème pour le chat ?

    Pourtant réputés délicats en ce qui concerne leur alimentation, nos chats ont souvent une fâcheuse tendance à mâchouiller la verdure destinée à la décoration de la maison. De nombreuses plantes d'appartement ou de jardin peuvent ainsi causer une intoxication chez le chat.

    La plupart du temps, les symptômes sont frustes et l'intoxication reste bénigne. En effet :

    * le chat ingère de petites quantités, ne trouve pas le goût à sa convenance (amer ou irritant) et s’arrête spontanément
    * la plupart des plantes induisent des troubles digestifs de sorte que le chat en vomit la plus grande partie, ce qui favorise l'expulsion des toxiques.

    La toxicité des plantes est variable selon la variété de la plante, sa maturité, selon la partie que l’animal ingère, selon que la plante ait été mâchée ou non. Néanmoins, certaines plantes sont réellement très toxiques et peuvent entraîner de graves troubles, surtout chez les chatons en raison de leur petite taille et de l’immaturité de leur organisme.

    A côté des plantes décoratives, certains végétaux utilisés comme aliments (oignon, cacao,…) ou destinés à d’autres usages (tabac, cannabis,...) sont également déconseillés pour la santé !
    Quelques exemples parmi les plantes les plus toxiques ou les plus courantes dans nos appartements.


    Aracées


    Les ficacées (ficus)

    [Ficus]

    Ces caoutchoucs contiennent eux aussi des substances corrosives dans leur latex. Ils provoquent le même type de symptômes que les « philodendrons » (salivation, vomissements, diarrhée). L’évolution est généralement favorable sans séquelle. Malgré tout, des cas de gastro-entérites mortelles se produisent parfois dans l'espèce féline.


    Les amaryllidacées

    [Amaryllis, Narcisse, etc]
    Espèces en cause :

    Narcisse et jonquille, Amaryllis, Clivia, Crinum, Hippeastrum.

    L'intoxication se produit par ingestion des bulbes ou des feuilles. Elle se traduit essentiellement par l'association classique "salivation, vomissements, diarrhée". Rarement, des symptômes nerveux (sédation, convulsions) et cardiovasculaires (hypotension, ralentissement cardiaque) peuvent apparaître.

     

     

     


    Les euphorbiacées

    [Euphorbe]

    Espèces en cause :

    Euphorbia pulcherrima = poinsettia (étoile de Noël), Euphorbia milli = E. splendens (épine du christ), Cociacum variegatum = croton, Pedilanthus

    Le latex, caustique, entraîne lors de mâchouillement ou d'ingestion une inflammation buccale, de la diarrhée, des vomissements. On voit souvent des tremblements musculaires. Lors de contact avec l'oeil, le latex provoque des lésions de la cornée. L'évolution est généralement favorable en une semaine.


     

     

     

     

    Espèces en cause :

    Iris
    Même toxicité que les Amaryllis.
    Espèces en cause :

    Allamanda cathartica, Diplodenia

    Laurier rose (Nerium oleandu)

    Le premier groupe de plantes est toxique par son latex irritant. Les troubles sont essentiellement digestifs, avec diarrhée sévère, parfois mortelle.

    Le laurier rose quant à lui est toxique par son bois, ses feuilles, ses fleurs… La dose toxique est de l'ordre de 3 grammes de feuille par kilo. Toute la plante contient à la fois des substances irritantes et des produits cardiotoxiques. Les premiers symptômes sont liés à l'effet irritant (diarrhée, vomissements). Puis, lorsque l'intoxication évolue, les troubles cardiaques apparaissent. Enfin, des troubles nerveux peuvent se produire.


    Les légumineuses ou « haricots »

    Espèces en cause :

    Abrus = Jequirity (Fève coccinelle) (Les fruits sont des graines ovoïdes de 4 à 10 mm de long, luisantes, noir et rouge, utilisées pour fabriquer des colliers.)

    Mimosa du japon (Poinciana), Robinia pseudoacacia, glycine, cytise, …

    Ce sont principalement (mais pas exclusivement) les fruits, les graines, qui sont toxiques : gastro-entérite hémorragique, et, dans les cas graves, symptômes nerveux et mort.


    Les primulacées

    [Cyclamen]
    Espèces en cause :

    Le cyclamen

    La sève est irritante mais la partie la plus toxique de la plante est le rhizome. L’ingestion de ces racines entraîne une destruction des globules rouges, une gastro-entérite, des convulsions et peut aboutir éventuellement à la mort de l’animal.

    [Primevere]
    Espèces en cause :

    Primevères
    Les apocynacées

     

    Les éricacées

    [Azalées]
    Espèces en cause :

    Azalées, Rhododendron

    La plante est belle mais toutes ses parties sont toxiques !

    A faible dose, l’animal en est quitte pour quelques irritations buccales et autres troubles digestifs. A forte dose, les toxines ont un effet "curarisant" (tremblements musculaires, paralysie, incoordination, prostration) et une toxicité cardiaque (ralentissement du coeur, troubles du rythme). Dans un deuxième temps, des complications peuvent apparaître au niveau du foie. Attention donc, surtout avec les chatons.


    Les solanées
    Solanées à effet atropinique


    Solanées possédant d'autres effets toxiques

    [Pommier d'amour]
    Espèces en cause :

    Solanum pseudocapsicum (Pommier d'amour), S jasminoide (Faux jasmin), S. capsicastrum, S. sodomeum

    Ce sont plus particulièrement les fruits qui sont toxiques. Ils déclenchent une hypersalivation, une gastro-entérite, et, dans de rares cas particulièrement graves, des signes neuromusculaires (somnolence, incoordination, parfois convulsions). L'évolution est généralement favorable en quelques jours.


    Bilan ?

    "Nous sommes cernés par les plantes toxiques…". Il faut cependant relativiser et convenir que les accidents graves semblent rares. Le hit parade des intoxications chez le chat serait le suivant : dieffenbachia, ficus, chlorophyton, yucca, muguet, lys.

    Il faut se méfier particulièrement :

    * des caoutchoucs (dieffenbachia et ficus) en raison des complications rénales.
    * des azalées et rhododendron, responsables de lésions du foie.

    Et penser que des plantes largement utilisées par l'homme sont toxiques pour les animaux:

    * oignons et autres échalotes, persil, cacao

    (Source:association féline des amis des siamois)

     
    PLANTES TOXIQUES POUR LES CHATS


    Devant la liste impressionnante de plantes toxiques pour les animaux, on pourrait croire qu’il est préférable, par mesure de précaution, de vivre dans du béton. Mais non. Ne soyons pas pessimistes. En connaissant bien les plantes de leur « milieu environnant », leur toxicité, en connaissant bien son animal, on peut vivre avec les espèces les moins toxiques.

    De nombreuses plantes sont dangereuses après ingestion de grandes quantités, ce qui fait que le chat par exemple est rarement intoxiqué. De plus, de nombreuses plantes sont amères, irritantes, piquantes, ont mauvais goût et le mâchouillement prend vite fin. De nombreuses plantes induisent des risques digestifs ce qui fait l’animal vomit rapidement. Le chat évite en général les plantes mauvaises pour lui. En général ! car de nombreux chats, surtout en appartement, ne trouvent rien de mieux à faire pour occuper leurs journées que de mâchouiller ou lécher les plantes d’appartement. Il faudra également surveiller de très près les jeunes animaux (chatons et adolescents).

    De plus, le chat n’aime guère la nourriture variée et n’ira pas systématiquement , comme le chien pourrait le faire, manger dans la nature sur un tas de plantes en décomposition ou des déchets de jardin ou s’il le fait, ce sera en toute petite quantité. En revanche, s’il est couché ou se roule dans des plantes toxiques de contact, ou photo-sensibilisantes, il s’intoxique facilement en faisant sa toilette.



    PREVENTION :

    PLANTES D’APPARTEMENT:

    Il est préférable de connaître le nom des plantes que l’on a chez soi.
    Les mettre or de portée du chat.
    Eviter de posséder des plantes très toxiques.
    Ne jamais laisser un animal mâchouiller les plantes même si elles ne figurent pas dans la liste car toutes les plantes sont potentiellement toxiques.
    Ne jamais laisser un animal se mettre en contact d’une plante photo sensibilisante de contact.
    Surveillez particulièrement les jeunes animaux.
    Lavez vous les mains après avoir toucher une plante.
    Soyez extrêmement vigilants avec les plantes à résine lorsque celles-ci perdent leurs feuilles ou si vous les taillez.
    Soyez vigilants également avec les fleurs coupés, et les plantes fleuris en pot qui sont généralement des plantes fleuris de jardin et que vous trouverez dans le tableau plantes de jardin et plante sauvages comme le muguet, le lys, de petits conifères etc….
    Les bonsaïs présentent la même toxicité que les arbres et plantes dans la nature.
    Les photos représentent quelques variétés de l’espèce mais il en existe certainement d’autres avec des formes légèrement différentes.
    des feuillages plus ou moins panachés et des fleurs de divers coloris. Je vous conseille d’utiliser les recherches images de vos moteurs de recherche en utilisant le nom commun ET le nom latin de la plante recherchée.


    PLANTES DE JARDIN :


    Quand vous désherbez ou touchez les feuillages des plantes (toxiques ou non) : mettez des gants et isolez bien les déchets afin que vos animaux ne soient pas en contact avec eux, lavez vous bien les mains avant de toucher les animaux
    Conservez les graines, les fruits et les oignons éloignés des animaux
    Éloignez les animaux lors du brûlage des herbes du jardin
    Ne taillez pas les plantes en présence d’animaux. Ils risqueraient de recevoir des projections de sève ou résine .
    Ne laissez pas vos animaux dormir sous les haies ou sous un arbre fraîchement taillés (risque de brûlure avec la sève, les résines)


    PLANTES SAUVAGES :


    Il est conseillé de connaître les plantes sauvages des lieux de promenade habituelles . Il existe de nombreux ouvrages d’identification par région en librairie, ou des sites d’identification sur Internet.
    Ne pas laisser errer même autour de chez vous votre chat ou encore moins votre chaton sans surveillance. Ils pourraient mâchonner des plantes dont vous ne pourriez connaître le nom !
    Si au retour d’une promenade, vous observez des troubles chez votre animal, consultez rapidement un vétérinaire.


    DANS TOUS LES CAS :


    Ne préparez pas vous-même de potions, d’onguents ou autres cataplasmes naturels avec des plantes. En forte concentration, ou après diverses préparations ou triturations, une plante non toxique ou peu toxique peut devenir dangereuse.
    Ne faites pas de fumigation à vos animaux si elles ne vous sont pas conseillées par un vétérinaire et n’utilisez que des produits (plantes ou extraits) conseillées et dosées selon avis médical.

    Avoir toujours dans le carnet de santé de l’animal, les numéros de téléphone des Centres Anti-poisons :

    Pour la France

    - CNITV Alfort : 01 48 93 13 00 (de 9 à 17 heures)
    - CNITV Lyon : 04 78 87 10 40 (ouvert 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24)
    - CNITV Toulouse : 05 61 19 39 40 (de 9 heures à 17 heures)
    - CNITV Nantes : 02 40 68 77 40 (de 8 heures 30 à 18 heures 30)

    COMMENT RÉAGIR EN CAS DE DOUTES D’INTOXICATION OU D’INTOXICATION AVÉRÉE ?


    Aller chez le vétérinaire avec la plante, le nom de la plante si possible le nom latin et éventuellement la photo ainsi que le nom du principe actif mentionné sur la liste
    Ne donnez ni à boire, ni à manger sans avoir pris l'avis de votre vétérinaire.
    Ne faites pas vomir
    Ne donner pas de lait
    N’essayez pas de traiter vous-même votre animal sans consulter un vétérinaire.
    Ne pas donner à votre animal de médicaments que votre vétérinaire aurait prescrit précédemment sans avis médical vétérinaire
    Ne pas lui donner de médicaments humains sans ordonnance ou sans avis médical vétérinaire: certains médicaments totalement inoffensifs pour l'homme peuvent être très dangereux pour l'animal.
    Ne pas solliciter l’animal: il est préférable de le laisser au repos et l'observer
    Ne pas mettre de garrot sur un membre
    Ne pas aspirer le venin en cas de morsure de vipère


    INTOXICATIONS LES PLUS FRÉQUENTES :

    Aloès - Arum - Asparagus - Colchique - Cotoneaster - Croton - Datura - Dieffenbachia - Euphorbe - Ficus - Jacinthe - Laurier cerise - Laurier rose - Morelle noire - Muguet -Oignon - -Poinsettia - Pomme de terre - Pommier d'amour - Pyracantha - Ricin - Sanseveria - Syngonium - Tabac - Tulipe -Yucca

    14% des intoxications sont des intoxications par les plantes contre 34% par les produits chimiques pour l’agriculture et le jardin et 23% par des médicaments.

    ATTENTION A LA CUISINE :


    Certaines plantes alimentaires sont toxiques même une fois à la cuisine :

    Ail -Agrumes - Avocat - Oignon - Échalote - Cacao sous forme de chocolat - Fèves - Haricots crus - Noyau des amandes - Noyau d'abricot - Pépins de pommes - Persil en grande quantité - Piment - Pommes de terre - Poireaux - Rhubarbe - Safran - Tomates vertes

     

     

    Espèces en cause :

    Muguet, Sceau de Salomon

    L'intoxication se fait par ingestion des feuilles et des fleurs (en mai) ou des baies (en automne). D'après le centre antipoison vétérinaire, l'espèce féline est celle pour laquelle les intoxications au muguet sont les plus fréquentes.

    La plante contient des substances cardiotoxiques. Lors d'ingestion massive, des troubles cardiaques apparaissent.

     

     

     

     

    Tabac :

    Un chat qui décide de chiquer un paquet de cigarettes risque une intoxication à la nicotine.

    L'ingestion de petites quantités se traduit par de la constipation, des vomissements, des tremblements, de l'incoordination motrice, une accélération de la fréquence cardiaque et respiratoire, une forte envie d’uriner ... La guérison demande plusieurs jours. L'ingestion de fortes doses, rare chez le chat normal, peut se compliquer de troubles du rythme cardiaque, de convulsions, et entraîner la mort par paralysie respiratoire.

    Dans un autre ordre d'idée, le tabagisme passif (exposition répétée à de petites doses de nicotine) chez la chatte gestante est susceptible de provoquer des malformations congénitales. Par ailleurs, on a récemment montré que la fréquence de lymphosarcomes chez les chats de fumeurs, surtout les chats d’appartement (donc des animaux constamment exposés à la fumée) est supérieure à la "normale"

    Ail, oignon, échalote etc .......

    Les symptômes peuvent apparaître à partir d'une consommation de 5 à 10 grammes d’oignon frais par kilo de poids, mettons 30g pour un chat. Cela peut arriver si le chat décide de descendre toute la sauce aux oignons de votre rôti...

    Les toxines agissent sur les globules rouges qu'elles font éclater. Il en résulte une anémie puis une jaunisse. Les symptômes se déclarent généralement 1 à 3 jours après l'ingestion. La récupération est longue, 1 à 2 semaines. Si la dose absorbée est importante, l'évolution est potentiellement mortelle.

    Même phénomène avec de grosses doses d’ail, d’échalote...
    Les liliacées
    Liliacées à toxicité digestive


    [Tulipe, Sanseveria]


    Espèces en cause :

    Tulipe, Chlorophytum (Phalangium), Jacinthe, Sanseveria, Yucca

    Les toxines sont présentes dans les bulbes et à un moindre degré dans les feuilles. L’intoxication se produit essentiellement par ingestion de bulbes, ce qui n’en fait pas une cause majeure d’intoxication chez le chat.

    A faible dose ces plantes entraînent des irritations locales : bouche (hypersalivation), appareil digestif (vomissements diarrhée), peau (dermites...) etc. Les symptômes apparaissent rapidement après ingestion. L'évolution est en général favorable en 1 ou 2 jours.. Par contre, si le chat est assez vicieux pour en avaler de grandes quantités, il risque de petits problèmes avec parfois des symptômes nerveux.

    Concernant le Yucca, l'écorce, les racines et les feuilles sont toxiques.*Alocasia (ou Colocasia)


    Ficacées


    * Ficus sp

    Amaryllidacées


    * Narcisse et jonquille
    * Amaryllis
    * Clivia
    * Crinum
    * Hippeastrum

    Iridacées


    * Iris

    Liliacées à toxicité digestive

    * Tulipe
    * Chlorophytum (Phalangium)
    * Jacinthe
    * Sanseveria
    * Yucca

    à toxicité cardiaque

    * Muguet
    * Sceau de Salomon

    à toxicité sanguine

    * Ail
    * Oignon
    * Échalote
    * etc.

    Légumineuses


    * Abrus = Jequirity (Féve coccinelle)
    * Mimosa du japon (Poinciana)
    * Robinia pseudoacacia
    * Glycine
    * Cytise
    * etc.

    Primulacées


    * Cyclamen
    * Primevères

    Apocynacées


    * Allamanda cathartica
    * Diplodenia
    * Laurier rose (Nerium oleandu)

    Euphorbiacées


    * Euphorbia pulcherrima = poinsettia (étoile de Noël)
    * Euphorbia milli = E. splendens (épine du christ)
    * Cociacum variegatum = croton
    * Pedilanthus

    Éricacées


    * Azalées
    * Rhododendron

    Solanées à effet atropinique


    * Datura
    * Belladone

    à effet nicotinique

    * Tabac

    possédant d'autres effets toxiques


    * Solanum pseudocapsicum (Pommier d'amour)
    * S jasminoide (Faux jasmin)
    * S. capsicastrum
    * S. sodomeum


    Les Aracées

    [Philodendrons]
    Espèces en cause :

    Dieffenbachia sp., Alocasia (ou Colocasia), Anthurium sp., Arisaema, Caladium, Monstera deliciosa (Philodendron pertusum), Philodendron sp., Xanthosoma sp, Zantedeschia (Arum des fleuristes)…

    La toxicité est maximale pour le Dieffenbachia et le Philodendron.

    Les toxiques sont présents dans la sève (latex) qui sort par les blessures de la plante ou exsude des feuilles.

    L’animal s’intoxique principalement en mordant les tiges ou les feuilles mais également, notamment pour le chat, en léchant son pelage souillé par le latex.

    Le latex est très irritant pour les tissus avec lesquels il entre en contact : la bouche (hypersalivation, sensation de brûlure...), le pharynx (gêne respiratoire), l’estomac (vomissements...), la cornée (kératite, ulcère cornéen lors de projection de sève dans l’oeil), la peau, etc. L'évolution se fait sur quelques jours.

    Le chat est particulièrement sensible à ces plantes. Il peut parfois présenter en plus des signes "classiques" des complications rénales. Les signes de néphrite (crise d’urémie) apparaissent 1 à 2 semaines après les premiers signes cliniques. Du fait de lésions rénales, le taux de mortalité n’est pas négligeable.

    votre commentaire
  • A partir du mois de juin, avec le réchauffement actuel de la planète, l'été devient de plus en plus caniculaire et il est difficile de supporter des températures aussi extrêmes pour nos petits compagnons.


     

    1. Quelques renseignements sur le chat et la chaleur :

        Il faut savoir avant tout que les chats ne transpirent pas comme nous. Leur manière à eux de réguler leur température est l'halètement. Quand un chat a vraiment chaud, il halète afin de maintenir sa température corporelle à un niveau raisonnable.
    Mais cela arrive relativement rarement car les chats sont des animaux qui supportent assez bien les fortes chaleurs. Lors de fortes chaleurs, les chats sont assez inactifs, ils dorment beaucoup mais ils ne semblent pas trop souffrir contrairement à leurs compagnons canins.

    2. Que faire pour les aider néanmoins ?


        Pour aider votre chat à mieux supporter la chaleur, il existe quelques petites astuces mais malheureusement pas de solutions-miracle. 

    • -Il faut essayer de le mettre dans la pièce la plus fraîche de la maison (salle de bain par exemple ou bien dans le garage ou encore dans la cave),
    • -Vous pouvez aussi lui mettre un ventilateur : cela le rafraîchira un peu plus. Mais il se peut qu'il en ait peur au début.
    • -Si votre chat a les poils mi-longs ou longs et s'il vous semble qu'il a très chaud, vous pouvez éventuellement lui couper les poils assez courts. Il ne faut cependant pas les couper trop courts car les poils sont aussi des isolants thermiques contre la chaleur et ils protègent également contre les coups de soleil.
    • -Enfin, il faut savoir que si votre animal est un peu enrobé, la surcharge pondérale rend les chats encore plus sensibles à la chaleur, la couche de graisse sous-cutanée leur permet moins facilement de se refroidir. Dans ce cas, nous conseillons donc d'envisager de faire maigrir le chat pour l'aider à mieux supporter la chaleur.

    Pour savoir si votre chat a besoin d'un régime, allez le peser (c'est gratuit) chez votre vétérinaire et demandez-lui, ou à son assistante, s'il semble que votre chat ait besoin d'un régime.



     

    3. Quand s'inquiéter ?

       Il ne faut pas non plus tout mettre sur le compte de la canicule.

    Si votre chat :

    • -halète vraiment sans arrêts,
    • -semble avoir des difficultés pour respirer,
    • -perd beaucoup d'appétit,
    • -est complètement léthargique.

    Dans de tels cas, nous vous conseillons de consulter rapidement votre vétérinaire car votre animal pourrait souffrir d'un autre problème que de la chaleur uniquement.

    Par ailleurs, si l'été dernier, votre chat supportait mieux le climat, il faut potentiellement envisager un problème et il vaut mieux prendre ses précautions et consulter votre vétérinaire traitant.

     

     

     

    Quelques conseils du Dc Loïc Dombreval, vétérinaire :

     

       Les chats ne transpirent pas comme nous : quand un chat a très chaud, il halète afin de maintenir sa température interne à un niveau raisonnable.
    Cela arrive rarement car les chats sont des animaux originaires du désert qui supportent bien les fortes chaleurs. Observez votre chat quand il fait chaud : il est inactif, il dort beaucoup mais semble moins souffrir qu’un chien.

    Lorsque la chaleur augmente, votre chat, qui ne transpire pas, va avoir plus de mal à réguler sa température corporelle.

    Si vous êtes à la maison, laissez-lui l’accès aux pièces les plus fraîches et changez très régulièrement l’eau à sa disposition afin qu’elle reste toujours à température raisonnable. Vous pouvez même y ajouter des glaçons !

    Votre chat doit boire, en moyenne, 40 à 60 ml d'eau par kg de poids et par jour. S'il fait chaud, il peut boire jusqu'à 100 ml d'eau par kg et par jour.
    Pour être précis, la quantité de boisson bue par votre chat dans la journée dépend beaucoup de son alimentation.

    En effet, les aliments contiennent aussi de l'eau dont la quantité diffère en fonction de la catégorie de nourriture ingérée. Ainsi, les croquettes ont une teneur en eau beaucoup plus faible que les boîtes qui contiennent environ 70% d’humidité.
    Des aliments en boîte, à température fraîche, sont donc recommandés durant les périodes de forte chaleur pour alimenter votre chat.

    Si votre chat ne boit pas suffisamment (moins de 30 ml d’eau par kg et par jour), même en cas de fortes chaleurs, plusieurs solutions s'offrent à vous afin de résoudre ce problème :
    - Changez son eau au moins deux fois par jour, afin qu'elle soit toujours propre et fraîche. Attention, une gamelle en plastique peut donner un goût désagréable à l'eau.
    - Il est possible également que votre chat n'aime pas le goût de l'eau du robinet de votre ville. Essayez alors l'eau de source en bouteille.

    Lorsque vous êtes sur la route des vacances, votre chat sera plus stressé et régulera moins bien sa température corporelle. Offrez-lui à boire le plus souvent possible, utilisez un brumisateur, aspergez-le d’eau s’il accepte ou humidifiez un linge et frottez le délicatement.

     

    Malgré tout, ne laissez jamais votre chat dans la voiture par temps chaud, même en prenant la précaution d'entrouvrir les fenêtres : ce serait le coup de chaleur assuré.

     

     

     

    (Source Wanimo et un amour de chat)

     


    votre commentaire
  • Le temps des vacances signifie pour de nombreux animaux la condamnation, souvent irrévocable, les maîtres peu scrupuleux les abandonnant à leur sort. D'autres propriétaires cherchent au dernier moment les solutions pour faire garder leurs compagnons à poil ou à plumes, les laissant parfois avec mauvaise conscience à leur sort, faute de possibilité de les amener.
    C’est un vrai parcours du combattant pour trouver un endroit de vacances où nos amis sont les bienvenus, mais on est responsables de ceux dont la survie dépend de nous !!!!!

     

     

     Un animal n’est pas un objet !!!! Et pourtant, plusieurs font comme si .......
    Ne vous résignez pas à partir sans lui et réservez une location de vacances où il peut vous accompagner !!!!

    Le site www.abritel.fr  en propose plus de 20000 adresses (dont plus de 16000 en France) qui les accueillent à bras ouverts. Le moteur de recherche intègre la case
     "animaux acceptés", en la cochant vous trouverez plus de la moitié des annonces de location diffusées qui acceptent la présence de votre animal. Vous pouvez aussi faire une recherche en "Animaux acceptés" ou cliquer sur "Vacances avec Animaux" - vous trouverez certainement une location qui conviendra pour la famille au grand complet ! 

    Consultez également d'autres sites de propositions de location acceptant les animaux, comme par exemple
     en cliquant ici 

    Pour des voyages agréables et les vacances réussies, pensez toujours à son confort aussi, mettez à disposition de votre animal de l'eau et surtout, ne pas le laisser enfermé dans une voiture où il pourra mourir de chaleur !!!!


     

     Informations pratiques et utiles:

    KIT GRATUIT de l'été 2010 de 30 millions d'amis Le Kit 2010
    Dans ce kit, le guide "Vacances pas bêtes" : 28 pages de conseils validés par les experts de la Fondation. Pratique et ludique, il regorge d'infos essentielles : témoignages de maîtres qui partagent leurs expériences ; carte des plages qui acceptent les animaux ; alternatives proposées aux maîtres qui ne peuvent vraiment pas partir avec leur animal ; l'autocollant "Animal à Bord", à coller à l'arrière de votre voiture ; et 2 cartes postales pour partager avec vos amis votre amour des animaux.

     

    (Source Yahoo Auto)

     

     

    Des solutions vacances contre les abandons d'animaux : 

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Callis du fond de son hamac "satellite" !!!!!!!

     

    Rien ne doit dépasser !!!!!! C'est mal parti pour les pattes ........

     

     

    Papattes, oreilles et coussinets ...... 

     

     Pffffffffffff ..... et les oreilles !!!!!!

     

    Papattes, oreilles et coussinets ...... 

     

    Ben oui il y a encore un bout de queue !!!!!

     

    Papattes, oreilles et coussinets ...... 

     

    C'est presque parfait mais ........ !!!!!

     

    Papattes, oreilles et coussinets ...... 

     

    Voilà rien à dire tu es un chef Callis !!!!!!!

     

    Papattes, oreilles et coussinets ...... 

     

    Balrog, Callis et moi vous souhaitons un trés bon week-end .

    Trés bonnes vacances à ceux qui s'en vont et attention sur les routes ...... 

     

    Papattes, oreilles et coussinets ...... 

     

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires